Naufrage dans les champs
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Naufrage dans les champs
par La Toile Noire Ven 12 Sep 2014 - 18:17
La journée a été plutôt calme sur les rives de la Marche de l'Ouest ce matin là. Seules les vagues se fendaient sur le rivage, et les murlocs, eux, la poire sur les dépouilles dépiautées des crabes qui leur avait servi de petit déjeuner. Les habitudes avaient été respectées jusqu'au début de l'après midi. Les paysans locaux se mirent à en parler rapidement, les clochards à inspecter, et la garde locale à sécuriser. En ce jour du douze du neuvième mois de l'an 34, un petit navire de pêche à la voilure jaune s'était échoué sur les rives de la Marche de l'Ouest, et son équipage avait quant à lui fait une escale dans la gueule des murlocs sans pouvoir en ressortir.
"-Qu'est-ce qui a bien pu arriver à ce navire ?
-On dirait que la coque a percuté un rocher, et le navire s'est échoué pas loin. Aucune trace de l'équipage, si ça n'est les étoffes ensanglantées et déchirées que l'on a trouvé du coté d'un village non loin de l'épave.
-J'ai vu ça, oui. Mais comment c'est arrivé ?"
Une fouille fut engagée pour découvrir la cause du naufrage, et éventuellement pour récupérer le poisson pêché ce matin là. Mais à la grande surprise des miliciens, le bateau ne contenait pas de poisson. Les caisses étaient chargées en poterie trolle, en joaillerie draeneï, même en statue elfique. Mais le plus impressionnant était cette énorme caisse, dissimulant des armes orques, récupérées lors du pillage d'Orgrimmar. Bien sûr, rien de tout cela n'avait été déclaré par un quelconque commerçant, ou par une quelconque guilde de marchands, et les autorités responsables du commerce n'avaient pas été mises au courant de ce chargement. Qu'est-ce que cela pouvait bien signifier ? Que faisait ce navire de pêche avec aussi peu de poissons et autant d'objets peu communs ?
"-Qu'est-ce qui a bien pu arriver à ce navire ?
-On dirait que la coque a percuté un rocher, et le navire s'est échoué pas loin. Aucune trace de l'équipage, si ça n'est les étoffes ensanglantées et déchirées que l'on a trouvé du coté d'un village non loin de l'épave.
-J'ai vu ça, oui. Mais comment c'est arrivé ?"
Une fouille fut engagée pour découvrir la cause du naufrage, et éventuellement pour récupérer le poisson pêché ce matin là. Mais à la grande surprise des miliciens, le bateau ne contenait pas de poisson. Les caisses étaient chargées en poterie trolle, en joaillerie draeneï, même en statue elfique. Mais le plus impressionnant était cette énorme caisse, dissimulant des armes orques, récupérées lors du pillage d'Orgrimmar. Bien sûr, rien de tout cela n'avait été déclaré par un quelconque commerçant, ou par une quelconque guilde de marchands, et les autorités responsables du commerce n'avaient pas été mises au courant de ce chargement. Qu'est-ce que cela pouvait bien signifier ? Que faisait ce navire de pêche avec aussi peu de poissons et autant d'objets peu communs ?
La Toile Noire- Citoyen
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Re: Naufrage dans les champs
par La Toile Noire Dim 14 Sep 2014 - 10:54
Durant la nuit, deux silhouettes humaines ont été aperçue du coté de l'épave en train de fouiller celle ci qui, comme l'on pouvait se douter, a été vidée par les autorités locales. Les marchandises étaient stockées dans la tour de guet de la Colline des Sentinelles en attendant qu'un convoi soit formé pour les transporter à Hurlevent.
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Re: Naufrage dans les champs
par La Toile Noire Dim 28 Sep 2014 - 19:03
Les rumeurs commençaient seulement à en parler. Un messager se serait présenté à la Garnison du Ruisseau de l'Ouest, ainsi qu'à la garnison de Hurlevent pour signaler l'attaque d'un convoi contenant les marchandises de contrebande récupérées dans l'épave du navire. L'affrontement aurait fait un mort du coté des attaquants, mais le chargement a pu disparaitre.
Les personnes cherchant à enquêter sur cette attaque découvriront en conversant avec les dix miliciens chargés de protéger le convoi que lorsqu'ils sont arrivés au niveau de la ferme des Jansen, ils ont été confronté à une scène de massacre. A première vue il s'agissait d'un chariot détruit contenant que les corps des fermiers. Pas de trace de marchandises, mais un long sillage rouge semblable à la marque d'un corps que l'on aurait trainé. Quatre miliciens ont été chargé de suivre ces traces et sont tombés sur un autre cadavre. Lorsqu'ils ont inspecté les corps, ils se sont rendus compte qu'il s'agissait de mannequins couverts de tripes de sangliers. Au moment où ils se sont rendus compte de la supercherie, deux hommes camouflés dans les arbres leur ont jeté de grandes jarres en argile remplie de poix, une matière collante et inflammable. Impossible pour eux de bouger, et sous la contrainte d'être brûlés vivants, ils ont déposé les armes. Deux autres bandits ont rejoint les attaquants, avec des armures lourdes. Ils ont reproduit le même stratagème sur les six gardes restant, réussissant à en piéger deux. A la suite d'un affrontement les attaquants ont réussi à prendre l'avantage, blessant les quatre derniers gardes. L'un des assaillants a tenté d'abattre le garde qu'il a combattu, mais a été abattu par ce qui semble être un cinquième membre, sans doute équipé d'un fusil à longue portée.
Les contrebandiers ont ensuite pris la fuite vers le sud, longeant la rivière jusqu'à disparaitre au sud de la Marche au niveau d'un quai, abandonnant derrière eux un chariot vide. En parlant un peu plus avec ces miliciens, et en leur offrant une bonne bière, ils donneront une description physique des quatre attaquants visibles. Celui qui s'est fait abattre était un nain avec une armure en cuir légère, masqué, utilisant deux haches à une main. Il y avait également deux humains, un dans une énorme armure marron utilisant une lance, l'autre dans une longue robe en tissu, utilisant sans doute la magie. Le dernier attaquant était une femme, en armure marron avec un casque rouge à cornes ainsi qu'une énorme lame orque. Elle avait l'air d'être à la tête du groupe. Ils supposent que les trois survivants se sont enfuis vers la Vallée de Strangleronce.
Les personnes cherchant à enquêter sur cette attaque découvriront en conversant avec les dix miliciens chargés de protéger le convoi que lorsqu'ils sont arrivés au niveau de la ferme des Jansen, ils ont été confronté à une scène de massacre. A première vue il s'agissait d'un chariot détruit contenant que les corps des fermiers. Pas de trace de marchandises, mais un long sillage rouge semblable à la marque d'un corps que l'on aurait trainé. Quatre miliciens ont été chargé de suivre ces traces et sont tombés sur un autre cadavre. Lorsqu'ils ont inspecté les corps, ils se sont rendus compte qu'il s'agissait de mannequins couverts de tripes de sangliers. Au moment où ils se sont rendus compte de la supercherie, deux hommes camouflés dans les arbres leur ont jeté de grandes jarres en argile remplie de poix, une matière collante et inflammable. Impossible pour eux de bouger, et sous la contrainte d'être brûlés vivants, ils ont déposé les armes. Deux autres bandits ont rejoint les attaquants, avec des armures lourdes. Ils ont reproduit le même stratagème sur les six gardes restant, réussissant à en piéger deux. A la suite d'un affrontement les attaquants ont réussi à prendre l'avantage, blessant les quatre derniers gardes. L'un des assaillants a tenté d'abattre le garde qu'il a combattu, mais a été abattu par ce qui semble être un cinquième membre, sans doute équipé d'un fusil à longue portée.
Les contrebandiers ont ensuite pris la fuite vers le sud, longeant la rivière jusqu'à disparaitre au sud de la Marche au niveau d'un quai, abandonnant derrière eux un chariot vide. En parlant un peu plus avec ces miliciens, et en leur offrant une bonne bière, ils donneront une description physique des quatre attaquants visibles. Celui qui s'est fait abattre était un nain avec une armure en cuir légère, masqué, utilisant deux haches à une main. Il y avait également deux humains, un dans une énorme armure marron utilisant une lance, l'autre dans une longue robe en tissu, utilisant sans doute la magie. Le dernier attaquant était une femme, en armure marron avec un casque rouge à cornes ainsi qu'une énorme lame orque. Elle avait l'air d'être à la tête du groupe. Ils supposent que les trois survivants se sont enfuis vers la Vallée de Strangleronce.
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