Le fil d'une pensée.
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Le fil d'une pensée.
"Le voile noir de la nuit m'enveloppe et je me mets au plus près de toi, là où tu pourras acceuillir ma solitude comme un cadeau. Ton regard m'apaise et je m'imagine déjà ton sourire. Oui, j'aime croire que tu es aussi ravie d'être en ma présence. Si seulement je pouvais lire tes pensées, je voudrais tout savoir de toi, tes forces, tes faiblesses.
Inaccessible, tu es pourtant là, éclatante et proche de mon coeur. La distance qui nous sépare me semble infinie. j'aimerai être capable de lever la main vers toi mais je crains de n'avoir aucune réaction de ta part, que tu trouves mon geste déplacé. Je sais que tu ne m'appartiens pas. Sur les toits, je ne vois personne mais je sais, ma tendre, que tu es un électron libre. Nous sommes si nombreux à te convoiter, je ne fais qu'allourdir ton fardeau en posant mon dévolu et tous mes espoir en toi, attendant avec patience le moment où tu me prêteras ton attention, pour même quelques heures.
Si demain.
Oui, et si demain venait trop vite, ou trop tard ?
Inlassablement, chaque soirée me revient, c'est ma seule chance de t'aperçevoir et de faire le plein de bonheur.
Comment identifier notre relation, construite dans l'abstrait de mon imagination ? Depuis ce jour, je ne peux plus vivre sans toi. Comment t'expliquer et trouver les mots, comment savoir si au fond de toi, tu comprends combien tu m'es devenue indispensable ?"
Dustin ne dorma pas dans le dortoir ce soir là, les étoiles scintillaient comme bien souvent, silencieuses dans leur observation de la cité Hurleventoise. Il guettait la belle depuis les hauteurs des bâtisses, à travers les feuillages et autres. Immobile, il ne bouga pas avant les premières lueurs du jour.
"Sans odeur, sans goût. C'est ainsi que je devais te perçevoir, comme une peinture morte mais tout mon être s'éveille lorsque je te respire et je salive rien qu'à l'idée de toi. Ce frisson qui me parcourt le dos, ce souffle qui se veut plus lourd, plus grossier et cette flamme qui anime mon regard sont les symptômes cette folie qui m'emporte sur tes contrées interdites. Mais nous le savons tous les deux, lorsque le jour s'éteind, la nuit transperce noss masques et nos déguisements de fortune."
Un léger sourire illumina son visage, il se rendit compte que le jour venait.
"Nous allons bien vite nous retrouver, je t'attends déjà."
Inaccessible, tu es pourtant là, éclatante et proche de mon coeur. La distance qui nous sépare me semble infinie. j'aimerai être capable de lever la main vers toi mais je crains de n'avoir aucune réaction de ta part, que tu trouves mon geste déplacé. Je sais que tu ne m'appartiens pas. Sur les toits, je ne vois personne mais je sais, ma tendre, que tu es un électron libre. Nous sommes si nombreux à te convoiter, je ne fais qu'allourdir ton fardeau en posant mon dévolu et tous mes espoir en toi, attendant avec patience le moment où tu me prêteras ton attention, pour même quelques heures.
Si demain.
Oui, et si demain venait trop vite, ou trop tard ?
Inlassablement, chaque soirée me revient, c'est ma seule chance de t'aperçevoir et de faire le plein de bonheur.
Comment identifier notre relation, construite dans l'abstrait de mon imagination ? Depuis ce jour, je ne peux plus vivre sans toi. Comment t'expliquer et trouver les mots, comment savoir si au fond de toi, tu comprends combien tu m'es devenue indispensable ?"
Dustin ne dorma pas dans le dortoir ce soir là, les étoiles scintillaient comme bien souvent, silencieuses dans leur observation de la cité Hurleventoise. Il guettait la belle depuis les hauteurs des bâtisses, à travers les feuillages et autres. Immobile, il ne bouga pas avant les premières lueurs du jour.
"Sans odeur, sans goût. C'est ainsi que je devais te perçevoir, comme une peinture morte mais tout mon être s'éveille lorsque je te respire et je salive rien qu'à l'idée de toi. Ce frisson qui me parcourt le dos, ce souffle qui se veut plus lourd, plus grossier et cette flamme qui anime mon regard sont les symptômes cette folie qui m'emporte sur tes contrées interdites. Mais nous le savons tous les deux, lorsque le jour s'éteind, la nuit transperce noss masques et nos déguisements de fortune."
Un léger sourire illumina son visage, il se rendit compte que le jour venait.
"Nous allons bien vite nous retrouver, je t'attends déjà."
Dustin G- Citoyen
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