Lettre adressée au garde Reed Fabre

Bonsoir,

J'écrit cette lettre car j'aimerai ravoir mes trentes pièces d'or que j'ai visiblement payée inutilement lors de ma dernière petite visite des geôles. J'avais donnée l'argent requis pour pouvoir sortir de prison avant la fin de la peine mais finalement vous avez prit mon argent et vous m'avez fait finir mon temps en prison sans remboursement. C'est un montant d'argent énorme et j'en ait grandement besoin pour faire vivre ma famille.

Cordialement,
Norah Amari, la meilleure des prisonnières.

Intendant Reed Fabre,
Caserne de la Garde,
1 Place d'arme,
Ville Vieille,
Hurlevent

à Norah Amari
Hurlevent.

Madame Amari,

Suite à votre courrier, j'ai vérifié l'était de votre casier ainsi que la paye de votre amende qui s'élevait à un montant astronomique. Je ne puis cacher mon étonnement de vous avoir vu verser une somme si élevée pour vous sauver de quelques jours de captivité où vous étiez logée, nourrie et blanchie en soi. La capacité des Hurleventois à allonger les pièces d'or peu importe le montant sera toujours un mystère pour moi, probablement qu'une carrière dans l'armée n'était pas la meilleure des voies pour devenir aussi riche qu'un gobelin.

Je vous prie de vous rendre promptement au Guet Urbain, accompagné de cette lettre pour réclamer vos dorées qui dorment dans une sublime bourse de jute aux côtés des primes.

Je vous prie d’agréer à mes salutations les plus sincères et de profiter de la nouvelle année pour être EXEMPLAIRE et REFLECHIE.

Pour Hurlevent,