Cambriolage inquiétant.

Le onzième jour du douzième mois de la trente-et-unième année.

Les gardes accueillent un banquier prétendant que la banque du quartier nain a été cambriolé. Ils trouveront sur place un gnome et une employée constatant les dégâts : Une alarme désactivée, des barreaux de sécurités n'ayant pas servit à grand chose, et un coffre, un seul, sa porte arrachée brutalement et retrouvée à l'autre bout de la pièce, destitué de son contenu .

Pas d'or à l'intérieur seulement de la poussière : Après une rapide discussion avec les employés, les gardes découvriront que ce coffre contenait des documents en tout genre, mandas d'arrêt, perquisitions, achats de propriétés... Mais aussi deux cartes de bâtiments, la cathédrale et la prison. Ce coffre contenait également des papiers officiels classés "top secret" par la cour d'Hurlevent.

Le voleur n'était donc pas venu ici pour l'argent : Les gardes eurent le réflexe de demander si d'autres documents de ce type étaient cachés dans la ville. Cette question les conduisit tout droit vers la seconde banque, à la place des marchands. Arrivés là, ils constatèrent que le voleur n'était pas encore passé les prendre, et décidèrent de les emmener en lieu sûr, à la caserne de Hurlevent.

Aucune information sur cet étrange malfrat, bien que certaines rumeurs courent sur son identité...

Le dix-neuvième jours du douzième mois de la trente-et-unième année.

Un homme, doté d'un accent jovial, vient informer la garde d'un incident morbide survenu au cimetière d'Hurlevent : Une tombe mise à bas.
Deux gardes ainsi que le témoin partiront sur les lieux et constateront les dégâts : La pierre tombale a été fendue en deux, le cadavre n'est plus dans sa tombe, et d'énormes traces de griffes parcourent la sépulture formant grossièrement cinq lettres : D-A-N-T-E.

La tombe était celle du soldat James Mcvoy : Soldat ayant servit dans la campagne du Norfendre, et tué au combat dans les Grisonnes.
La piste d'un pilleur de tombe worgen est l'idée qu'on décidé de suivre les gardes, se référant à la barbarie de la scène, et à ses circonstances.
Ils découvriront des traces de bottes s’enfonçant jusqu'au lac, et disparaissant dans les remues de l'eau.

Plusieurs questions ce posent : Pourquoi avoir pillé cette tombe ?
Y a t-il un lien entre l’agresseur et le soldat défunt ?
... Qui peut bien être ce "Dante" ?

Le vingt-et-unième jour, du douzième mois, de la trente-et-unième année.

Un spectacle affolant s'offre au quartier des Mages : la boutique de feux d'artifices du bon Darian Singh part en fumée, les fusées explosent dans le ciel et les habitations alentours sont menacées par l'incendie. Les efforts conjoint de la garde avec un civil worgen auront raison du feu, et mettront un terme à la menace.
L'incendie sera décrit comme criminel, par la disparition d'une cargaison toute entière d'explosif, qui entre de mauvaises mains, pourraient être destructrice.

L'utilisation de phosphore aura été proscrite pour effacer les traces, ce qui finira par amené les gardes au Port de Hurlevent, ou, comme pour les explosifs, une cargaison importante de substance explosive aura été volée. L'odorat du worgen, traçant une étrange odeur de plante, conduira la troupe à une plaque d'égouts à quelques mètres seulement de l'entrée de la prison.

Très peu d'indice quant à l'origine du brigand, bien qu'une piste dévoilée pour des témoins prouvent que celui-ci ne travaille pas seul, et serait accompagné de plusieurs individus. Un lien aura également été crée avec la tombe pillée deux jours plus tôt du soldat James Mcvoy, mais n'ayant apparemment aucune ressemblance avec cette affaire d'explosif : Ce Dante, serait donc impliqué ?

Le vingt-quatrième jour du douzième mois de la trente-et-unième année.

C'est en ce jour sombre qu'un soldat fût retrouvé empalé dans la tombe pillée d'un certain "James Mcvoy". L'homme a d'abord été enterré vivant, avant d'être quelques minutes plus tard tué avec une lance gorgée de poison. C'est un témoin qui conduira la Garde jusqu'au lieu du crime, parlant de cinq voir six individus ayant prit en otage la victime depuis la taverne du cochon siffleur jusqu'au cimetière sans qu'aucun civil ne s'interposent à l'acte criminel.

Il s'agissait du soldat Roland Drive, combattant en Norfendre, les dossiers prouvent qu'il faisait partit de la même escouade que le soldat Mcvoy, mais que lui, aurait survécu à l'embuscade : Une sombre histoire de vengeance ? Possible, mais qui aurait voulut tuer un héros de guerre, et l'humilier de la sorte ? Le suspect principal est évidemment le mystérieux Dante, qui n'a pas encore dévoilé son visage à la ville, ayant sans doute encore d'autres plans derrière la tête.

L'escouade du soldat James Mcvoy était composée de quatre combattant : Roland Drive - Marie Chapt - Kevin Soap et lui même.
Kevin Soap est en ce moment en prison, pour crime de guerre contre le camps Taurajo, il ne sera sûrement pas embêté par ce tueur. Mais, la jeune Marie Chapt, quant à elle, travaille aujourd'hui aux docks du port de Hurlevent : Une cible facile, pour un assassin rusé.

Le vingt-sixième jour du douzième mois de la trente-et-unième année.

Un garde aperçoit deux individus déposant quelque chose près des ruines du parc : En s'approchant, la dépouille d'un homme est identifiée, mais encore conscient. Il s'agit du vieillard Henry Hotsler, son visage a été brutalisé de coup d'armes, son épaule ainsi qu'une partie de son torse est parsemée de sang mélangé aux lambeaux de ses vêtements avec quelques morceaux de chairs, sa seconde épaule a quant à elle été embrochée par ce qui pourrait s'apprêter à une lance.

Mais voilà, que sur un morceau de roche à côté de lui, l'on peut lire distinctement cinq lettres familières... D-A-N-T-E. Le pilleur de tombe, ainsi que le principal suspect d'un meurtre de soldat. La victime ne se souvient pas de ses agresseurs, ni même des trois derniers jours qu'il a passé : L'oeuvre d'une potion d'oubli ?
Henry Hotsler était allé dénoncer un groupe jugé "criminel" à la Garde un jour avant, et avait été menacé de mort le midi même suivant son témoignage.

Son agression provenait donc d'un règlement de compte, mais pourquoi alors n'avoir pas tué le vieil homme ? Peut être par simple avertissement.
Les témoins parlent d'environs cinq personnes ayant été vues enlevant Mr Hotsler en pleine rue, dont un aurait été interpellé par la Garde mais s'en serait sorti quelques minutes plus tard. Ça ne s'arrêtera sans doute pas là, il reste encore deux personnes qui sont semble-t-il encore dans le collimateur de ce Dante...

...Mais quand frappera t-il ?