Une surprise en gêole

L'odeur frappa, celle d'un cadavre gisant dans les sous-sol de la caserne. Sur les lieux, le corp réposant au sol de la prison. Son visage, allonger sur son oreiller faite de son linge, était rendu difforme par les coups de pieds qui a reçu. Son ventre qui avait un peu maigri par le manque de nouriture. Ses jambes, écraser par des coups d'une mace qui repose à coté du cadavre. la peau des mains arraché dut au fait qu'il a essayer de les retirer de ses chaines, sous la torture qu'il a subit. Une flaque de sang noire s'étendait sous lui. Un message reposait sur ce corp mutillé, suivi d'un tabard souillé par le sang.

Bonsoir amis, je suis de retour, bien que je ne souhaitais pas, ce sale nain en a décidé autrement. À mon reveil, il y avait un prêtre un peu lugubre devant moi qui me tendait un papier, celui de mon pacte envers la noirceur. Cette personne, vous pourrez la rencontrer dans les sous-sol de la cathédrale, j'ai appris par la pièce d'où il était, qu'il y vivait. Une bourse se trouvait près de lui, celle de mon chère Bombil ou plutôt Bakan San, le nom que vous connaissez, qui a surement payé un bon prix pour me revoir. Mes muscles me fesait atrocement mal, donc j'ai du frapper un peu plus souvant sur le corp de ce nain. Il est mort, avec la soufrance que j'ai du subir pour revenir à la vie.

Je ne sais pas qu'elle technique il a utilisé, mais mon corp et toujours à la morgue, avec mes tenues de garde par dessu lui. Maintenant, je me promène avec un habit rouge et noir, avec un foulard qui cache ma haine. Je vais faire connaitre au monde l'erreur qu'ils ont fait. L'erreur de vivre! Je sens le mal qui est en moi, je n'arrive pas à controller mes écrits et mes pensés.

Je vous quitte, amis de la garde, je ne peu vivre avec vous puisque j'ai malheureusement changé de camps. Je ne pourais plus voir la lumière dans ma figure, la seul qui pouvais en faire autrement est morte avant moi.

Je suis desolé signé: Erdikos

Dans l'orreiller du nain, la tête d'un homme au au teint très blanc, au cheveux noirs, au tatouage brusquant d'un rouge vif dans la figure.