La Griffe du Lion, boutique d'armes
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Kiel d'Althain- Citoyen
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Lieu de naissance : Gilnéas
Age : Presque quarantenaire
Date d'inscription : 28/12/2013
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Re: La Griffe du Lion, boutique d'armes
Année après année, depuis l'an 34, aventure après aventure, campagne après campagne, les armes de la Griffe n'ont cessé de s'accumuler, qu'elles soient créées par les talentueux forgerons de la Huitième Forge d'Aiglepic qui alimente les fonds de la Griffe du Lion ; qu'elles aient été forgées dans un proche passé ou une époque si reculée que plus personne n'en a le souvenir. Partagée entre collection permanente et Créations de la Griffe, la Place-d'Armes de la Maison Coeur-de-Lion décida, à l'automne 39, d'entreprendre une réforme de ses collections et de ses services. Ce sont désormais quatre grandes collections d'armes d'apparat, de guerre et de collection qui fondent la Griffe, distinguées selon leurs objectifs. Il ne se trouve plus d'armes ordinaires dans l'échoppe, seules des pièces rendant hommage à la devise de celle-ci, « La Perfection pour seul mot-d'ordre ». Il demeure toujours pour le collectionneur ou le particulier la voie de la commande et de la Création. Les catalogues des collections sont régulièrement augmentés et toujours à jour, comme ci-dessous !
« Héritage de la Terre » est la première grande collection d’armes présente au sein de la Griffe du Lion. Son vœu est de regrouper les armes dites historiques, qu’elles aient façonnées l’Histoire ou les histoires, suivant les gestes de héros connus ou oubliés et les contes de nos Anciens, passeurs de légendes et des bons mots des Grands d’autrefois. Elles ont été obtenues par la Maison Cœur-de-Lion au cours de ses pérégrinations ou par les efforts de ses agents, récentes ou antiques, restaurées avec minutie par nos soins.
- « Héritage de la Terre » : Epées à une et deux mains:
La lame de l'arche perdue du temple maudit du royaume du crâne de cristal plus communément connue sous le nom de "Foutu reptile"La légende n'y va pas avec le dos de la main concernant cette relique perdue depuis des temps immémoriaux. Les plus fantasques racontars parlent d'un chasseur de trésor arpentant les royaumes perdus d'Azeroth depuis sa plus tendre enfance, et dont la funeste lame aurait massacré des hordes de lianes et des populations entières de fougères. La légende raconte que l'arme aurait été égarée dans un temple perdu, alors que son propriétaire s'enfuyait, poursuivi par un serpent géant si gros qu'il roulait sur lui-même en hurlant " 'Fallait que ce soit un serpent !"
Machette épaisse et au fer allongé, elle est sillonnée par des rainures et des sillons que l'on attribuerait facilement aux éléments, aux lianes, aux os tranchés et aux venins corrosifs. Quelques motifs serpentins s'étendent sur chaque plat, dans la partie supérieure. Cuir et tissus forment une poignée large et épaisse, ne convenant pas aux petites mains !*
**Dirk "Le Squale" Heartfield était un grand capitaine et un marin chevronné. A la tête de son brigantin Le Brise-Côte, il n'a eu de cesse de pourchasser les flibustiers et autres pirates infestant les côtes de la Marche de l'Ouest, n'hésitant jamais à faire parler la poudre de ses canons et de ses pistoles, quelques années après la Première Guerre. Sa lame était son emblème et son amie, une curieuse épée tenant plus de la dague, sinueuse et teintée de bleu, que la légende disait arrachée des mains d'une princesse naga au nom perdu. Son fil avait tranché tant et tant de gorges ennemies que le sang de ceux-ci l'avait peu à peu irrémédiablement colorée de rouge carmin.
Il livra sa dernière bataille lame à la main lorsque son navire fut attaqué et abordé par une flotte de pirates s'étant ligués contre lui, au large de Strangleronce. Constatant qu'il ne pourrait être victorieux cette fois-ci, il ordonna à ses matelots de mettre le feu à leurs réserves de poudre, de façon à faire exploser dans une rafale de flammes leurs assaillants en même temps qu'eux-mêmes. Lorsque les rares pêcheurs du coin s'aventurèrent sur le lieu du combat, ils ne trouvèrent qu'un rescapé du vaisseau du Squale, dérivant sur une planche et mal en point, au milieu de débris encore fumants d'une dizaine de navires. Ainsi, il put raconter son histoire, celle de son capitaine et de son Ordre final.
Après de nombreuses recherches et après avoir recueilli cette légende, la Maison Cœur-de-Lion a décidé de recréer la lame du capitaine Heartfield, telle qu'elle était lors de sa découverte. Une ligne sinueuse comme l’échine d’un naga, dotée d'une garde originale imitant des palmures aplaties bleu sombre, incrustée d'un saphir océan à la couleur profonde, d'une légèreté incomparable, forgée dans l’obsidium teinté par une pointe d’adamantite, le pommeau se terminant par une courte pointe arquée.*
**Il y a des milliers d'années, deux familles kaldorei d'Orneval, Ornelune et Voltelame se disputaient le droit d'élever un sanctuaire de la Déesse Lune sur un site désormais perdu. Autrefois issues d'un même et vénérable ancêtre ayant vécu à Suramar, les deux lignées divergèrent suite à la Guerre des Anciens et à des jeux de mariage, et entrèrent en rivalité lors de leur installation sous les hautes frondaisons de cette antique forêt. L'une reprochait à l'autre sa dévotion faiblissante envers Elune, l'autre leur conservatisme forcené.
Le paroxysme de leur confrontation fut atteint lorsque, chacun de leur côté, elles découvrirent une splendide clairière en pleine montagne, doucement illuminée par la lueur des lunes, idéale pour un sanctuaire. La nouvelle fut rapportée, et les patriarches accompagnés de leur famille s'y retrouvèrent, finissant par en venir aux mains. Il y eu des morts dans les deux camps, et révoltés par l'idée d'un nouvel affrontement meurtrier, en plus de purger définitivement l'affaire, Ornelunes et Voltelames se choisirent un champion parmi les leurs pour un unique duel.
Le gagnant de cet affrontement varia entre les partisans de l'une ou l'autre famille, les deux étant revenus chez eux en clamant leur victoire. Leur antagonisme perdura jusqu'à ce que les deux familles s'éteignent peu à peu, entre mariages et faible natalité.
Tirissia, la lame des Ornelune, est la copie la plus irréprochable de la Tirissia, travaillée dans les métaux et les techniques alors en vigueur dans la société kaldorei de l'époque. De multiples pointes, une nervure centrale large, noire et chevronnée, une garde rouge violacé incrustée d'une gemme dorée, identique à celle décorant le pommeau, cette lame surprend par son profil très particulier, son poids assez important et sa teinte inhabituelle.*
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« Alors que ses ennemis tombaient un à un, Tor Vadagh n’était plus une simple lame, mais l’instrument de la divine justice de la Lumière qui marquait chaque verdict rendu par un chant cristallin. »
Fragment des Annales de Tel’morAujourd’hui encore, dans la Draenor alternative découverte, explorée et pacifiée il y a de cela déjà un an et demi, le massacre des habitants de Tel’mor par le Conseil des Ombres, en Talador, sonne comme un souvenir atroce. Les défenseurs périrent les armes à la main et les civils sauvagement assassinés, leurs âmes à jamais prisonnières des machinations des séides de la Légion et ne rejoignant pas la Lumière. Tor Vadagh est l’une des lames portées par un combattant de Tel’mor, forgée sur un monde lointain, perdue et jetée dans une fosse lors de la chute de la cité. Retrouvée après bien des péripéties, l’arme se trouve désormais dans les collections de la Maison du Cœur-de-Lion.
Conçue comme une lame courte à une main, sa forme n’a rien à voir avec les armes les plus classiques car façonnée dans le cristal bleu étincelant d’un monde très éloigné du nôtre, son éclat n’a rien perdu avec les millénaires passés. Encore aujourd’hui, dans le cœur de la lame peuvent s’admirer les reflets de milliers d’étoiles. Son originalité tient à ses lignes nettes, traçant une forme irrégulière et aux arêtes vives.
Cette arme se voit décorée par l’adjonction de véracier mêlé à de l’or en renforts sur la nervure centrale du fer, enserrant un cristal doré, qui se déploient sur la garde travaillée à quatre courtes branches sertie d’une gemme pyramidale d’une teinte lavande. La poignée a également subi ce travail poussé avec un laçage de cuir brun rouge d’une grande élégance sur le véracier en dessous qui supporte le pommeau, formant deux carrés imbriqués accueillant à leur tour une deuxième gemme lavande.*
**Il y a des milliers d'années, deux familles kaldorei d'Orneval, Ornelune et Voltelame se disputaient le droit d'élever un sanctuaire de la Déesse Lune sur un site désormais perdu. Autrefois issues d'un même et vénérable ancêtre ayant vécu à Suramar, les deux lignées divergèrent suite à la Guerre des Anciens et à des jeux de mariage, et entrèrent en rivalité lors de leur installation sous les hautes frondaisons de cette antique forêt. L'une reprochait à l'autre sa dévotion faiblissante envers Elune, l'autre leur conservatisme forcené.
Le paroxysme de leur confrontation fut atteint lorsque, chacun de leur côté, elles découvrirent une splendide clairière en pleine montagne, doucement illuminée par la lueur des lunes, idéale pour un sanctuaire. La nouvelle fut rapportée, et les patriarches accompagnés de leur famille s'y retrouvèrent, finissant par en venir aux mains. Il y eu des morts dans les deux camps, et révoltés par l'idée d'un nouvel affrontement meurtrier, en plus de purger définitivement l'affaire, Ornelunes et Voltelames se choisirent un champion parmi les leurs pour un unique duel.
Le gagnant de cet affrontement varia entre les partisans de l'une ou l'autre famille, les deux étant revenus chez eux en clamant leur victoire. Leur antagonisme perdura jusqu'à ce que les deux familles s'éteignent peu à peu, entre mariages et faible natalité.
Luhainon, l'arme des Voltelame, est un long sabre aux lignes épurées, aux origines obscures, reforgé à l'identique de la Luhainon originelle, selon les techniques en vigueur à cette époque et renforcé par l'adjonction d'un peu de magie de consolidation. Il se murmure d'ailleurs que ces mêmes origines seraient localisées du côté de la Pandarie avant la Grande Fracture, mais cette théorie n'est partagée que par de rares archéologues !*
**Le Tranchant de Fel’Vain est une antique lame orque de Draenor maniée par le seigneur de guerre Fel’Vain et transmise de génération en génération. Celui-ci a trouvé la mort au cours de l’Ouverture de la Porte des Ténèbres, et un combattant orc de la Horde d’Azeroth l’a ensuite récupérée, puis perdue dans les combats dans le Marais des Chagrins contre l’Alliance du Guet-de-l’Estran. Son nom signifie la Tourbière Rouge, nom donné a posteriori, puisque son véritable nom est perdu. L’arme goutte encore du sang de milliers de morts de toutes les races.
De forme irrégulière, une lame à tranchant simple et épaisse fixée sur une hampe légèrement courbée, entièrement forgée en rochenoire et à la poignée en cuir épais, lacéré et clouté. Une deuxième lame plus courte garde la main du porteur et se révèle une surprise de choix lors des combats et des mises à mort.
- « Héritage de la Terre » : Haches à une et deux mains:
Nous oublions bien trop souvent que même les plus rudes bourreaux ont leur sensibilité. Et ce n'est pas parce que l'on se trouve recouvert du sang des condamnés du soir au matin que l'on ne saurait être coquet. La plus belle illustration de cette affirmation trouve à s'appliquer auprès de Théodore Martinage, bourreau de son état, réputé pour être particulièrement pingre en plus de propre sur soi.
C'est un fait étrange comme l'avarice peut conduire au génie. C'est ainsi que, pour s'économiser l'achat d'un nécessaire de rasage, le brave Théodore inventa un prodigieux outils capable aussi bien de déloger une nuque que de rafraichir une gorge. Le pauvre aurait trouvé la mort après un obscur accident de rasage.
Hachette au fer simple et solide, le Coupe-choux se pare de reflets sombres, entre gris et bordeaux, s'agrémente de pointes aigües sans jamais renoncer à son style et sa légèreté. Sa prise en main est rendue encore plus agréable par le cuir d'ours couvrant sa poignée. Un anneau de fixation lui tient lieu de pommeau*
**Sáldur est la première d'un duo d'armes exceptionnelles, découvertes dans un complexe funéraire vrykul de Tornheim. Ramenées à grand frais dans leurs coffrets de conservation, Sáldur et Hallsydan jouissent chacune de leurs légendes.
Ainsi, la plus certaine concernant cette hachette nordique font état de sa puissance de feu primordial : brûlée aux côtés de son premier porteur, dont le nom est perdu, elle absorba la fureur du brasier rageur qui devait la noircir et l'abîmer irrémédiablement, lui donnant cette teinte si caractéristique.
Ivre de feu funeste et gravée de runes pour amplifier cette nouvelle capacité, on dit qu'elle se recharge en puissance enflammée dans celui des batailles et des bûchers funèbres. Son poids magique est attesté et certain.
La hachette courte à fer simple est forgé en métal nordique orangé, dans des formes typiquement vrykules d'un âge stylistique médian, gravée de six runes, trois sur chaque plat. Un petit fer complète le plus large, de part et d'autre de la hampe, décorée de pointes aigües. Le manche est doublé de cuir d'ours restauré, son pommeau est doté d'un anneau de suspension-fixage, auquel est attaché un lien de cuir.
- « Héritage de la Terre » : Masses à une et deux mains:
L'histoire veut que Brise-genoux ait été l'arme favorite d'un seigneur nordique d'antan, élevé par une tribu de géants vrykuls et devenu si imposant, fort de plusieurs dragons à son tableau de chasse, qu'il se serait servi de cet imposant maillet pour faire taire les plus légendaires créatures d'Azeroth.
Certains racontent cependant que ce n'est là qu'un vulgaire martelet à réflexe pour genoux, utilisé par un ogre curieusement savant.
Toujours est-il qu'elle reste incontestablement une arme de guerre redoutable et fera fermer le clapet de quiconque prétendra le contraire.
Il est également dit que la célèbre passe martiale éponyme tiendrait son nom de ce marteau. Palabres, palabres !
Faite de deux cristaux rouges à peine équarris, fichés dans une hampe de rubis et d'albâtre ornée sommairement de quelques runes indéfinissables, l'arme conserve des marques de combat et d'ancienneté malgré ses restaurations. Une gemme plus travaillée forme le pommeau.*
**"Fracasse et blesse. Fracasse et tue !
Que se brisent les os et que se fende la terre !
Que l'Oblitératrice dorme et que s'étende le silence."
Rare relique issue du funeste charnier devant la Citadelle de la Couronne de Glace, dans la Désolation des Dragons, Oblitération a eu son content de massacres d'impies avant Angrathar. Arme fétiche d'un Dragon de la VIIème Légion, elle s'est illustrée à de nombreuses reprises, tout au long des opérations de ce groupe dans le Nord de la Désolation, gagnant son titre en abattant d'un coup magistral un magnataure enragé menaçant une des installations du détachement. Les déflagrations de peste n'ont pu abîmer la perfection de la masse, seul le temps lui a arraché quelques éclats, promptement réparés par nos soins lors de sa récupération dans un lot d'armes hétéroclites revenues de la Bataille.
Forgé dans le titane additionné de cobalt, la masse est prévue pour un usage à deux mains. Sa tête carrée s'orne de deux paires de cornes enroulées serrées sur la tête, complétant le décor du corps, fait de quatre bucranes de bélier gris et bleus. Aucune gemme n'orne Oblitération, le manche est épais et long en acier brossé et strié, lacé de bandes de tissu restauré. Le pommeau est large et rond, sans dispositif d'attache.
- « Héritage de la Terre » : Armes d'hast, Bâtons, Boucliers:
« Le rugissement infini des bassins de magma en fusion, la fureur du feu de la terre, portée par le souffle de mille dragons de lave, inexorable et sans pitié. »
Autrefois portée par un seigneur draconide noir lui ayant donné son nom, Vhalchakeen a semé la terreur dans d’innombrables batailles opposant le Vol Noir aux nains sombrefers et aux seigneurs élémentaires dont elle finissait par drainer la puissance enflammée pour mieux s’embraser dans les griffes de son sinistre porteur. Barthazath le Ligecroc fut vaincu lors d’un énième combat entre les Sombrefers de Dagran Thaurissan et son unité d’assaut menée au cœur de la cité d’Ombreforge. L’arme fut emportée comme trophée par les nains puis de nouveau perdue avec la chute de Thaurissan et le retour de Moira dans l’Alliance avant de se retrouver dans les collections de la Maison Cœur-de-Lion, acquise lors d’une partie de dés contre un mercenaire sombrefer.
Du bout de la pointe jusqu’au talon de la hampe, Vhalchakeen est fondue dans un métal noir, alliage de tungstène, de mithril et de sombrefer qui lui donne cette lourdeur caractéristique et cette teinte obscure, nimbée de flammes dessinées par des inclusions de métal forgé et trempé différemment du reste de l’arme. Sa pointe dentelée semble imiter le croc d’un dragon et est en grande partie parfaitement lisse et régulière, à l’exception d’une ébréchure rayant l’un des plats du fer d’un coup ondulé, comme un coup de griffe.
Lorsqu’on se saisit de l’arme, un grondement vibrant semble agiter la hampe et se communiquer à la main durant une courte seconde, reflet des tumultueux éléments lui ayant donné forme et matière. Dans la fureur d’un combat, elle ne se gauchit ni ne s’émousse, au contact des armures et des armes adverses, le feu qui couve en elle se déchaîne et l’embrase sans pour autant transmettre sa chaleur terrible à son porteur, brûlant à chaque coup ses adversaires éblouis par sa pointe chauffée à blanc, scintillante comme une petite étoile dorée.*
**Encore présente dans nos collections malgré sa beauté et son héroïque histoire, l’Egide du Gardien des Salles attend, sagement disposée dans son coffret, le bras qui la portera de nouveau au champ de bataille ou de parade.
Dans la Légende du Combat entre Barandir, Champion des Hommes et Azrûdin, Dieu de l’Hiver, l’Egide du Gardien des Salles est le bouclier de Barandir, qui le sauva de l’ultime tempête dela divinité courroucée. Forgé dans le désormais rare véracier de Draenor, réhaussé d’or et d’un saphir étincelant en son centre, doté d’une solide poignée de cuir lacé, le bouclier a été endurci, éprouvé par les blizzards et les grêlons d’Azrûdin, tant et si bien qu’il put dévier et protéger Barandir de la Tempête de glace finale du Seigneur des Glaces, et lui permettre d’arracher la victoire, au prix de l’extinction du dernier Feu de l’Humanité.
De cette légende, le bouclier actuel qui reproduit fidèlement, trait pour trait, celui du Champion des Hommes, a hérité de son pouvoir latent, un enchantement puissant qui lui permet de dévier les attaques de Givre et de résister aux coups les plus dévastateurs de vos adversaires.
- « Héritage de la Terre » : Dagues:
"Le Fil de Tressehaine, qui ne portait pas ce nom à l'aube de sa création. Malheur, oui malheur, à celui qui le retrouvera !"
Le Fil de Tressehaine a une histoire mouvementée, entre les mains de plusieurs générations de maîtres sicaires de Ravenholdt. Elle s'est taillée sa réputation de faiseuse de veuves dans le sang de nombreux pontes du Syndicat, et avant les masques oranges, les ennemis les plus communs comme les plus extraordinaires de ces mystérieux hommes en noir. Elle ne trouva jamais sa dernière cible lors de cette carrière funeste, puisque son porteur fut pris en embuscade par un commando de partisans du Syndicat, quelques années auparavant et tué. Plus tard, la dague fut reprise des mains du Syndicat par les troupes et restaurée.
Bleue d'azur et de bronze vert, la lame courte est forgée dans l'acier le plus pur, mêlé d'un peu de mithril pour l'éclat blanc, au coeur bleui et fileté d'élégantes nervures pâles, garnie de pointes et d'échancrures qui la distingue des autres poignards. Une garde à quillons très géométriques, marquée de deux pièces gravées en tête de lion fondues dans le bronze patiné. Sa poignée est de cuir clouté d'acier et son pommeau est augmenté d'un anneau épais. Enfin, touche de couleur en plus, deux gemmes jaunes ornent la base de la garde et le pommeau.
- Spoiler:
Attention ! Tressehaine est associée à une apparence Liée quand Ramassée ! Transaction RP uniquement avec objet extended et scène rp de paiement !*
**Autrefois entre les mains d’un maître assassin œuvrant aux Hautes-Terres du Crépuscule contre les séides d’Aile-de-Mort, Skelseng connut des jours glorieux en volant les vies de plusieurs dignitaires du Crépuscule dont les plans menaçaient à la fois les camps de l’Alliance et les villages Marteau-Hardi. Elle fut hélas perdue et brisée lorsque son porteur fut pris par un infâme Ascendant du Crépuscule et brûlé vif pour ses actions contre son ordre. Si le nom de ce héros est inconnu, son histoire a pu être recueillie et étudiée pour recréer Skelseng et la proposer aux yeux de tous !
La Chante-sang est un élégant poignard aux formes sinueuses, comme une petite flamme figée dans l’acier. Façonnée dans l’élémentium purifié additionné de vrai-or, son fer à quatre courbures se pare de teintes gris sombres, parfois de reflets rubis. Des runes ornent sa longueur, comme sur son illustre mais plus sombre modèle, d’ordre décoratif aujourd’hui.
Sa courte garde est colorée d’or terni et de bleu passé, assombri, parée de pics courts non aiguisés et sertie d’un saphir océan taillé en petit diamant. La poignée non rectiligne est basée sur le même alliage que le fer, mais d’une teinte bleu nuit, renforcée de cuir pour garantir à l’utilisateur une prise en main parfaite. Le pommeau se montre original également, n’étant pas situé dans le prolongement de la poignée mais redressé, incrusté d’une petite zéphyrite hexagonale.« Héritage de la Terre »
« Secrets des Anciens » est la deuxième collection d’armes de la Griffe. Au contraire des armes d’ « Héritage de la Terre », ses pièces sont magiques, infusées de puissance arcanique, élémentaire ou brute, des armes qui sortent de l’ordinaire et souvent arborées par les sorciers de ce monde ! Les armes de « Secrets des Anciens » sont également des pièces originelles, exhumées et restaurées par la Maison.
- « Secrets des Anciens » : Epées à une et deux mains:
l y a des milliers d'années, à l'heure où les grands Elfes du Nord enseignèrent à leurs voisins humains d'Arathor les Arts de la Magie, l'un d'eux, audacieux, voulut tester les limites de ce qu'il avait appris. Si son nom a depuis longtemps quitté le souvenir des conteurs, ses créations, elles, continuent d'alimenter la réflexion pour les siècles à venir. Ce mage était aussi un bon combattant, chevalier du premier empire de l'Humanité et voulut mélanger Magie et Armes, le feu et l'acier. La chose n'était pas aisée et il s'y reprit à plusieurs fois avant de réussir à forger et ensorceler son arme.
Ainsi, Flamme naquit.
En apparence simple poignée façonnée en vermeil, de l'argent couvert d'une fine couche d'or aux teintes orangées vespérales, aux motifs de palmettes et aux nervures fortes. Des rubis aux subtils reflets vermillons sont sertis sur le pommeau et la garde. La poignée est à l'instar des matériaux utilisés pour lui donner vie : enchantée. Le cuir brun doré tressé qui la couvre ne connaît aucune trace d'usure ou de vieillissement.
La véritable prouesse réside dans la gemme couronnant la garde : d'une couleur de feu vivant, transparente comme l'eau d'un lac de montagne, il s'agit d'un diamant sculpté et poli dans le souffle d'un dragon. D'une simple inflexion de la volonté de son porteur, la matrice magique contenue dans le diamant se focalise et laisse jaillir en une colonne parfaitement maîtrisée un jet de flammes enchantées, formant le fer de l'arme. Les enchantements du diamant, posés sur une gemme d'une pureté impossible sont d'une telle perfection qu'ils ne sauraient être modifiés par inadvertance, malveillance ou entropie. Aujourd’hui, la Flamme ne demande qu’une chose simple : être de nouveau brandie.
- « Secrets des Anciens » : Haches à une et deux mains:
Un éclair, son claquement dans l’air et le rugissement du tonnerre au loin. Ialdar est le mariage crépitant entre la foudre qui agite et transperce parfois les cieux de Talador et le souffle du vent pur et rugissant des plaines de Givrefeu. Portée par un officier de garde draenei qui effectuait par malheur sa ronde sur l’une des murailles de Shattrath un jour d’orage, l’arme joua le rôle d’un conducteur de foudre et attira un énorme éclair qui tua fort tristement son porteur sur le coup. La hachette palpitait encore de cette énergie brute venue du ciel lorsque la relève découvrit cette macabre scène, et fut emportée pour étude par les magi de la cité, qui canalisèrent sa puissance dans deux cristaux draeniques bleu ciel. Passant du statut d’arme de réserve à celui d’arme de guerre, elle fut donnée à un champion de la cause des Exarques qui combattit avec fougue ses ennemis, ogres, tribus orques et primordiaux déchaînés avant de connaître son trépas face à un gronn enragé. Son âme fut emmenée en Auchindoun et ses propriétés enterrées avec son corps dans un tombeau oublié qui fut ensuite pillé par des Adhérents arakkoas en quête d’apogides dans les cavernes jalonnant Talador. Leur raid fut de courte durée car ils furent dispersés par un groupe d’aventuriers et prospecteurs de la Maison Cœur-de-Lion, qui leur reprirent les trésors volés.
Forgée dans le véracier draenique, alliance du vérifer et de la rochenoire, Ialdar se pare de teintes bleu-gris comme le ciel avant l’orage. Au profil découpé, le fil aiguisé comme un rasoir, son fer est paré d’un cristal draenei bleu taillé en losange, incrusté dans la masse, dont le cœur semble abriter une tempête de foudre en perpétuel éclatement. Un manche épais, lacé de cuir et un pommeau en acier lourd, décoré de pointes contrastent avec la ligne nerveuse du fer de l’arme. A ce pommeau taillé en pointe se rattache une chaînette retenant dans un support ouvragé un deuxième cristal bleu émettant une lueur douce et dont le cœur, lui, semble cacher un tourbillon permanent.
En main, Ialdar semble plus légère qu’il n’y paraît, vive comme un souffle de vent, crépitant la première fois qu’on pose la main sur son manche. Une fois sortie de son fourreau, ses gemmes s’illuminent doucement, le cristal de la lame paraissant scintiller d’étincelles et le cristal de chaîne s’agiter au gré d’une brise invisible. Lorsqu’elle frappe, elle crépite d’arcs de foudre blancs et est nimbée d’étincelles électriques.
- « Secrets des Anciens » : Armes d'hast, Bâtons, Boucliers:
Rarissime trésor dans les augustes collections de la Maison Coeur-de-Lion, Spirefeu est une exception à sa règle de ne vendre que des armes tranchantes ou contondantes : c’est, selon la rumeur et la légende, le bâton brandi par l’un des premiers magistères quel’doreis, lors de la mythique fondation de Quel’Thalas. Si le nom de son premier porteur s’est perdu dans les brumes du temps, ses exploits, eux, n’ont jamais été vraiment oubliés.
A l’origine intact, décoré de cristaux appartenant à une lointaine époque, daté des derniers temps de l’Empire kaldorei avant la Grande Fracture, la puissance de Spirefeu est réputée pour avoir aidée seule au bannissement d’un seigneur des abîmes du nom de Gortharrax, sur des terres aujourd’hui englouties. Ses brisures, ébréchures et manques lui viendraient de prouesses désespérées de l’un de ses porteurs lors d’une bataille contre le Fléau aux Terres Fantômes. Egaré puis miraculeusement retrouvé par des excavateurs au coeur des Maleterres, Spirefeu attend depuis celui qui le brandira de nouveau contre la folie et le chaos absolu.
Racé, élégant, décoré de quatre cristaux d’un rose tirant sur l’orangé, d’une variété unique et désormais introuvable de quartz, Spirefeu se maintient magiquement, quand bien même une partie de la tête, le cerclet et son cristal de droite ont disparu, brisés nets. Sa hampe imite la floraison de roseaux des marais, façonnée dans un métal gris arcaniquement raffiné pour atteindre un degré de solidité et de douceur inégalé dans le travail simple de la Forge. Le talon est lui aussi serti d’un quartz saumon. Son nom lui vient de ces mêmes cristaux : confrontés à la lumière du soleil au zénith, ils semblent s’animer et prendre feu, luire d’un brasier contenu éternel. En outre, le bâton semble receler de grandes quantités de mana. Il est possible, pour qui est un arcaniste versé dans son art, de s’en servir pour alimenter ses sorts ou en stocker pour les jours funestes.
- « Secrets des Anciens » : Dagues:
Quel pire fléau qu'une infection après une opération rondement menée ? Quelle pire tragédie que de terminer pareille œuvre, travail d’orfèvre s'il en est, qu'une intervention chirurgicale par un bête bacille ?
C'est suite à cette constatation que le Dr. Krastinov aurait cherché un moyen de stériliser ses instruments. Et c'était sans compter sur ses idées folles qu'il aurait pu se contenter d'une bête eau bouillante. Loin s'en faut ! Il aurait plongé son scalpel au cœur du plus ardent des volcans ! Malheureusement, l'effet fut un tantinet trop prononcé. Et si l'infection fut endiguée... le patient périt calciné.
Mais le scalpel est aujourd'hui une arme de choix pour pourfendre des donjons entiers ! Ou pour des brochettes tajine.
Couteau aux formes sinueuses imitant une flamme et aux tranchants redoutables, son acier gris cendré se pare de reflets orangés infernaux sans avoir à rougir des armes que pourraient brandir les sauvages infernaux et scions du Royaume des Terres de Feu. Agrémenté d’empiècements ornés de brillantes runes étincelantes garantissant l’intensité de sa magie intrinsèque, le Scalpel est pourvu d’une poignée antidérapante et facile de préhension et d’un pommeau épais, contribuant à l’équilibrer, pour réussir toutes les découpes, de la chair infectée aux os de vos poulets et lapins en sauce.« Secrets des Anciens »
« Victoire de l’Alliance » célèbre les triomphes de la grande faction bleue et or au travers de créations originales de la Maison Cœur-de-Lion et de ses Neuf Forges, enchantées ou non, mais toujours avec le souci du détail et de la qualité qu’il sied aux champions de l’Alliance. Or, saphirs, acier brillant et beaux cuirs se mêlent en d’extraordinaires pièces à même d’exalter les plus nobles coeurs.
- « Victoire de l’Alliance » : Epées à une et deux mains:
Pour fêter les triomphes de l’Alliance sur la Légion Ardente et ses ennemis en général, les Neuf Forges d’Aiglepic, sous le patronnage et le commandement de la Maison du Cœur-de-Lion ont réalisées ensemble, au terme de longues recherches, une lame d’exception, la Léonine, une épée à deux mains. Sa forme est, dit-on, inspirée des grands chefs d’œuvre portés il y a des années de cela par les champions de notre monde durant la campagne d’Outreterre puis celle de Pandarie : unique et originale, ses tranchants ne sont pas rectilignes, mais courbes, imitant la crinière d’un lion. Sa pointe, elle, forme la gueule rugissante du félin, son œil est rendu par un spinelle cramoisi serti contre le tranchant supérieur.
Le plat intérieur du fer, sur chaque face, est nervuré et chacune de ces nervures est finement dorée ; entre celles-ci le fer est d’un gris bleuté d’une teinte plus sombre que les tranchants brillants. La garde prend la forme d’un aigle, ses quillons pointés vers la pointe de la lame figurant les ailes déployées de l’oiseau, un deuxième spinelle gravé de plumes pour le corps et la tête faite d’un élément d’acier. Une poignée épaisse et longue, prévue pour les coups portés à deux mains, sans séparateur de mains, lacée du meilleur cuir brun des terres du duché. Son pommeau massif est constitué d’un troisième spinelle cramoisi d’un rouge plus translucide, taillée en diamant, sertie dans d’épaisses griffes d’acier. Sur cette gemme apparaît en filigrane gravé le blason de l’Alliance, la tête de lion rugissante.
La Léonine est réellement une arme prestigieuse, autant d’apparat que de guerre : malgré sa forme unique, elle est parfaitement fonctionnelle et aiguisée, prête à porter la gloire de l’Alliance vers les lointains rivages des Îles Brisées ou les terres qu’elle contrôle aux Royaumes de l’Est, Kalimdor ou Norfendre. L’œil averti saura apprécier la pureté de ses lignes et le savant choix des matériaux, l’acier nordique, le mithril, l’or, le cuir et les spinelles cramoisis, l’excellence des savoir-faire mis en jeu et les défis techniques relevés avec brio. Une telle arme ne saura que séduire les acheteurs intéressés, raviver l’espoir dans le cœur des alliés qui la voient et instiller la terreur dans l’esprit de ses ennemis !
- « Victoire de l’Alliance » : Dagues:
Première d’une longue lignée de coutelas aux lignes élégantes, la Dague honorée des Champions de l’Alliance est une arme vive et légère, rapide et précise, coulée dans le meil leur acier nordique qui soit, mélangé à une once de cobalt et de tellurium pour renforcer teintes et légèreté. Ce que l’on en retient ? Une lame longue, réhaussée de fines gravures plus sombres que le fer, une garde solide, prenant la forme de deux ailes stylisées et une longue poignée bleue artistiquement façonnée de chevrons gris. Deux saphirs célestes ornent la garde et le pommeau, lissés, non-facettés, comme deux éclats de ciel rayonnant.
En guise de touche finale, un enchantement a été appliquée à la lame, pour l’empêcher de se corroder avec l’eau de mer ou se briser net avec les coups de gel, prenant la sybilline forme d’une aura bleutée courant le long du tranchant. Elle est l’arme idéale des habiles bretteurs et combattants de l’Alliance prisant les dagues et luttant par-delà les mers ou les montagnes !« Victoire de l’Alliance »
« Magnus Opus » est la dernière des quatre collections et regroupe des armes créées par les Forges d’Aiglepic pour les grands évènements ou pour l’achèvement personnel, des Créations de la Griffe imprégnées du souffle énergique et irrésistible du Génie humain. Excellence des matériaux, choix des procédés, recours ou non à la magie, toutes bonnes choses concourant à atteindre l’état de suprême perfection esthétique et technique prônée par la Maison et la Griffe.
- « Magnus Opus » : Epées à une et deux mains:
Hadria est une authentique création des Forges d’Aiglepic, d’après les plans d’une épée en provenance directe des Hautes-Terres du Crépuscule. D’élégante facture, elle abandonne tout trait maléfique si facilement découvrable dans des armes aux mains des séides du Marteau du Crépuscule et ne leur emprunte que les formes et les matériaux.
De beaux tronçons d’obsidium plié est née la lame en elle-même, qui lui donnent cette teinte brun sombre sur le cœur, plus claire par trempe partielle sur les tranchants légèrement concaves, jusqu’au gris presque noir pour la garde et le pommeau, non serti, seulement formée en deux petites arabesques bouclées. La garde représente un autre morceau de bravoure de forge, puisque forgée, étirée et façonnée dans la même phase que le fer, dessinant boucles et pointes.
La poignée est de confection classique, en cuir teint en vert lacé sur l’obsidium. Extrêmement résistante, Hadria se veut arme de bataille mais aussi d’apparat avec ses lignes sobres, presque austères.« Magnus Opus »
- Notes:
- Un grand merci à celles et ceux qui se seront intéressés à ce post et qui auront regardé ce qui se cache dans chaque spoiler ! L'ensemble sera tenu à jour à chaque publication d'affiches de la Griffe. Pour toute demande, commande, réclamation, merci de m'adresser un message privé sur ce forum ou me contacter en jeu, Davien/Cianor/Bransian/Fingal. Bonne année 2020 à toutes et tous.
Kiel d'Althain- Citoyen
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