Arrestation
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Arrestation
Les deux femmes referment la porte et Thêmys se laisse aller quelques instants contre la tête du lit, reprenant son souffle avant d'éclater de rire. Ces deux gourdes ne s'étaient même pas rendu compte que personne ne l'avait fouillé et qu'elle avait toujours ses dagues et sa sacoche sur elle.
- Quelle bandes de branleurs quand même...
Elle rajoute mentalement l'insulte à la collection de celles qu'elle a débité plus tôt dans la soirée au petit groupe venu l'arrêter et se redresse sur le matelas trop ferme. "Évidement, un matelas de caserne, même d'infirmerie, ça n'est pas fait pour inciter à la paresse, pour le moelleux, on repassera", songe-t-elle. Elle est plutôt contente d'elle même, finalement, elle a réussi à se contenir et à ne pas se retrouver deux étages plus bas, dans les vieilles cellules. Elle se promet de tout raconter à Dempsey quand elle sortira, sûre qu'il sera fier d'elle -après l'avoir enguirlandé sans aucun doute-.
Thêmys fouille sa sacoche, en sort un jeu de fines tiges en acier et entreprend d'ouvrir les menottes qui la retiennent au lit. Les deux femmes n'y sont pas allé de main morte, et la voleuse soupire de soulagement quand le "clic" libérateur se fait entendre au bout de quelques instants. "Au moins, j'ai pas perdu la main" s'amuse-t-elle. Aussitôt levée, elle fait le tour de la pièce, cherchant une autre issue que la porte.
Rien. Elle soupire et ouvre, un peu par curiosité, beaucoup par dépit, la première armoire qu'elle trouve. Celle-ci est remplie de bandages d'un blanc immaculé. Magnifique matériau avec lequel elle entreprend de redécorer l'intégralité de l'infirmerie. En quelques minutes, d'immenses bandes blanches flottent le long des murs, des poutres, sur les armoires. Elle crée un bouquet de fleur qu'elle plante dans un vase de nuit et qu'elle pose en décoration sur la table de chevet de l'autre autre malade de la pièce. "Du seul, en fait, parce que pour elle, tout allait bien merci !" Par terre, elle prend soin de lover les rubans pour former le signe du Baron Rouge, au beau milieu de la pièce. Elle recule pour jauger son œuvre et sourit encore.
- Allez tous vous faire foutre...
Elle ouvre l'armoire suivante où des fioles s'alignent. Elle en ouvre une, puis deux, humant les différentes mixtures. Elle en écarte quelques unes et décide de former de nouveaux mélanges.
- "Alors... Un peu de potion de sommeil sans rêve avec une potion de rage... Un peu de potion de soin avec... hmmm... du laxatif... " Elle rajoute dans chaque fiole un peu de potion de cauchemars, celle qu'elle devait justement livrer ce soir et réaligne soigneusement chaque fiole, avec un soin maniaque.
Elle entend la demi de la seconde heure sonner quand elle ouvre la troisième armoire.
- Ahhh mon lit !
L'armoire est pleine de draps propres et de couvertures, qu'elle entreprend d'empiler, formant un matelas moelleux dans le coin le plus reculé de la pièce. Elle tapote le tout et pique deux oreillers sur les lits inoccupés. "ça va être parfait tout ça !"
Elle tend l'oreille régulièrement, attentive au bruit de la porte d'entrée. Rassurée, elle ouvre à nouveau sa sacoche, y range les tiges d'acier et étale sur un lit ses encres et son carnet de croquis. A l'aide d'un fusain, elle esquisse à traits grossiers le visage des quatre gardes qui l'ont arrêté. Un portrait par page, qu'elle découpe soigneusement ensuite, les posant devant elle.
Trempant une aiguille dans l'encre, elle s'attelle ensuite à tracer les contours plus précis des visages... Elle tire la langue, concentrée, et traces des pleins et des déliés soigneusement calligraphiés. En effet, elle ne dessine pas les visages de manière traditionnelles, mais en calligrammes... Pour celui qui se penche sur les dessins, chaque mot tracé est une insulte soigneusement choisie, fortement imagée, adressée directement à la personne représentée sur le portrait.
Une fois ce petit exercice terminé, elle range soigneusement ses encres, son carnet, ses fusains. Elle referme la sacoche et la pose sur le premier lit qu'elle occupait, plus tôt dans la soirée. Ses dagues glissent du fourreau et elle et alignent à côté de la sacoche, après avoir pris soin de les essuyer soigneusement. Une fois satisfaite d'elle même, elle retourne à son lit improvisé, récupérant au passage les quelques fioles qu'elle a mis de côté.
Elle s'installe, tranquillement, et ouvre les fioles. Trois en tout. Quand elle entend les gardes revenir, la porte de la caserne s'ouvrir, elle en avale le contenu d'un trait. L'une après l'autre. Le liquide âcre coule dans sa gorge, se répand dans son estomac et manque de la faire vomir à nouveau. L'engourdissement la gagne presque aussitôt, ses membres deviennent lourd, sa tête se renverse en arrière, et quand la porte s'ouvre, elle a déjà sombré dans un profond sommeil, proche du coma.
- Quelle bandes de branleurs quand même...
Elle rajoute mentalement l'insulte à la collection de celles qu'elle a débité plus tôt dans la soirée au petit groupe venu l'arrêter et se redresse sur le matelas trop ferme. "Évidement, un matelas de caserne, même d'infirmerie, ça n'est pas fait pour inciter à la paresse, pour le moelleux, on repassera", songe-t-elle. Elle est plutôt contente d'elle même, finalement, elle a réussi à se contenir et à ne pas se retrouver deux étages plus bas, dans les vieilles cellules. Elle se promet de tout raconter à Dempsey quand elle sortira, sûre qu'il sera fier d'elle -après l'avoir enguirlandé sans aucun doute-.
Thêmys fouille sa sacoche, en sort un jeu de fines tiges en acier et entreprend d'ouvrir les menottes qui la retiennent au lit. Les deux femmes n'y sont pas allé de main morte, et la voleuse soupire de soulagement quand le "clic" libérateur se fait entendre au bout de quelques instants. "Au moins, j'ai pas perdu la main" s'amuse-t-elle. Aussitôt levée, elle fait le tour de la pièce, cherchant une autre issue que la porte.
Rien. Elle soupire et ouvre, un peu par curiosité, beaucoup par dépit, la première armoire qu'elle trouve. Celle-ci est remplie de bandages d'un blanc immaculé. Magnifique matériau avec lequel elle entreprend de redécorer l'intégralité de l'infirmerie. En quelques minutes, d'immenses bandes blanches flottent le long des murs, des poutres, sur les armoires. Elle crée un bouquet de fleur qu'elle plante dans un vase de nuit et qu'elle pose en décoration sur la table de chevet de l'autre autre malade de la pièce. "Du seul, en fait, parce que pour elle, tout allait bien merci !" Par terre, elle prend soin de lover les rubans pour former le signe du Baron Rouge, au beau milieu de la pièce. Elle recule pour jauger son œuvre et sourit encore.
- Allez tous vous faire foutre...
Elle ouvre l'armoire suivante où des fioles s'alignent. Elle en ouvre une, puis deux, humant les différentes mixtures. Elle en écarte quelques unes et décide de former de nouveaux mélanges.
- "Alors... Un peu de potion de sommeil sans rêve avec une potion de rage... Un peu de potion de soin avec... hmmm... du laxatif... " Elle rajoute dans chaque fiole un peu de potion de cauchemars, celle qu'elle devait justement livrer ce soir et réaligne soigneusement chaque fiole, avec un soin maniaque.
Elle entend la demi de la seconde heure sonner quand elle ouvre la troisième armoire.
- Ahhh mon lit !
L'armoire est pleine de draps propres et de couvertures, qu'elle entreprend d'empiler, formant un matelas moelleux dans le coin le plus reculé de la pièce. Elle tapote le tout et pique deux oreillers sur les lits inoccupés. "ça va être parfait tout ça !"
Elle tend l'oreille régulièrement, attentive au bruit de la porte d'entrée. Rassurée, elle ouvre à nouveau sa sacoche, y range les tiges d'acier et étale sur un lit ses encres et son carnet de croquis. A l'aide d'un fusain, elle esquisse à traits grossiers le visage des quatre gardes qui l'ont arrêté. Un portrait par page, qu'elle découpe soigneusement ensuite, les posant devant elle.
Trempant une aiguille dans l'encre, elle s'attelle ensuite à tracer les contours plus précis des visages... Elle tire la langue, concentrée, et traces des pleins et des déliés soigneusement calligraphiés. En effet, elle ne dessine pas les visages de manière traditionnelles, mais en calligrammes... Pour celui qui se penche sur les dessins, chaque mot tracé est une insulte soigneusement choisie, fortement imagée, adressée directement à la personne représentée sur le portrait.
Roland se voit donc affublé du délicieux sobriquet de "Débile mental", Stessia de "Pute à Murloc-comme-Karven-d'ailleurs", L'intelligence d'Alïane est fortement remise en question, -comme celle de tout le reste de la Garde aussi- et Aceler, lui est une "couille molle". Tout le reste des calligrammes est à l'avenant, un "délicieux" recueil d'insultes et de demi vérité, le tout pimenté à la sauce Thêmys.
Une fois ce petit exercice terminé, elle range soigneusement ses encres, son carnet, ses fusains. Elle referme la sacoche et la pose sur le premier lit qu'elle occupait, plus tôt dans la soirée. Ses dagues glissent du fourreau et elle et alignent à côté de la sacoche, après avoir pris soin de les essuyer soigneusement. Une fois satisfaite d'elle même, elle retourne à son lit improvisé, récupérant au passage les quelques fioles qu'elle a mis de côté.
Elle s'installe, tranquillement, et ouvre les fioles. Trois en tout. Quand elle entend les gardes revenir, la porte de la caserne s'ouvrir, elle en avale le contenu d'un trait. L'une après l'autre. Le liquide âcre coule dans sa gorge, se répand dans son estomac et manque de la faire vomir à nouveau. L'engourdissement la gagne presque aussitôt, ses membres deviennent lourd, sa tête se renverse en arrière, et quand la porte s'ouvre, elle a déjà sombré dans un profond sommeil, proche du coma.
Thêmys- Citoyen
- Nombre de messages : 813
Lieu de naissance : Baie du Butin
Age : 32
Date d'inscription : 11/03/2013
Feuille de personnage
Nom de famille: Recellson
Re: Arrestation
Aliane poussa un juron quand elle entra à l'infirmerie. D'une part contre Watshell, qui n'avait pas fouillé la dame en entrant dans la caserne, et d'autre part contre elle qui, dans la précipitation pour aller arrêter Sergio Grix, ne s'en était pas rendue compte..
"Jamais je n'aurais de nuit de plus de 5 heures..."...et elle soupira, appelant des factionnaires de nuit qui s'occupèrent de vérifier l'état de Thémys.
Quand ils furent assuré qu'elle était vivante mais qu'elle ne se réveillerait pas, ils la menottèrent en poignet, lui enlevèrent ses effets et ses habits, en ne lui laissant qu'un haut et un bas décent, après avoir bien entendu tout fouillé.
Aliane quant à elle s'occupa de ranger, d'enrouler tous les bandages, ne prêtant guère attentions aux motifs qu'ils pourraient former que d'un regard plat et las. Quand les factionnaires eurent fini de placer Thémys dans sa cellule, les fers attachés à ses pieds, des menottes aux mains, ils revinrent aider leur Sergent pour s'attaquer aux fioles déplacées et/ou mélangées, jettent et remplaçant tout ce qui serait inutilisable par la suite.
D'autres s’attaquèrent aux affaires de Thémys, qui contenait sans nul doute des choses fort intéressantes. Un rapport complet aurait dû être fait dans la minute si un des gardes n'était pas devenu tout rouge, toussant à ne presque plus pouvoir respirer, alors qu'il finissait de ranger les affaires de Thémys dans un carton. Une réaction allergique à quelque chose dans se sac, assurement.
Une fois le rangement de l'infirmerie fini, ce qui pris deux bonnes heures, Aliane entendit les coups de cloches annonçant sept heures et soupira longuement, et alla boire du Kawa, en grande quantité..."Encore une qui finira au bout de la corde..."
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Hedwë a écrit:Mais comme le dit Aliane peu être un peu brusquement...
Aliane Trias- Officier supérieur de la Garde
- Nombre de messages : 4357
Date d'inscription : 22/09/2011
Feuille de personnage
Nom de famille: Trias
Re: Arrestation
Ce que vous trouvez dans les affaires de Thêmys :
* Ceinture : de la feuillerêve et du pavot de pluie. De quoi rouler des joints.
* Poches : quelques pièces de monnaie. Des sucettes à la cerises. Dans une poche, quelques sachets qui s'effritent si vous les touchez et qui répandent une poudre urticante très volatile.
* Cheveux : un mini émetteur gnome, au dessus de l'oreille gauche. Bizarrement, semble ne pas fonctionner.
* Sacoche : (une sacoche bien usée, tachée, le cuir éraflé de couleur... rouge évidement.)
- son carnet de croquis, au trois quart remplis. Des dessins, plein. Des esquisses, des portraits (des gens plus ou moins connus et des inconnus visiblement croqués à la va-vite), des bâtiments, le blason du Baron, des gribouillis...
- des fioles d'encre de couleurs, plus ou moins remplies.
- des coupelles en cuivre.
- des tissus tachées d'encre et de sang. Des tissus propres.
- une dizaine de pièces d'or, en vrac, au fond du sac (oui oui je connais la valeur de l'or...)
- des paquets d'aiguilles soigneusement emballées. Et des plumes bien taillées.
- des sucettes à la cerise.
- des fusains et des sanguines.
- son kit d'ouverture de serrures.
- quatre petites fioles, soigneusement attachées le long de la paroi de la sacoche. Contenant un liquide épais et visqueux, à l'odeur âcre. (me demander pour les curieux...)
Les tatouages de Thêmys que vous pouvez découvrir vu qu'elle a été mis au cachot à poil...
Quand elle est nue, l’ensemble de ses tatouage se révèle impressionnant, avec pour pièce pivot un lierre qui part de son pied droit, s’enroule le long du mollet et de la cuisse, traverse le ventre, s’enroule autour du torse et va rejoindre les roses au niveau du cou et de la nuque. Le lierre l’étreint étroitement, semblant par endroit carrément sortir de la peau de la jeune femme, et pas seulement se lover autour d'elle.
- Visage : des étoiles qui forment une constellation sur sa joue gauche. De la tempe, jusqu'au nez et elles descendent dans le cou.
- Bras : Entièrement tatoués de roses rouges, d'une forme particulière. Des roses qui ne poussent pas dans le royaume sans doute... Les roses prennent racine sur le dos des mains de la voleuse et remontent jusqu'aux épaules. Rose et feuillage de rose recouvrent intégralement les bras et côté droit, les roses s’enroulent autour d’une dague finement ouvragée, à l'intérieur du poignet. (habituellement cachée par les brassards qui ne la quittent jamais...)
- A la naissance de ses cheveux, sur la nuque, une lune, presque pleine.
- Un bébé tigre dort sur sa hanche gauche, à l’ombre que le feuillage du lierre crée sur le rebondie de la hanche.
- Sur le ventre de petites fées fléchetteuses semblent jouer dans le lierre sur le ventre et la poitrine de la jeune femme. Les petites fées ont l’air très heureuse d’être là.
- Le dos : Au creux de ses reins juste au dessus de ses fesses, ce qui semble être un cercle non terminé, composé de runes antiques. Certaines semblent plus fraîchement tatouées que d’autres. Les runes ne sont pas disposées symétriquement, ni dans un ordre particulier, ce qui donne un aspect étrange au tatouage. 18 runes en tout, dont une très fraîchement tatouée.
Dans son dos un dragon rouge s’agrippe à sa peau, et serre dans une de ses griffes un morceau du lierre. Sa tête est tournée et son regard fixe celui qui contemple ce tatouage. Ce tatouage est tellement réaliste, que le dragon semble prêt à prendre son envol… (le dragon est tatoué sur les trois quart du dos, c'est la pièce la plus imposante de tous les tatouages qu'elle possède. Si vous touchez ce tatouage, il est étrangement plus chaud que le corps de Thêmys -déjà plus chaud que la normale-)
- Jambe gauche : sur la cuisse, le portrait de Lendrith Recellson, en buste, en forme d'humain et de worgen. Sur le mollet, un sha de la colère qui part de la cheville et remonte jusqu'au creux du genou.
Sur la jambe droite, le lierre qui la recouvre prend racine...
* Ceinture : de la feuillerêve et du pavot de pluie. De quoi rouler des joints.
* Poches : quelques pièces de monnaie. Des sucettes à la cerises. Dans une poche, quelques sachets qui s'effritent si vous les touchez et qui répandent une poudre urticante très volatile.
* Cheveux : un mini émetteur gnome, au dessus de l'oreille gauche. Bizarrement, semble ne pas fonctionner.
* Sacoche : (une sacoche bien usée, tachée, le cuir éraflé de couleur... rouge évidement.)
- son carnet de croquis, au trois quart remplis. Des dessins, plein. Des esquisses, des portraits (des gens plus ou moins connus et des inconnus visiblement croqués à la va-vite), des bâtiments, le blason du Baron, des gribouillis...
- des fioles d'encre de couleurs, plus ou moins remplies.
- des coupelles en cuivre.
- des tissus tachées d'encre et de sang. Des tissus propres.
- une dizaine de pièces d'or, en vrac, au fond du sac (oui oui je connais la valeur de l'or...)
- des paquets d'aiguilles soigneusement emballées. Et des plumes bien taillées.
- des sucettes à la cerise.
- des fusains et des sanguines.
- son kit d'ouverture de serrures.
- quatre petites fioles, soigneusement attachées le long de la paroi de la sacoche. Contenant un liquide épais et visqueux, à l'odeur âcre. (me demander pour les curieux...)
Les tatouages de Thêmys que vous pouvez découvrir vu qu'elle a été mis au cachot à poil...
Quand elle est nue, l’ensemble de ses tatouage se révèle impressionnant, avec pour pièce pivot un lierre qui part de son pied droit, s’enroule le long du mollet et de la cuisse, traverse le ventre, s’enroule autour du torse et va rejoindre les roses au niveau du cou et de la nuque. Le lierre l’étreint étroitement, semblant par endroit carrément sortir de la peau de la jeune femme, et pas seulement se lover autour d'elle.
- Visage : des étoiles qui forment une constellation sur sa joue gauche. De la tempe, jusqu'au nez et elles descendent dans le cou.
- Bras : Entièrement tatoués de roses rouges, d'une forme particulière. Des roses qui ne poussent pas dans le royaume sans doute... Les roses prennent racine sur le dos des mains de la voleuse et remontent jusqu'aux épaules. Rose et feuillage de rose recouvrent intégralement les bras et côté droit, les roses s’enroulent autour d’une dague finement ouvragée, à l'intérieur du poignet. (habituellement cachée par les brassards qui ne la quittent jamais...)
- A la naissance de ses cheveux, sur la nuque, une lune, presque pleine.
- Un bébé tigre dort sur sa hanche gauche, à l’ombre que le feuillage du lierre crée sur le rebondie de la hanche.
- Sur le ventre de petites fées fléchetteuses semblent jouer dans le lierre sur le ventre et la poitrine de la jeune femme. Les petites fées ont l’air très heureuse d’être là.
- Le dos : Au creux de ses reins juste au dessus de ses fesses, ce qui semble être un cercle non terminé, composé de runes antiques. Certaines semblent plus fraîchement tatouées que d’autres. Les runes ne sont pas disposées symétriquement, ni dans un ordre particulier, ce qui donne un aspect étrange au tatouage. 18 runes en tout, dont une très fraîchement tatouée.
Dans son dos un dragon rouge s’agrippe à sa peau, et serre dans une de ses griffes un morceau du lierre. Sa tête est tournée et son regard fixe celui qui contemple ce tatouage. Ce tatouage est tellement réaliste, que le dragon semble prêt à prendre son envol… (le dragon est tatoué sur les trois quart du dos, c'est la pièce la plus imposante de tous les tatouages qu'elle possède. Si vous touchez ce tatouage, il est étrangement plus chaud que le corps de Thêmys -déjà plus chaud que la normale-)
- Jambe gauche : sur la cuisse, le portrait de Lendrith Recellson, en buste, en forme d'humain et de worgen. Sur le mollet, un sha de la colère qui part de la cheville et remonte jusqu'au creux du genou.
Sur la jambe droite, le lierre qui la recouvre prend racine...
Dans sa geôle, la voleuse est lovée sur elle même, les chaînes de ses poignets et de ses chevilles l'empêchant de se rouler complétement en boule. Elle dort depuis qu'elle a pris les potions, dans un semi coma qui dure. Sa peau est bien plus fraîche que la veille et elle semble plus pâle à la lumière des torche des geôles. Elle remue très peu, parcourue parfois de frissons intenses qui la couvrent de chair de poule. Rêve-t-elle ? Nul ne peut le dire...
Thêmys- Citoyen
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Lieu de naissance : Baie du Butin
Age : 32
Date d'inscription : 11/03/2013
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