Lettre adressée à Calirae Ventis

La lettre que vous lisez semble assez grossièrement écrite, comme si la personne qui avait utilisé le crayon l'avait fait en portant des gants de box

Bonjour à vous, Garde de Hurlevent

Je vous contacte en humble gnoll, afin de vous demander libre accès à la cité d'Hurlevent tel un citoyen lambda, dans la paix et la cohabitation la plus harmonieuse. Je ne veux causer d'ennuis à nul humains, nains ou corrompus de la cité. Mon seul désire est d'en apprendre plus sur la civilisation que mon peuple primitif et inutilement va-t'en-guerre combat depuis des années. Voila pourquoi je vous serais reconnaissant de me permettre de circuler dans les rues d'Hurlevent sans avoir à craindre pour ma vie.

Dans l'attente de votre réponse que je viendrais bien sur réclamer aux gardes de la grande porte chaque jours.

Bien à vous.

Dirty

Salutations gnoll Dirty,

Je ne puis que vous déconseiller de fréquenter une capitale comme Hurlevent. A cause du statut de votre peuple et de l’accueil compréhensible que la population vous réserverait compte tenu de l’historique relationnel. Ainsi les moyens qui devraient être mis en œuvre pour que vous n’ayiez pas à craindre pour votre vie serait bien trop lourds et peu pratiques. Je vous conseillerai donc plutôt de vous familiariser avec des lieux de plus faible densité de population pour mener votre étude ou vos recherches.

Si malgré tout vous désirez toujours un permis de séjour, je vous enjoindrai de vous adresser à la Chancellerie se situant Place de la Cathédrale.

Très cordialement,
Lieutenant Calirae Ventis.