Tourments
Page 1 sur 1
Tourments
Les journées étaient dures et les émotions étaient fortes. Les évènements s'enchainaient et cela était fatiguant pour les nerfs de l'arcaniste.
Il y avait ses leçons, qui lui prenaient beaucoup de temps mais qui ne progressaient pas assez vite selon elle, mais evidemment, le perfectionnement est quelque chose qui prend du temps et une jeune impatiente comme Céralynde n'aimait pas attendre. Aussi, elle redoublait d'efforts et d'assiduités dans ses études, voulait mettre au point des sorts usant de chronomancie mais utilisable aisément en situation de combat réel. Difficile mais pas impossible, il lui fallait juste de la pratique.
Bien sûr, il y avait également les affaires courantes de la garde dans lesquels elle était impliquée, et là dessus, elle n'avait jamais ressentie une haine aussi forte depuis sa rédemption. Elle sentait que cela pouvait la consummer, surtout que ce lâche l'avait frappée là où elle était vulnérable : Céralynde n'avait absolument aucune information ni aucune certitude sur son passé et ses origines. Ces sous-entendus la faisait bouillir au plus haut point.
Elle avait également entendu parler de ces histoires sur les Coeurs de Lions, commençant à croire que la couardise et le déshonneur était la marque de fabrique de ce qu'elle appelait la "Nouvelle Lordaeron". Peuplée d'opportunistes égocentriques luttant plus pour assoir leur égo et leur "pouvoir" que par réel patriotisme. Brandissant la Lumière comme prétexte pour aveugler les masses et prétendre agir avec honneur en son nom tout en se livrant aux pires bassesses.
Mais heureusement, il n'y avait pas que ce tableau noir. Elle avait Leizen qui, bien qu'occupée par ces mêmes affaires, savait garder son calme. Bien qu'elle se montrait parfois insouciante ou bien qu'elle ne réalisait peut être pas vraiment l'ampleur de la menace, sa présence l'apaisait. Souvent inquiète pour son amie mais lui faisant suffisemment confiance pour ne pas simplement l'attacher dans une cave pour sa propre sécurité, savoir qu'elle était là à s'occuper de ces affaires la rassurait.
Elle eu également le loisir de faire des rencontres plus ou moins fortuites mais qui n'en sont pas moins inintéressante. Ce chevalier Hallard qui ressemblait beaucoup plus à un paladin que tout ses paons dorés qui se pavanent généralement devant la Cathédrale, beaucoup arborant fièrement un tabard à la flamme rouge, fier défenseur de Lordaeron, massacrant et torturant tout ceux qui ne portent pas leurs couleurs, près à exterminer tous ceux qui ne partagent pas leur vision de la Lumière. Mais non, cet homme plutôt qu'une vindicte agressive, était d'un calme visiblement imperturbable. Sa vision de la Lumière était interessante et même séduisante. Mais surtout, sa vie semblait simple. Si simple, comme elle le souhaiterai pour elle même et pour son enfant. Une femme haute-elfe, des filles rêvant de prendre la relève de leur père, et ce dernier qui n'attendait qu'à transmettre le flambeau pour pouvoir ensuite profiter de sa vie de famille.
Et pour finir, il y avait "Towann". Elle était en général tellement exténuée en rentrant qu'elle ne faisait plus attention au fait qu'il ne s'agissait "que" de lui. Se vautrant le plus souvent dans ses bras et fermant les yeux pour s'apaiser. S'il avait put être sur la défensive fut un temps, le comportement de l'arcaniste étaient redevenu comme "avant", fatiguée, se laissant paraitre vulnérable devant lui, ne cachant pas son désir d'affection et de contacts apaisants. Elle en profitait autant que possible car elle savait... Elle savait que le lendemain, ce serait une nouvelle spirale éprouvante pour ses nerfs. Ce qui lui arrivait d'oublier par contre, c'était ce qu'il pouvait bien se passer à Féralas pendant qu'elle se reposait dans les bras du Belluaire.
Il y avait ses leçons, qui lui prenaient beaucoup de temps mais qui ne progressaient pas assez vite selon elle, mais evidemment, le perfectionnement est quelque chose qui prend du temps et une jeune impatiente comme Céralynde n'aimait pas attendre. Aussi, elle redoublait d'efforts et d'assiduités dans ses études, voulait mettre au point des sorts usant de chronomancie mais utilisable aisément en situation de combat réel. Difficile mais pas impossible, il lui fallait juste de la pratique.
Bien sûr, il y avait également les affaires courantes de la garde dans lesquels elle était impliquée, et là dessus, elle n'avait jamais ressentie une haine aussi forte depuis sa rédemption. Elle sentait que cela pouvait la consummer, surtout que ce lâche l'avait frappée là où elle était vulnérable : Céralynde n'avait absolument aucune information ni aucune certitude sur son passé et ses origines. Ces sous-entendus la faisait bouillir au plus haut point.
Elle avait également entendu parler de ces histoires sur les Coeurs de Lions, commençant à croire que la couardise et le déshonneur était la marque de fabrique de ce qu'elle appelait la "Nouvelle Lordaeron". Peuplée d'opportunistes égocentriques luttant plus pour assoir leur égo et leur "pouvoir" que par réel patriotisme. Brandissant la Lumière comme prétexte pour aveugler les masses et prétendre agir avec honneur en son nom tout en se livrant aux pires bassesses.
Mais heureusement, il n'y avait pas que ce tableau noir. Elle avait Leizen qui, bien qu'occupée par ces mêmes affaires, savait garder son calme. Bien qu'elle se montrait parfois insouciante ou bien qu'elle ne réalisait peut être pas vraiment l'ampleur de la menace, sa présence l'apaisait. Souvent inquiète pour son amie mais lui faisant suffisemment confiance pour ne pas simplement l'attacher dans une cave pour sa propre sécurité, savoir qu'elle était là à s'occuper de ces affaires la rassurait.
Elle eu également le loisir de faire des rencontres plus ou moins fortuites mais qui n'en sont pas moins inintéressante. Ce chevalier Hallard qui ressemblait beaucoup plus à un paladin que tout ses paons dorés qui se pavanent généralement devant la Cathédrale, beaucoup arborant fièrement un tabard à la flamme rouge, fier défenseur de Lordaeron, massacrant et torturant tout ceux qui ne portent pas leurs couleurs, près à exterminer tous ceux qui ne partagent pas leur vision de la Lumière. Mais non, cet homme plutôt qu'une vindicte agressive, était d'un calme visiblement imperturbable. Sa vision de la Lumière était interessante et même séduisante. Mais surtout, sa vie semblait simple. Si simple, comme elle le souhaiterai pour elle même et pour son enfant. Une femme haute-elfe, des filles rêvant de prendre la relève de leur père, et ce dernier qui n'attendait qu'à transmettre le flambeau pour pouvoir ensuite profiter de sa vie de famille.
Et pour finir, il y avait "Towann". Elle était en général tellement exténuée en rentrant qu'elle ne faisait plus attention au fait qu'il ne s'agissait "que" de lui. Se vautrant le plus souvent dans ses bras et fermant les yeux pour s'apaiser. S'il avait put être sur la défensive fut un temps, le comportement de l'arcaniste étaient redevenu comme "avant", fatiguée, se laissant paraitre vulnérable devant lui, ne cachant pas son désir d'affection et de contacts apaisants. Elle en profitait autant que possible car elle savait... Elle savait que le lendemain, ce serait une nouvelle spirale éprouvante pour ses nerfs. Ce qui lui arrivait d'oublier par contre, c'était ce qu'il pouvait bien se passer à Féralas pendant qu'elle se reposait dans les bras du Belluaire.
Nihel Narendir- Citoyen
- Nombre de messages : 3293
Age : 36
Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 55
Date d'inscription : 24/12/2008
Feuille de personnage
Nom de famille: Narendir
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum