Correspondance diplomatique

Hurlevent en ce 9e jour du 4e mois de l'an trente trois.

Messire de Chemincour.

Votre missive m'a été remise par le guet de Hurlevent étant donné qu'un volet important me concerne.
Il conviendrai pour respecter l'usage de définir au regard de l'ancien droit,les préséances,et cela serai plus aisé si les différentes entités de Lordaeron étaient membres de l'Alliance,mais Je suis juriste et non politicienne,que la Lumière m'en garde,et je ne peux donc que vous répondre au regard du droit.
Connaissant le droit de Lordaeron y étant née et y ayant commencé ma carrière,et le croisant avec les lois du royaume d'Azeroth,je puis assurer avec certitude que votre présence ne sera pas gênante au regard du droit.

Vous devrez respecter toutefois quelques conditions pour se faire.

Ne point gêner les gardes de Sa Majesté dans leur tâche ni l'influencer en aucune façon.Leur montrer copie que vous auriez pu rédiger à l'interrogatoire du malandrin et vous engager à les garder vôtres et ne point les user à d'autres fins que votre usage propre pour la traque d'éventuels complices à Lordaeron.
Pour ce qui est de votre effort à sa traque,il vous faudra voir entre gens d'armes,sans oublier que les soldats de Sa Majesté sont seuls à pouvoir mener une arrestation sur ses terres,toutefois si accord est donné,de bonnes âmes peuvent y contribuer.Celui ci devra bien sûr être remis aux forces de Hurlevent et y demeurer.
Je vous invite à les rencontrer pour finaliser ce qui sort de mes prérogatives.

Qu'Elle vous guide et vous assiste,puissent les terres de Lordaeron un jour retrouver leur splendeur passée.

Chancelière G.Farral.