Une affiche placardée sur différents murs de la ville.

par A.Ghassant Jeu 30 Jan 2014 - 16:40

*Dans le courant de la nuit du 30eme jour du premier mois de l'an 34, des ombres fébriles ont placardées sur les murs de points clefs de la ville des affiches au message ...intrigant, se tenant à l'abri du regard et des lampes des factionnaires. La première d'entre elle a été clouée au panneau d'affichage de la ville, sous un message et un avis de recherche laissé par le sergent E.Stolen*

Spoiler:

par **Cendre** Jeu 30 Jan 2014 - 17:56

Le maître-voleur s'installa sur le bord d'un toit, non loin d'une affiche et prit une pomme de sa sacoche en observant tranquillement les passants.

Ce sont ses voleurs qui s'étaient amusés la nuit passée, à coller ces affiches dans le cadre d'une commande amicale.
L'épervier d'Alterac se souvient surtout s'être massé l'arête de son nez après avoir lu "Je ne suis pas un justicier, je suis un partisan de l'ordre" ainsi que "Nous ne cherchons pas le chaos". Jojen n'avait pas compris le paradoxe qui entourait les bougres dans les ombres. Il sentait, au plus profond de lui, qu'ils allaient être vu comme de ridicules mercenaires, ce qui n'était évidemment pas le cas.

Accipiter aurait laissé Deverson en vie, peu importe s'il abattait des gardes. Il l'aurait utilisé pour couvrir ses propres actions, après tout, leur but était de dominer Hurlevent. Il n'appréciait pas cette affiche, pas du tout, elle ne jouait pas suffisamment avec leurs clichés pour se faire respecter.

Un moment, il pensa même être un meilleur assassin que Jojen... alors qu'il n'avait jamais porté d'armes.
Sur cette pensée, il croqua dans sa pomme.

par **Ethan Rosco** Jeu 30 Jan 2014 - 18:33

*Il jette un coup d’œil à l'affiche, esquisse un sourire en coin sans mot dire, cette affiche avait un coté comique tant il y avait de contradictions puis s'éloigne reprenant le cours de ses activités.*

par **Le Borgne** Jeu 30 Jan 2014 - 19:25

*Une réponse fut affichée, l'homme ne se cacha pas vraiment. Il était borgne avec une queue de cheval, des cheveux chatains, une longue canne à pêche dans le dos et trimbalait avec lui un seau remplit de poissons frais.*

Salut à vous, garde et peuple de Hurlevent. Il y en a parmis vous qui se pensent investis d'un sens aigü des affaires, et sur ce point, j'aimerai que les choses soient claires, car je ne puis tolérer d'être considéré comme un vulgaire pêcheur. J'ai offert à cette ville les thons et cabillauds les plus exquis et pour cela, vous avez pensé que je croyais œuvrer pour le bien commun.

Vous vous êtes mépris. Et si je rend ce message public, c'est pour que Hurlevent toute entière sache. Je ne suis pas un philanthrope. Je suis un partisan du capitalisme. Et je m'applique à l'instaurer au sein de mon syndicat de pêcheur. Aujourd'hui, nous sommes unis, fort et riche. La pêche n'est qu'une solution parmi d'autres, une solution de facilité à laquelle j'aime recourir pour m'enrichir. Aussi, j'invite chaque habitant du peuple de Hurlevent à se montrer généreux et pas très malin. Nous ne cherchons pas à vous appauvrir, nous ne souhaitons que nous enrichir.

Nous enrichir durablement pour le bien de cette Cité (Et surtout le notre, de bien). Tout ceux qui se sentiront prêt à contribuer à cette utopie seront les bienvenus et ce quel que soit leur camp.

Venez acheter mes poissons.

-Bob

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