La mort d'un pauvre homme.
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La mort d'un pauvre homme.
C'est un début d'après midi comme les autres. Le soleil brille sur la ville et tout le monde vaque à ses occupations sur la Place du Marché. Enfin, tous sauf un. Posté sur un trottoir en face des officiers de recrutement de l'armée, un homme dans un accoutrement sale et déchiré hurle son désespoir et sa haine sur un monde qui ne le voit pas. Il crie sa colère d'avoir du enterrer son fils la vieille faute d'avoir pu le nourrir. Il est fou de rage contre ces gens qui vivent dans le luxe quand lui vit dans la misère.
Certains passants tentent de le calmer en vain, rien ne peut apaiser sa peine ou son courroux. Pas même un garde qui vient lui pointer sa lance sous le nez le sommant de se taire. Ce fermier crie son écœurement pour ce Roi, pour ce peuple, pour cette alliance que les siens ont nourrit par leurs récoltes. Eux qui meurent à présent avec pour seul remerciement l'indifférence face à leur malheur.
Il met en garde, il crie un avertissement car ce qui le pousse à venir en ces lieux est autant sa haine que sa peur. La crainte de ce qui se lève lentement dans l'Ouest. Quelque chose que l'on croyait mort après lui avoir tranché la tête. La Marche n'est pas plus libre depuis la mort d'Edwin Vancleef. Elle est simplement endormie. Calme comme un félin tapis dans les hautes herbes. Il a vu ce qui se trame et il compte bien avertir tout le monde.
Un éclair, une détonation venu d'un toit voisin. Il n'a pas terminé sa phrase. Le sang coule de son front alors que son corps sans vie s'effondre au sol. Né dans la terre, mort dans la poussière. La vie le quitte sans qu'il ai eut le temps de révéler ses secrets. Un film aussi rouge que le masque de son meurtrier s'étend sur le sol.
Le coupable a déjà disparu, laissant derrière lui le bruit d'une tuile tombée au sol comme seule preuve de sa présence. Les cris des marchands et des acheteurs ont laissé la place au silence. L'ironie de la vie aura voulu que pour qu'on s'intéresse à lui, l'impacte d'une balle doive marquer le front du pauvre homme.
Certains passants tentent de le calmer en vain, rien ne peut apaiser sa peine ou son courroux. Pas même un garde qui vient lui pointer sa lance sous le nez le sommant de se taire. Ce fermier crie son écœurement pour ce Roi, pour ce peuple, pour cette alliance que les siens ont nourrit par leurs récoltes. Eux qui meurent à présent avec pour seul remerciement l'indifférence face à leur malheur.
Il met en garde, il crie un avertissement car ce qui le pousse à venir en ces lieux est autant sa haine que sa peur. La crainte de ce qui se lève lentement dans l'Ouest. Quelque chose que l'on croyait mort après lui avoir tranché la tête. La Marche n'est pas plus libre depuis la mort d'Edwin Vancleef. Elle est simplement endormie. Calme comme un félin tapis dans les hautes herbes. Il a vu ce qui se trame et il compte bien avertir tout le monde.
Un éclair, une détonation venu d'un toit voisin. Il n'a pas terminé sa phrase. Le sang coule de son front alors que son corps sans vie s'effondre au sol. Né dans la terre, mort dans la poussière. La vie le quitte sans qu'il ai eut le temps de révéler ses secrets. Un film aussi rouge que le masque de son meurtrier s'étend sur le sol.
Le coupable a déjà disparu, laissant derrière lui le bruit d'une tuile tombée au sol comme seule preuve de sa présence. Les cris des marchands et des acheteurs ont laissé la place au silence. L'ironie de la vie aura voulu que pour qu'on s'intéresse à lui, l'impacte d'une balle doive marquer le front du pauvre homme.
[HRP] Merci à la DK dont j'ai oublié le nom et à Lian' d'avoir porté son attention sur le micro event qui se produisait. Celui-ci annonce un rp nouveau que j'essaye de mettre en œuvre. J'en profite pour passer un petit message, je cherche des figurants. Pour les prochains petits événements que je compte lancer. N'hésitez pas à me contacter sur Oracio ou sur Evania si cela vous intéresse.
Oracio Caldéri- Citoyen
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