Une lettre classique, néanmoins frappée du sceau de l'Eglise de la Lumière.

par Vanhart Rosenberg Mar 17 Déc 2013 - 21:32

Au Major Ventis, officier de la Garde Urbaine de la Nouvelle-Hurlevent,

Salutations a vous, protectrice du lion dorée,

Je vous envoie ci-contre, au-delà de ma présence, des mots d'excuses. Il est vrai, que lors de notre dernière rencontre, vous sembliez être méfiante voire même interrogatrice a mon égard. Le Haut-Chancelier, messire Ozrik, dans sa bienveillance, m'a fait parvenir la nécessité de me présenter a vous. De vous faire comprendre certains traits de ma personnalité, ceux qui peuvent vous paraître fâcheux. Je ne suis moi, qu'un nouvel arrivant en Hurlevent, je suis né dans la patrie de Lordaeron et y grandit la-bas, combattu également. Je ne fus guère au courant de certains grippeminauds, qui ont dénigrés l'image sacrée de l'Eglise, par des actions déshonorables, des paroles injurieuses. Ainsi je comprends vos inquiétudes récemment fondées et des plus légitimes. L'Eglise elle-même, souhaite faire répandre les paroles des ouvrages sacrés, jusqu'aux confins des mondes connus et inconnus, ainsi vous le dis-je ; Major, jamais n'ai-je eu l'idée de marcher sur vos plates-bandes. Je ne voulais que vous aider et non-pas endosser le rôle de garde. Ô par mégarde, Major Ventis, ne considérez guère l'action d'un homme comme pour un fanatisme nouveau, rongeant les saintes paroles d'une ère sacrée de Lumière et de paix, comme le firent jadis certains de mes compères. Je souhaite seulement que l'Eglise et l'Etat soit unie, ainsi, veuillez accepter mes excuses.

Gloire a l'Eglise,
Gloire au Roy,

Par le Sang et l'Honneur nous servons.

Signature - Vanhart Rosenberg, de la Main d'Argent.