Le chêne.

Chapitre Un : L’innocence de l’enfance.


La ferme était active en ce temps la, le printemps pointait le bout de son nez quand les cris du nourrisson venais effrayer les bêtes de la ferme familial. Premier cri qui résonnais dans la vallée, ce cri de douleur et de peine qu’a l’enfant qui quitte le confort chaud du ventre de sa mère pour rejoindre le monde extérieur, ce cri qui fais arborer un sourire bien heureux aux parents et amis présent, un cri dans le soir ou la lune, pour une fois dans cette région,se dégageait des nuages éclairant les alentours tel un phare dans la nuit et au même moment que l’enfant né… Une graine s’épanouit prenant racine dans la terre.

Des années bien banales diront certains ont entamé la vie du jeune homme, mais ce sont ces années la pourtant qui définissent un homme, l’apprentissage du bien et du mal, de la justice et du travail méritant. Son père avait le regard dur parfois quand il le voyait dans les champs à vouloir l’aider plutôt qu’a étudier… Plus d’une fois il s’était retrouvé renvoyé à l’école à coups de pieds dans le derrière : « Mon fils, la terre sera toujours la à ton retour… Mais si tu n’a rien dans la tête tu ne sera qu’un ballon de plus flottant sans utilité ». Il faut croire que ses célèbres phrases venait de son père mais sa mère en avais de fameuses en tant que femme de la terre depuis sa plus jeune enfance n’ayant jamais reçu d’éducation c’était une femme forte de son travail, douce dans le regard mais puissante dans ses fessées toujours juste et rarement naïve avec une philosophie plus rurale « pleure tu pissera moins ce soir » était l’un des exemples de ses célèbres maximes.

Une jeunesse bien remplie des amis fidèles, il rencontra Sheldon durant ses années et en profita pleinement, et c’est déjà à cette époque qu’il avait croisé Marie, la jeune fille blonde aux yeux de jade… A qui il tirait régulièrement les cheveux, poussait dans la boue et autres railleries qui veulent dire « je t’aime » pour un enfant…