Les rumeurs vont bon train.
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Les rumeurs vont bon train.
Albert Dupont et Gérard Pontel dit "Gégé la frime" arrivèrent au port, chargés de leur canne à pêche, de leurs paniers, de divers appâts, et de leurs incontournables chapeau de paille. Ils s'installèrent tous deux sur un des pontons et commencèrent à hameçonner leurs cannes à pêches dans le but d'apporter de la boustifaille pour leurs gosses ce soir.
Albert, lança sa ligne dans l'eau, puis vint bourrer sa pipe de tabac qu'il alluma avant de tirer de grandes bouffées.
"Dis Gégé" dit Albert.
"Ouais Dédé ?" répondit Gégé.
"J'ai vu la vieille Cooper se barrer aujourd'hui. Y'a un truc qui m'chiffone".
"D'quoi tu m'causes ?" dit Gégé en chiquant comme à son habitude.
"Ben t'vois. C'matin très tôt, j'ai vu la gamine tu sais. La femme Cooper, la fille de Davenant. Elle est allée chez la vieille Cooper avec une charette, et des sacs et des valises qui montaient presque jusqu'au ciel t'vois."
Il tira longuement sur sa pipe, comme si il cherchait ses mots.
Et elle lui faisait les valises à la vieille. Mais elles ont laissés tous les meubles. A part quelques trucs, mais tu vois, elles ont tout laissés en état."
Gégé chiqua puis cracha son morceau dans l'eau en se raclant la gorge comme un homme se doit.
"La gamine doit l'emmener vivre chez elle. Maintenant qu'son mari est mort."
"L'est mort le roux ?!"
"Oh putain mais Dédé t'es encore ivre comme une outre toi ! Bien sûr qu'il est mort ! Il a tué Jean Mimolette ! Tu sais le petit Jeannot de la vieille Simone ! Ca a même fait tout un raffus !"
"Ouais mais tu vois gégé. Pas plus tard que y'a une semaine. La vieille Cooper m'a dit que la p'tite avait vendu sa maison en Elwynn. Alors... Si elle a plus de baraque, et qu'elle vient pas habiter chez la vieille. Elles vont pas aller à la caserne ?"
"T'as raison dédé c'louche cette histoire. Ou qu'elles vont mettre tous les gosses ? Sont toute une chiée là dedans !"
Dédé et Gégé fumait et chiquait au rythme des clapotis de l'eau, vérifiant leur ligne de temps en temps. Ils saluèrent Bernard la friture qui passait par là pour aller vendre ses petits poissons au marché. Plus tard ils sifflèrent la jolie Fanny qui s'en allait racler le dos des moules pour le compte de son père. C'est qu'elle était jolie la Fanny avec sa jupe qui se soulevait avec le vent. Ah ça, n'importe qui pouvait se payer une trique d'enfer, rien qu'en voyant les jolies cuisses de la Fanny !
"Tu sais Dédé. Moi j'crois qu'elle envoit tout le monde à Darnassus. Tu sais qu'le père avait contaminé sa gamine. C'est une worgen elle aussi. Maintenant qu'il est mort, j'serais pas étonnée qu'la mère se débarrasse d'elle en l'envoyant aux elfes là bas. Sinon pourquoi qu'elle les ferait tous déménager ?".
"T'as raison Gégé, elle s'en débarasse. Il parait qu'elle retourne tous les après-midi à la Cathédrale prier. Moi j'suis sur qu'il se passe des choses louches là bas. Le père Davenant c'était pas un marrant avec sa fille. Y'avait des rumeurs comme quoi qu'il était écarlate tu vois. J'suis sûre que la gamine va se fouetter, ou un truc tordu du genre, au nom de la Lumière !"
"Crédiou Dédé t'es con toi ! Jure pas comme ça d'la Lumière ! Sinon il va faire tout noir sur nos têtes !"
En effet l'orage commençait à poindre au loin. De nombreux éclairs zébraient le ciel sur l'océan, et le bruit se répercutait au loin. Dédé et Gégé rangèrent leur lignes et leurs petits paniers, et se hâtèrent bien d'aller rejoindre le Cochon Siffleur. Après tout ils avaient bien mérités une bonne bière !
"Y'a un autre qui est bizarre Gégé. La vieille Cooper semblait très inquiète. Moi j'te dis que y'a un truc louche là dessus."
"De toute façon, les Gardes de Hurlevent c'est tous des pédés dégénérés."
Deçà-delà ils partirent en rigolant, sifflant toutes les jolies filles des rues, évitant les grosses gouttes qui leur tombaient dessus.
Albert, lança sa ligne dans l'eau, puis vint bourrer sa pipe de tabac qu'il alluma avant de tirer de grandes bouffées.
"Dis Gégé" dit Albert.
"Ouais Dédé ?" répondit Gégé.
"J'ai vu la vieille Cooper se barrer aujourd'hui. Y'a un truc qui m'chiffone".
"D'quoi tu m'causes ?" dit Gégé en chiquant comme à son habitude.
"Ben t'vois. C'matin très tôt, j'ai vu la gamine tu sais. La femme Cooper, la fille de Davenant. Elle est allée chez la vieille Cooper avec une charette, et des sacs et des valises qui montaient presque jusqu'au ciel t'vois."
Il tira longuement sur sa pipe, comme si il cherchait ses mots.
Et elle lui faisait les valises à la vieille. Mais elles ont laissés tous les meubles. A part quelques trucs, mais tu vois, elles ont tout laissés en état."
Gégé chiqua puis cracha son morceau dans l'eau en se raclant la gorge comme un homme se doit.
"La gamine doit l'emmener vivre chez elle. Maintenant qu'son mari est mort."
"L'est mort le roux ?!"
"Oh putain mais Dédé t'es encore ivre comme une outre toi ! Bien sûr qu'il est mort ! Il a tué Jean Mimolette ! Tu sais le petit Jeannot de la vieille Simone ! Ca a même fait tout un raffus !"
"Ouais mais tu vois gégé. Pas plus tard que y'a une semaine. La vieille Cooper m'a dit que la p'tite avait vendu sa maison en Elwynn. Alors... Si elle a plus de baraque, et qu'elle vient pas habiter chez la vieille. Elles vont pas aller à la caserne ?"
"T'as raison dédé c'louche cette histoire. Ou qu'elles vont mettre tous les gosses ? Sont toute une chiée là dedans !"
Dédé et Gégé fumait et chiquait au rythme des clapotis de l'eau, vérifiant leur ligne de temps en temps. Ils saluèrent Bernard la friture qui passait par là pour aller vendre ses petits poissons au marché. Plus tard ils sifflèrent la jolie Fanny qui s'en allait racler le dos des moules pour le compte de son père. C'est qu'elle était jolie la Fanny avec sa jupe qui se soulevait avec le vent. Ah ça, n'importe qui pouvait se payer une trique d'enfer, rien qu'en voyant les jolies cuisses de la Fanny !
"Tu sais Dédé. Moi j'crois qu'elle envoit tout le monde à Darnassus. Tu sais qu'le père avait contaminé sa gamine. C'est une worgen elle aussi. Maintenant qu'il est mort, j'serais pas étonnée qu'la mère se débarrasse d'elle en l'envoyant aux elfes là bas. Sinon pourquoi qu'elle les ferait tous déménager ?".
"T'as raison Gégé, elle s'en débarasse. Il parait qu'elle retourne tous les après-midi à la Cathédrale prier. Moi j'suis sur qu'il se passe des choses louches là bas. Le père Davenant c'était pas un marrant avec sa fille. Y'avait des rumeurs comme quoi qu'il était écarlate tu vois. J'suis sûre que la gamine va se fouetter, ou un truc tordu du genre, au nom de la Lumière !"
"Crédiou Dédé t'es con toi ! Jure pas comme ça d'la Lumière ! Sinon il va faire tout noir sur nos têtes !"
En effet l'orage commençait à poindre au loin. De nombreux éclairs zébraient le ciel sur l'océan, et le bruit se répercutait au loin. Dédé et Gégé rangèrent leur lignes et leurs petits paniers, et se hâtèrent bien d'aller rejoindre le Cochon Siffleur. Après tout ils avaient bien mérités une bonne bière !
"Y'a un autre qui est bizarre Gégé. La vieille Cooper semblait très inquiète. Moi j'te dis que y'a un truc louche là dessus."
"De toute façon, les Gardes de Hurlevent c'est tous des pédés dégénérés."
Deçà-delà ils partirent en rigolant, sifflant toutes les jolies filles des rues, évitant les grosses gouttes qui leur tombaient dessus.
Elienor- Citoyen
- Nombre de messages : 354
Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 32
Date d'inscription : 27/09/2011
Feuille de personnage
Nom de famille: Davenant
Re: Les rumeurs vont bon train.
La vieille Cooper, comme toutes les grand mère, faisait des gâteaux au chocolat en prévision de la visite de sa chère Elienor et de ses jumeaux, Tara, Irkaël, Uther et Kargyn.
Depuis qu'elle avait appris la mort de son dernier petit fils, la vieille Cooper tentait de faire bonne figure, mais lorsqu'elle était seul il n'était pas rare que la tristesse, la colère et les larmes l'envahissent.
"Pourquoi satané Lumière m'as tu pris mon petit Shelly? De quel droit l'as tu arraché à sa famille? Tu n'as donc aucun cœur pour oser faire pleurer cette petite Elienor et leurs enfants?
C'est moi qui aurait dû partir, pas lui, ils ne méritaient pas ça!"
Ainsi parlait la vieille Cooper lorsqu'elle s'acharnait sur ses carottes, ses oignons ou toute autre chose, pourquoi lui et pas elle, elle qui avait déjà bien assez vécu.
Lorsque la vieille Cooper entendit frappé chez elle, son sourire revint illuminer son visage ridé et creusé par les années de labeur.
Elle rayonnait dès qu'elle voyait ses petits enfants et celle qu'elle considérait comme sa petite fille, Elienor.
Bien sûr les deux aînés, Tara et Irkaël, raffolait des gâteaux au chocolat de mamie, ce qui les tenaient calme quelques temps et laissait le loisir aux deux femmes de discuter.
"Alors ma petite chérie, comment t'en sors tu? Tu sais que si besoin je suis là, tu ne dois pas hésiter,"dis la vieille Cooper en servant un bon thé à Elienor, lui souriant, maternelle.
"Justement Grand mère Cooper, j'ai une demande à vous faire.
Shelly était prévoyant, il a acheté une maison pour nous, les enfants et moi, mais avec le travail je ne peux y être trop souvent et nous avons toujours eu entièrement confiance en vous pour les petits," dit Elienor, mais hésitant un peu à continuer.
"Ne tournes pas autour du pot ma petite, que veux tu?"
"Que vous veniez vivre avec nous, pour les enfants...et pour moi."
Sans même répondre, la vieille Cooper parti dans sa chambre et en ressortie après quelques minutes, ses valises prêtes et elle ne tarda pas à suivre Elienor.
Elle laissa derrière elle sa vieille maison pour suivre celle qui était sa seule famille maintenant.
Depuis qu'elle avait appris la mort de son dernier petit fils, la vieille Cooper tentait de faire bonne figure, mais lorsqu'elle était seul il n'était pas rare que la tristesse, la colère et les larmes l'envahissent.
"Pourquoi satané Lumière m'as tu pris mon petit Shelly? De quel droit l'as tu arraché à sa famille? Tu n'as donc aucun cœur pour oser faire pleurer cette petite Elienor et leurs enfants?
C'est moi qui aurait dû partir, pas lui, ils ne méritaient pas ça!"
Ainsi parlait la vieille Cooper lorsqu'elle s'acharnait sur ses carottes, ses oignons ou toute autre chose, pourquoi lui et pas elle, elle qui avait déjà bien assez vécu.
Lorsque la vieille Cooper entendit frappé chez elle, son sourire revint illuminer son visage ridé et creusé par les années de labeur.
Elle rayonnait dès qu'elle voyait ses petits enfants et celle qu'elle considérait comme sa petite fille, Elienor.
Bien sûr les deux aînés, Tara et Irkaël, raffolait des gâteaux au chocolat de mamie, ce qui les tenaient calme quelques temps et laissait le loisir aux deux femmes de discuter.
"Alors ma petite chérie, comment t'en sors tu? Tu sais que si besoin je suis là, tu ne dois pas hésiter,"dis la vieille Cooper en servant un bon thé à Elienor, lui souriant, maternelle.
"Justement Grand mère Cooper, j'ai une demande à vous faire.
Shelly était prévoyant, il a acheté une maison pour nous, les enfants et moi, mais avec le travail je ne peux y être trop souvent et nous avons toujours eu entièrement confiance en vous pour les petits," dit Elienor, mais hésitant un peu à continuer.
"Ne tournes pas autour du pot ma petite, que veux tu?"
"Que vous veniez vivre avec nous, pour les enfants...et pour moi."
Sans même répondre, la vieille Cooper parti dans sa chambre et en ressortie après quelques minutes, ses valises prêtes et elle ne tarda pas à suivre Elienor.
Elle laissa derrière elle sa vieille maison pour suivre celle qui était sa seule famille maintenant.
Yladiana Thompson- Citoyen
- Nombre de messages : 86
Lieu de naissance : Hegen
Age : 30 ans
Date d'inscription : 03/02/2014
Re: Les rumeurs vont bon train.
Albert Dupont et Gérard Pontel dit "Gégé la frime" sortirent de la taverne du Porc-qui-pique très tôt ce matin là.
"Oh putain Gégé t'as vu ta gueule !"
"R'garde la tienne hey ! T'as vu hier soir les gardes ? Pouaaah l'était pas commode l'grand bazar tout poilu borgne !"
"Tu l'as dis Gégé, mais moi, moi j'ai remarqué une chose ! Y'avait pas la petite !" dit Dédé posant son index sur son nez, d'un air encore fortement ennivré.
"Mais t'as raison mon Dédé ! Y'avait pas la petite Julie ! Ah celle-là quand elle sert la bière en se penchant à ta table, tu la regardes droit dans les seins Dédé... D-R-O-I-T dans... les... seins."
Dédé flanqua une gifle à Gégé qui fit un tour sur lui même, avant d'aller embrasser le mur de pierre en face de lui.
"Mais crédiou d'not' bon Roi ! Je te parle pas de la p'tiote ! Je te parle de la PETITE ! La garde là !!! La veuve Cooper ! Elle faisait pas partie des Gardes c'soir là. Et il parait même selon le factionnaire Edgard Mimosa, qu'elle part tous les soirs ! Tous les soirs te dis-je !"
"Bah ch'ai pas moué" dit Gégé en se frottant la figure et la barbe. " "Tu sais que Bernard la Friture dit qu'il avait vu personne prendre le bateau... Et la vieille Cooper elle avait l'air ravie de les suivres ! Elle va surement démissionner et garder ses gosses ailleurs."
Dédé se plaqua les mains sur la figure et se mit a crier. "MAIS T'ECOUTES PAS QUAND JE TE PAAAARLE ! JE TE DIS QU'ELLE PART TOUS LES SOIRS, MAIS ELLE REVIENT TOUS LES MATINS AUSSI ! MEME QUE LE PROPRIO DIT QU'ILS SONT PEUT ETRE REPARTIS A GILNEAS !"
"Hey mais arrête de gueuler t'as rien dis du tout, t'as juste dis qu'elle partait tous les soirs ! GUEULE PAS DEDE MA TETE ELLE SONNE !"
"C'moi qui vais t'sonner les cloches Gégé à me contredire !"
Les deux hommes s'empoignèrent dans une bagarre interminable, roulant sur les pavés, hurlant des propos d'ivrogne. L'un insultant l'autre, l'autre insultant la femme de l'un. Ils furent arrêtés par les factionnaires qui les menaçaient de prendre un bain forcé si tout cela ne se calmait pas très vite. Dédé et Gégé partirent loin de l'autre, se faisant des bras d'honneurs.
"Oh putain Gégé t'as vu ta gueule !"
"R'garde la tienne hey ! T'as vu hier soir les gardes ? Pouaaah l'était pas commode l'grand bazar tout poilu borgne !"
"Tu l'as dis Gégé, mais moi, moi j'ai remarqué une chose ! Y'avait pas la petite !" dit Dédé posant son index sur son nez, d'un air encore fortement ennivré.
"Mais t'as raison mon Dédé ! Y'avait pas la petite Julie ! Ah celle-là quand elle sert la bière en se penchant à ta table, tu la regardes droit dans les seins Dédé... D-R-O-I-T dans... les... seins."
Dédé flanqua une gifle à Gégé qui fit un tour sur lui même, avant d'aller embrasser le mur de pierre en face de lui.
"Mais crédiou d'not' bon Roi ! Je te parle pas de la p'tiote ! Je te parle de la PETITE ! La garde là !!! La veuve Cooper ! Elle faisait pas partie des Gardes c'soir là. Et il parait même selon le factionnaire Edgard Mimosa, qu'elle part tous les soirs ! Tous les soirs te dis-je !"
"Bah ch'ai pas moué" dit Gégé en se frottant la figure et la barbe. " "Tu sais que Bernard la Friture dit qu'il avait vu personne prendre le bateau... Et la vieille Cooper elle avait l'air ravie de les suivres ! Elle va surement démissionner et garder ses gosses ailleurs."
Dédé se plaqua les mains sur la figure et se mit a crier. "MAIS T'ECOUTES PAS QUAND JE TE PAAAARLE ! JE TE DIS QU'ELLE PART TOUS LES SOIRS, MAIS ELLE REVIENT TOUS LES MATINS AUSSI ! MEME QUE LE PROPRIO DIT QU'ILS SONT PEUT ETRE REPARTIS A GILNEAS !"
"Hey mais arrête de gueuler t'as rien dis du tout, t'as juste dis qu'elle partait tous les soirs ! GUEULE PAS DEDE MA TETE ELLE SONNE !"
"C'moi qui vais t'sonner les cloches Gégé à me contredire !"
Les deux hommes s'empoignèrent dans une bagarre interminable, roulant sur les pavés, hurlant des propos d'ivrogne. L'un insultant l'autre, l'autre insultant la femme de l'un. Ils furent arrêtés par les factionnaires qui les menaçaient de prendre un bain forcé si tout cela ne se calmait pas très vite. Dédé et Gégé partirent loin de l'autre, se faisant des bras d'honneurs.
Elienor- Citoyen
- Nombre de messages : 354
Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 32
Date d'inscription : 27/09/2011
Feuille de personnage
Nom de famille: Davenant
Re: Les rumeurs vont bon train.
La belle ferme des Cooper dans la forêt d'Elwynn avait très vite trouvé un acheteur.
Comment passer à côté d'une telle aubaine, une roseraie magnifique, des champs parfaitement entretenus et fertiles, tout pour plaire!
Mais pourquoi avoir vendu alors que cette demeure était parfaitement adaptée à une famille, feu Caporal Cooper ayant ajouté deux pièces supplémentaires, veillant à ce que sa petite famille ne manque de rien.
Alors pourquoi vendre?
Certaines rumeurs parlaient d'un retour aux sources, d'une migration vers le Nord, vers Gilnéas, d'autres disaient que la petite famille avait préféré partir vers le Loch, s'installant dans une maison qu'avait acheté le mari.
Rumeurs, rumeurs, mais comment savoir qui disait vrai? Comment trouver les réponses?
Il se dit que la vieille Cooper est repassée en ville, aurait vendu sa maison et serait repartie très vite en griffon vers le Nord.
Mais pourquoi cette petite famille si tranquille change ses habitudes? Pourquoi partent ils de la sorte vers le Nord? Quels sombres secrets les obligent à quitter Hurlevent?
Comment passer à côté d'une telle aubaine, une roseraie magnifique, des champs parfaitement entretenus et fertiles, tout pour plaire!
Mais pourquoi avoir vendu alors que cette demeure était parfaitement adaptée à une famille, feu Caporal Cooper ayant ajouté deux pièces supplémentaires, veillant à ce que sa petite famille ne manque de rien.
Alors pourquoi vendre?
Certaines rumeurs parlaient d'un retour aux sources, d'une migration vers le Nord, vers Gilnéas, d'autres disaient que la petite famille avait préféré partir vers le Loch, s'installant dans une maison qu'avait acheté le mari.
Rumeurs, rumeurs, mais comment savoir qui disait vrai? Comment trouver les réponses?
Il se dit que la vieille Cooper est repassée en ville, aurait vendu sa maison et serait repartie très vite en griffon vers le Nord.
Mais pourquoi cette petite famille si tranquille change ses habitudes? Pourquoi partent ils de la sorte vers le Nord? Quels sombres secrets les obligent à quitter Hurlevent?
Yladiana Thompson- Citoyen
- Nombre de messages : 86
Lieu de naissance : Hegen
Age : 30 ans
Date d'inscription : 03/02/2014
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