Le Tueur de la rose.

Plus tôt dans l'après midi, un cadavre d'une jeune femme a été découvert dans un buisson discret, non loin de la place Faol... La jeune femme est morte par strangulation a première vu... Son petit doigt, sectionné, sur son torse, une rose déposée... Un règlement de compte ayant mal tourner ? Un collectionneur de doigt ? Un meurtrier sadique ? Le mystère plane sur cette affaire... Mais quelque chose vous dis que ça ne fait que commencer... Que l'auteur va poursuivre et ce... peut être même plus tôt que vous ne le pensez...

C'est avec dégout que la garde découvre la seconde victime... Le but du meurtrier était sans doute de se faire remarquer, de faire passer un message... C'est chose faites, la lettre retrouvé dans les restes de cadavres éparpiller sur la place est clair... Il veut "jouer" avec vous...


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*Quelque part dans une maison recluse*

Le Tueur de la rose : "Voilà... la machine est lancée, la garde ne pourra plus nier mon existence et je leur montrerais que je suis le plus malin...NIARK ! NIARK !" dit-il en jubilant alors qu'il laisse tomber les deux doigt dérobé a la jeune femme dans un énorme bocal remplis d'un liquide jaunâtre ainsi que du premier doigt, de la première victime...

Minuit... L'heure du crime... L'heure a laquelle la belle Emma frappe les pavés de ses petits sabots de bois, un panier d'orange retenu à son avant bras. Il est tard et la ville est déjà silencieuse, c'est la bonne heure pour rentrer après une dure journée de labeur.

Alors que la demoiselle arpente les rues endormie de la ville, cette dernière se sent observer... épier. Elle se retourne une première fois, rien... Sans doute son imagination se dit elle alors qu'elle se retourne pour poursuivre sa route. Son imagination Ou la présence de cet homme, reclus dans cette sombre ruelle, plaquant son hachoir a viande sur sa poitrine, dos au mur, le souffle court alors qu'il venait d'esquiver le regard de la jeune femme s'étant douter... Ayant resenti sa présence, ses sens étaient en effervescence...

Il sait ce qu'il va faire et pourquoi il doit le faire... C'est ancré en lui, son instinct le guide, il ne peut luter. Il s'approche, silencieux, pressant le pas pour rattraper la jeune demoiselle qui empreinte une petite ruelle afin rejoindre son domicile. Elle se retourne pour la seconde fois lorsque soudain... !

Il était là, face à elle. Le Tueur de la rose !

Avant que la jeune femme n'eut le temps de pousser le moindre cri, il la saisit a la gorge, serrant de toute ses force, ne laissant sortir de la bouche de la pauvre femme qu'un faible soupir étouffé en guise d'appel à l'aide...

Elle s'écroule au sol, inerte, telle une marionnette a qui l'on aurait coupé les liens servant à l'animée alors que son panier se renverse laissant les oranges rouler sur la petite place recluse.

Alors que le fruit roule sur les pavés, il poursuis sa route dans une marre de sang pour venir au final terminer sa course contre la main de la jeune femme... Main a laquelle il manque trois doigts...

l'homme regarde autour de lui, prenant conscience de l'acte, cherchant une alternative...

- Vite... je ne dois pas trainé... Le puits...

Ni une ni deux, il attrape les restes de cette beauté au traits cadavérique et la balance dans le petit puits présent, se gardant bien d'emballer les trois doigts dans un chiffon sanglant avant de déposé une rose noire sur les rebords du point d'eau, reprenant sa route, l'air plus serein...

*Un homme déambule les rues sombre de la ville, seul, ruminant de bien sombres envies...*

-Ca y est... Ce soir, c'est la bonne... Ca va recommencer et ça recommencera si personne ne parvient a m'arrêter. j'y suis obliger... C'est plus fort que moi, c'est... Ce moment de faiblesse insurmontable auquel je m'adonne sans aucune retenue, ce moment si excitant ou... Je perd contrôle.

*Une silhouette à été aperçue ce soir la dans le cimetière... Le fossoyeur ? Ce dernier affirme ne pas avoir travailler ce soir la mais cet homme... Ce même homme qui pense, sur de lui : *

-Je n'ai laissé aucune trace, personne ne m'a vu... Et quoi de mieux que de cacher un cadavre dans un cimetière. Dit il alors qu'il repousse la dalle d'une tombe pour cacher son nouveau méfait, repartant avec quatre doigts en poche, soigneusement emballer dans un tissu sanglant, laissant derrière lui, sur cette tombe, une rose noire sur une trainée de sang frais... Encore une.