Zombies!!

Aux Armes!!!!!



Ce qu'on en dit ailleurs.

v'la aut chose .... mais remettre un non mort de la ou il n'aurait jamais du sortir n'est pas pour me déplaire

*pose sa hache pour prendre une masse *

La nuit fut épouvantable.
Quand les régions voisines de la capitale étaient envahies d'horreurs et de goules, et que le Fléau eu lancé ses premières vagues, Hurlevent connut des invasions de cafards purulents, et l'on trouva des caisses aux allures lugubres partout le long des quais.

Les gardes passèrent leur nuit à marquer les caisses à la peinture rouge, et trouver un moyen de sauver la Ville.

L'Etat d'urgence fut lancé.
De ces mois-ci, cette alerte fut la pire, et les jours suivant seront certainement éprouvants pour nos gardes.

Une affiche de mauvaise facture est placardée un peu partout dans Hurlevent. La jolie écriture ronde et les fautes d'orthographes contrastent avec le ton de l'affiche, laissant croire que son auteur maîtrise le commun oral mais n'est familier avec le commun écrit que depuis peu de temps.

Myssen a écrit:
"Salutations, peuple d'Hurlevent !
Les personnes dotées d'un cerveau, d'yeux et d'oreilles en état de marche auront certainement remarqués l'épidémie qui sévit actuellement sur la ville.
Ceux qui souhaitent conserver leurs organes sensoriels et leur santé mentale sont priés de suivre ces quelques conseils d'ordre hygiéniques, sanitaires et pratiques :

-Faîtes toujours bouillir votre eau avant de la consommer.
-Lavez vous les mains une fois par heure.
-N'entrez sous AUCUNE CIRCONSTANCE en contact physique avec une goule ou un autre malade sans porter de gant.
-Fiers guerriers, rangez votre épée et sortez votre arc. Ca vous évitera de contracter le fléau bêtement en avalant une goutte de sang contaminé.
-Déplacez vous toujours en groupe, et armé.
-Ne jouez pas aux héros, la meilleure solution si vous rencontrez un groupe de goules est de fuir, puis de revenir avec un parti d'archer, de mage et de paladins. Ne combattez jamais les goules seuls.
-Evitez le plus possible de fréquenter Comté-de-l'Or. Il est possible que cette zone soit considérée comme étant hors-limite dans les jours à venir. Si cela arrive, personne ne viendra vous chercher là bas.
-Si un de vos proches semble atteint et en phase terminale, abattez le sans état d'âme. Il n'est PLUS votre ami.
-Si vous présentez l'un des symptômes suivant :
*Faiblesse inexplicable et générale.
*Vue trouble
*Température corporelle anormalement basse.
*Spasmes.
*Difficultés de compréhension.
*Maux de crânes.
*Envie de tuer votre voisin pour une autre raison que du tapage nocturne.
*Etc.

Prière de vous rendre auprès de l'agent de l'Aube d'argent la plus proche, ou bien chez les Hospitaliers s'ils ont encore de la place pour vous. Si par hasard vous vous trouvez loin de toute civilisation, merci de bien vouloir vous jetter d'une falaise, dans le cas contraire vous seriez invité de force au barbecue annuel des paladins, et je vous garantis que vous ne toucherez PAS aux petits fours.

ANNEXE : De la nature du mal qui ronge cette ville.
Ceux qui ont déja fait une petite promenade aux Maleterres auront sans doute reconnu les similarités de ce mal avec le Fléau qui frappa Azeroth il y a quelques années déja. Mais ceux qui ont aussi fait un tour dans les hopitaux récemment ont pu remarquer quelques légères différences.
-La principale étant la nature évolutive du virus. Il n'aura mis que deux jours avant de développer une resistance considérable à la Lumière et réduire son temps d'incubation de moitié.
-Le temps d'incubation, justement. L'ancien fléau mettait de longues heures, voire quelques jours avant de développer des troubles de la personnalité, puis une semaine avant d'achever le processus. Celui ne met qu'une dizaine de minutes avant transformation totale.
-Les draeneis qui étaient immunisés au précédent fléau, sont sensibles à celui-ci.
-Les "goules" créées par ce Fléau semblent disposer d'un instinct grégaire plus poussés que chez leurs predecesseurs. Elles sont capable de monter des plans basiques et de repérer ce qui les menace le plus.
-D'autres informations suivront.

Pour tout conseil, remarque, précisions, correction d'erreur, vous êtes priés de vous adresser à moi. Vous me trouverez en général près de l'hotel des ventes, surveillant les allées et venues.

Cordialement,
Myssen Croc-de-Nuit, Immunologue, médecin, et mercenaire."

Source, ici.

Depuis ce midi, sa main droite commençait à trembler au repos.
Elle essayait de la cacher le plus possible, refusant d’accepter les limites de son corps.

L’armure maculée de traces diverses, Ériane se tenait devant le haut parapet qui surplombait le port. Hellenlicht l’avait forcé à s’éloigner, malgré elle, des remparts d’Elwynn pour qu’elle se repose et aille manger, ne fut-ce qu’un peu.
Mais comment se reposer maintenant ? Comment fermer les yeux après ce qu’elle avait vu.

Ils tenaient le donjon, le dernier lieu sûr que l’Infection n’avait pas encore atteint dans ses percées dévastatrices et vers lequel ils ne cessaient de diriger les survivants encore sains.
Partout en ville, les corps s’amoncelaient peu à peu. Les paladins-médecins de l’Hospital faisaient pourtant leur maximum pour purifier les cadavres le plus rapidement, mais l’odeur des brasiers ne ralentissaient pas l’horreur des goules qui se jaillissaient des caves et des cryptes pour se jeter avidement sur les gens.

Toute la soirée et une partie de la nuit encore, elle avait tenu la porte d’Elwynn avec les autres gardes. Toute la soirée, elle avait tenté d’arrêter les vagues de morts-vivants qui se jetaient sur les remparts.
Comment compter le nombre de coups donnés, quand les bras finissent par agir machinalement, découpant toujours plus, taillant, mordant les corps puants…
Les secondes lignes tenues par les paladins, épuisaient leurs forces à ralentir les infections, à tenter de purifier tout ce qui pouvait l’être.

Plus personne ne levait la tête pour voir le ciel envahi par cette monstruosité, tant chacun devait faire face à ce qui grouillait sur le sol.
Le vent de panique, pourtant, qui avait germé dans la population à la vue de la nécropole, cette abominable horreur flottante et silencieuse, avait jeté l’effroi parmi les civils.
Partout l’on sentait la peur panique de se voir abandonné devant l’ennemi.
Et pourtant, pas un soldat en ville ne ménageait ses forces, se relayant aux remparts sans cesse…
Ces soldats… Ériane ne pourrait jamais les remercier tous assez de se porter volontaires.
De partout, ils accouraient en armes, prenant positions sur les remparts et aux portes, et pourtant, jamais les lignes ne semblaient suffisantes pour arrêter l’Infection.
Elle avait accepté cents renforts, du mercenaire nain en vigie à Blungarde qui envoyait ses troupes et ses intendances..
Toute la nuit, elle recevait les nouvelles de Forgefer et de Darnassus.
Les autorités du Donjon les encourageaient sans cesse, mais par moments, la tâche semblait sans issue. Et à chaque doute venait un soldat pour la réconforter et effacer les peurs.

Les quartiers de la ville avaient été touchés les uns après les autres, presque… méthodiquement…
Le marché, la vieille ville, le quartier des nains, la tour des mages qui avait été le théâtre d’un massacre.
Et même la cathédrale, lieu saint d’entre tous, avait subi l’Infection.

Ériane avait tenu vaillamment, du mieux qu’elle pu.
Même l’horreur de rester sans nouvelles fraîches de Ménéthil n’était parvenue à la faire vaciller.
Ce n’est qu’au début de l’aube qu’elle s’effondra.
Elle revenait des remparts et se dirigeait vers le Donjon, le long du quai aux foins.
Un gémissement timide avait attiré son attention et elle vit Billy, le gamin du marché que tout le monde connaissait, recroquevillé derrière une caisse, tordu de douleur, le teint verdâtre…
Infection..
Il la regarda d’un œil terrifié, il toussait, crachait ses poumons.
Faisant fi des dernières notions de prudence, elle le prit dans ses bras et se dirigea vers l’Hospital. Elle lui répétait les seules paroles de réconfort qu’elle pouvait encore formuler.
« Tiens bon, Billy, on va y arriver... Tiens encore quelques instants… Juste quelques instants… »

Il essaya de sourire, le visage ravagé de larmes et de boursouflures, avant de sombrer…
Ériane ne pût retenir ses nerfs qui lâchèrent sur le Pont-du-Roi.
Elle serrait le corps tordu du garçon, inconsciente de la contagion assurée.

Hellenlicht et Talnys l’avaient retrouvée plus morte que vive, secouée de sanglots nerveux.
Elle ne se rappelait pas vraiment de ce qu’il s’était passé.
Elle était revenue plus ou moins à elle dans la cour de l’Hospital, assise contre un mur, au son doucereux de l’Hospitalière qui achevait de panser les estafilades de ses bras.

« Tenir bon –se répetait-elle par la suite- Tenir bon encore quelques instants… »
Elle regardait sans voir, l’horizon de l’océan, la ligne immuable de l’inconnu…

« Voiles à l'horizon ! »
Le cri des guetteurs de la tour d’angle la sortit de ses pensées.
Elle soupira un temps de soulagement…
Des renforts… Un sursit.

Elle gratouillait la tete du sanglier , essuyant quelques morceaux de zombie et refaisait de ses gros doigts crasseux ses stocks de poudre , preparant quelques explosifs a la hate

tu veux que je te dise mon vieux copain ? on ferai mieux d'aller denicher ce truc a sa source plutot que de rester ici bousiller ces caracasses
dit t'elle a son sanglier , mettant le mélange dans des fioles de verre

Elle preferait en user pour en jetter dans la masse des morts vivants que de s'exposer elle meme

ses longues années de guerre lui avait bien servit , ainsi que son expérience de mercenaire

Des Années a faire de la guerilla contre le Fléau et la Horde avait endurcis ses nerfs et son coeur , elle regardait l'agitation en ville depuis son perchoir sur les hauteurs, appercevant de ci de la dans la masse des cityons appeurés un uniforme de garde qu'on distinguait encore sous la crasse

elle ota le bouchon du tonnelet et en bu une bonne gorgée qui ruisselait sur son visage , se melant a la saleté

Bandes de Lopettes faudra vous remuer un peu plus que ca pour avoir la peau de la vielle Hed grogna t'elle

elle appercut la sihouette noire et féline de Saell qui courait dans la rue mais resista la tentation de se signaler a son ami

un petit groupe de goules arrivait le long du canal ..elle caressa ses explosifs avec affection et regla le petit mortier a l'etage de la maison qu'elle avait bricolé et installé avec amour, barricadant la porte de la maison et truffant le rez de chaussée de pieges infernaux issu de son imagination tordue

ca va aller , ca va juste faire un peu d'bordel dit t 'elle a l'adresse de la famille térrifiée dans elle avait envahi la demeure avec son attirail , a leur soulagement et leur desarroi a la fois

touche pas, va jouer avec Grispoil
elle donna une tape sur la main de la fillette , curieuse , qui jouait avec une mine puis reporta son attention sur les non morts

Am'nez vous , charognes..y'a d'quoi faire

elle en regla la hausse avec soins , fermant les yeux , priant pour qu'il ne leur soit rien arrivé

ca m'emmerderai que vous ayiez bouffé Lian , meme si ca peut l'rendre plus intéligent
dit t'elle d'une voix triste en egageant le premier obus dans la gueule du canon

Une rumeur semblait venir du port , attirant son attention


(il se peut que la voierie royale adresse a la fin de cett invasion une petite note a l'attention de la garde pour destruction de bien public ^^)

Il avait quitté la Ville...pas longtemps, bien sûr, le moins de temps possible...
Mais l'aube d'argent avait été claire : il ne fallait pas attendre que le Fléau arrive,mais attaquer à la source de l'armée....Au moins les sources à notre portée.
Oui, le Fléau avait mis de belles nécropoles au dessus des têtes des citoyens, accaparant leur attention....On avait ri de lui quand il disait qu'il ne fallait pas laisser le Fléau créer ses armées dans les étendues sauvages du Nord ou de Kalimdor. Mais malgré tout, il y était allé. Et il peaufinait sa technique de chasse.
Gami s'était révélé trop peu efficace.Trop exposé aux coups d'un ennemi toujours plus nombreux, le loup avait besoin de repos. Mais la lâcheté et la ruse venaient à la rescousse. Aussi infatigable soit une goule, elle ne s'échappait pas assez vite des toiles gluantes de Veldrin. C'était pour le moment, la seule chose à faire : rester à distance à les cribler de flèches, tenter de soutenir le moral des troupes,et filer aider l'Aube d'Argent à la moindre alerte...depuis combien de temps n'avait il pas dormi autrement que sur un griffon?

Stanislave, sa pipe à la bouche, était entrain d'écouter un plaignant quant à une affaire de commerce illégale lorsqu'un crie strident se fit entendre en vielle ville non loin de la caserne. Stanislave, après 10 secondes d'interruption se remit à interroger le plaignant lorsqu'un deuxième crie se fit entendre. Cette fois si Stanistlave se décida à sortir avec sa hache et son calumet au bec. Sortant de la caserne, regardant au alentour et ne voyant rien, Stanistlave descends les marches et s'enfonce dans le quartier. Marchant vers le coupe gorge des cinq venins, Stanistlave s'arrête subitement et baisse la tête vers le sol, une petite fille et sa mère gisent la bouche ouverte, lacérée de partout, les yeux innondés de peur. Tirant une bouffée de pipe et fronçant les sourcils, Stanistlave dit à voit haute *Bas sa alors... Encore un larcin qui a mal tourné*. C'est alors que subitement une tuile tombe manquant de peu le crane de Stan. Ce dernier se retourna brusquement et toussa la bouffée de fumée qu'il venait de prendre. Fronçant de nouveau les sourcils, il sort son imposante hache, la tenant à cheval sur son épaule. Stanistlave avait beau regardé partout, il ne voyait rien si ce n'est les colonnes de fumées provoquées par les funestes buchers. Subitement une sorte de bête saute d'un toit de la ruelle et vient atterrir devant Stanislave. C'est un espèce de molosse, un chien puant, pleins de sang verdâtre, aux crocs ensanglantés. Celui-ci grogne devant Stanislaves et lui saute sans prévenir dessus faisant tomber Stanistlave à la renverse. Le chien s'évertue à mordre ou à griffer l'armure de Stan mais ses efforts sont vains car elle est en plaque. Stan pris alors le chien et lui décocha un coup de poing violent. L'abomination voltigea 2 metres plus loin se qui permit à Stan de ramasser son arme et de réceptionner la charge du canidé par un violent coup de hache à deux mains dans le crane. Le crane de la bête explosa rependant des bous de cranes et de cervelles un peu partout. Stanistlave encore sous le choque, ramassa sa pipe, la remit à la bouche et n'en revenait toujours pas... Regardant les deux cadavres mutilés une dernière fois, Stanistlave pris son briquet sa flasque de rhum explosif pour bruler les défunts. Et voilà une nouvelle colonne de fumée qui apparaissait dans le sombre ciel de Stormwind.

-"...c'est pas vrai..."

Voilà une phrase que Gnomiraid se répétait sans cesse. Il espérait que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve : la Malpeste, les goules, les buchés,...
Tout cela, il ne l'avait lu que dans des livres de la Bibliothèque du Donjon.
Jamais, il ne pensait qu'un jour il devrait faire face à ce genre de situation extrême. Et surtout, il avait du mal à l'admettre mais il avait peur... peur des goules... et surtout, peur de devenir comme elles. Il se disait qu'à sa force et sa taille, il ne ferait pas le poids devant une de ces abominations du fléau. L'envie de fuir le rongeait, comme il l'avait fait, lui et sa famille, à Gnomeregan... sa cité natale, tombée à cause de l'incapacité de son peuple à se défendre.

Assis contre une caisse dans le quartier des mages, il vit passé un homme, pâle, transpirant et courbé, semblant souffrir d'un mal intérieur. Subitement, l'homme s'écroula. Le gnome s'approcha de l'homme qui, à sa vue, lui murmura : " Que m'arrive-t-il...?" . Le Gnome comprit que la Malepeste venait de faire une victime de plus et qu'il était trop tard pour lui. Gnomiraid lança un appel à l'aide en espérant qu'un membre de l'Aube d'Argent fasse son apparition et sauve cette âme en peine, mais rien.. personne ne vint. L'homme venait de perdre conscience. Il fallait faire vite.
Il prit la garde de son épée avec ses deux mains et leva son arme sur le corps inerte. Et, de toute la force que pouvait lui fournir ses muscles chétifs, il décapita l'homme. Après cela, Gnomiraid partit, en courant, les larmes aux yeux, en se disant que jamais il ne pourrait se regarder dans une glace devant cet acte qui était si contraire à ses principes.
Essoufflé et à moitié en train de sangloter, il s'écroula et lâcha dans sa langue maternelle :"...c'est pas vrai...!"

Amélia etait , avec ses camarades , totalement encerclée par des goules dans une ruelle derriere le canal de la grande citée de Hurlevent.
Sachant qu'ici personne ne viendrait les sauvés ils se batterent comme ils le pouvaient face à leur nombreux adversaires jusqu'a ce qu'une explosion rententi le long du canal et que des morceaux des batiments hinabités s'ecroulent dans la petite allée tuant ainsi les zombies pas tres intelligent mais aussi quelque garde qui n'etaient pas tres agiles.
Mais surtout la sortie fut bouchée.
C'est ainsi qu'Amélia et le groupe de garde restant s'aventurerent dans des maisons delabrées infefestées de goules , fantômes , squelettes et autres creature demoniaque pour avoir une petite chance de s'echaper de la ruelle et rejoindre leurs collegues garde et les aidés dans cette guerre pour sûr sanglante...
Ils se battaient comme ils le pouvaient contre tout ces zombies mais ils devaient surtout fuir car conscient de leur force ils savaient que si ils s'attardaient là ils allaient finir comme ces non morts...tous autant que les autres apeurés par cet idée , jeunes comme vieux ils courerent de toute leurs forces pour sortir de cet endroit , voulant revoir leur famille...leurs amis...
Ils voyerent enfin , dans le coin le plus abandonné , ce qui semblait être la sortie et les cris de guerre et les bruits de batailles de l'exterieur semblaient le confirmer. Toujours poursuivient par une tonne de zombies , a present plus que trois (dont Amélia evidemment) sur les six qui etaient entrés ils mettaient leurs derniere forces dans leurs jambes et pousserent la porte de la sortie...belle erreur car les zombies qui les poursuivaient pas si bête que ça se firent explosé , infectant les trois gardes qui se depecherent de refermer derriere eux...
Ils ne rester plus qu'une solution pendant les quelques minutes qui leur restaient...s'entre tuer pour ne pas que le nombre de ces monstres s'agrandisse...Amélia qui ne pensait pas pareille vit ses deux autres compagnons se jettaient sur elle et se debatit comme elle le pouvait avant que les deux ex-gardes se transforment en goules.
Ca semblait perdu pour la jeune fille mais la chanceuse se fit sauvée par l'aube d'argent en patrouille qui detruit les pauvres goules et la desinfecta. Elle n'eue même pas la force de remercier ses sauveurs qu'elle s'evanouie , totalement epuisée par sa soirée et se fit enmener à l'hopital et fut remit sur pied le lendemain , plus choquée par la disparition de tout ses amis que de ses quelques blessures...
Elle pria donc pour ses camarades et reparti aider les malheureux infecter.

Halarik entendait hurler dans l'auberge, il alla voir et tomba sur 3 goules prêts à tout pour tuer... Ils en tua 2 avant de battre en retraite car la 3ème allait sauter. Il alla au quartier commerçant et vit la commandante le major Gold et plein de garde, rédempteur, hospitaliers aventuriers et aube d'argent tenir le quartier. Il commenca à repenser à Strahnbrande et ce cacha dans l'hotel des ventes grelottant de peur.

*petite Note deposée sur le bureau * le Commandeur Carrad a trouvé un sanglier couché sur le coté dans la ruelle pres de l'hopital

*autre note déposée sur le bureau* Garde Flamaë déposée par deux draeneï dans une chambre de la caserne avec une caisse contenant son armure et son arme en morceaux, couverts de sang, tout comme elle, tard dans la nuit.

Une communication brouillée que les gardes encore conscients ont pu entendre. La voix du Lieutenant Do'Ilisharr, dans un murmure terrifié:
"Je l'entends dans ma tête...ces voix me poursuivent....mon arc se bande seul, que la cible de mon attention soit amie ou ennemie....je deviens fou...Pardonnez moi...."
Après ça, plus rien.

Nothina, seul dans un coin de rue, dégoupilla sa grenade de grangrefer, et la getta sur une goule affamée.<< Combien devrons nous en tuer ?...>>
Le souffle court, elle courut au port, dans le bas, des pirates profités de la situation pour pillé les bateaux de marchandises.<< Non de...>>
Elle fit demi-tour, et courut en direction du centre de commandement, mais au niveau de la maison de Bayle, elle fut encerclé.
Elle sauta dans le canal et nagea jusqu'à la prison d'haute sécurité, deux robuste Garde était assit là, à moitier endormis.<< Gardes ! Non mais vous faite quoi là ?!!!>>
<< Euh..qu..oups..., mais..euh...que ce passe t-il ?>> Dit l'un des garde, remarquant les quelques goules qui avaient sauté à l'eau, poursuivant Nothina.<< Mais !! Ont est en état critique, le fléau attaque ! Et en plus de cela il y a des révoltes !>> leur cria Nothina.
Les Gardes tranchèrent les assaillantes, soudain, Amélie passant par là avec plussieur bléssés sur le dos, les rejoignit.
<<Encore des contaminer !>> leur lança t-elle.
<< Nous somme perdus....>>

Comme toutes nouvelles venant d'Azeroth, celle ci arriva très tard au fin fond de l'Outreterre où Eskilan Astaldo avait été envoyé pour rejoindre le front à la tête d'une petite troupe de soldats de l'Alliance depuis plusieurs semaines déjà.

- "comme je vous dit, des armées de zombies! le fléau est de retour! Votre unité doit être démantelé et les hommes seront réaffectés pour faire face à la nouvelle menace." annonça le gnome qui avait été envoyé. "il est demandé aux hommes de se préparer, de nouvelles affectations leur seront donné d'ici quelques jours, ce camp va devoir être abandonné, soyez prêt à le quitter dans cinq jours"

A ces mots le guerrier blond appela son bras droit pour lui faire part des informations qui venaient d'arriver.
- "Occupes toi de prévenir les hommes et de commencer à préparer la levée du camp et le démantellement de l'unité, je te fait confiance pour ça"
- "Tu ne restes pas?" lui répondit le bras droit, un homme agé et couvert de cicatrices.
- "Tu as entendus ce que le gnome a dit, il ya urgence. Je récupère mon équipements et mes effets personnels et je rentre immédiatement à Hurlevent, une épée de plus ne sera pas de trop" répondit Eskilan.

Une heure plus tard le guerrier blond lançait sa monture au galop alors que régnait une atmosphère des plus agités dans le camp, mêlant excitation, peur et surtout inquiétude pour ceux ayant laissé des proches en Azeroth.

Elle ouvrit la bouche laissant les quelques gouttes de pluies glisser le long de ses levres crevassées et couler sur son visage crasseux et ferma les yeux , l'eau lui brulait la gorge ....
elle rouvrit les yeux baissant le regard sur ses jambes allongées et doucement prit le pistolet posé sur ses genoux

"fais pas cette tete la Wilson , il le faut ..t'es avec moi mon grand?j'peux pas bouger d'ici , tu ferai quoi a ma place Wilson? hein gros malin?"

la petite balle de cuir laissée par un enfant pendant l'attaque dans la ruelle dévastée ne répondit pas

"je sais ce que je fais j'te dis et efface moi ce sourire de ton visage "

le ballon en cuir refusa d'optemperer , le sourire dessiné sur la balle resta en place

"tes vraiment un connard Wilson je me demande pourquoi je m'encombre de toi suis vraiment seule au monde"

elle soupira vidant le bassinent du pistolet sur sa jambe et resta longtemps , songeuse, tirant sur son dernier cigare puis ferma les yeux le posant sur la trainée de poudre etalée sur la blessure boursoufflée de sa jambe

le cigare se coupa net quand elle resserra les machoires sous la douleur et dodelina de la tete , s'evanouissant a demi assise contre la maison mise a sac par les zombies

elle leva un oeil vitreux ou pointait fievre et folie vers le ciel
"jai soif ...patron..tournée générale !"

elle eclata d'un rire dement qui raisonna dans la ruelle quand l'orage deversa des trombes d'eau sur sa tete

Le lieutenant Do'Illishar et moi même avons fait des recherches sur la diparition du Sous-lieutenant Marteau-hardi, grace à son communicateur gnome nous l'avons localisé dans le nord de la cité. Le flair du lieutenant a permis de la retrouver, dans un sale état. Nous l'avons aussitôt emmener chez les hospitalies.

Garde Miellepuits