Nuit du 19ème au 20ème jour, 3ème mois, 41ème an
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Nuit du 19ème au 20ème jour, 3ème mois, 41ème an
La grande brune, ce soir, est remplie de colère et de rage, sa soif de sang éteinte depuis quelques temps lui siffle de trucider quelqu’un pour se calmer. Elle lutte contre ses pulsions, la rage qu’elle éprouve pour cette petite pute qui allait finir par ruiner ses affaires.
Elle en voulait à son ami d'avoir raconté cette histoire, le seul soir où elle pouvait s’accorder un moment de paix, c’était raté visiblement. Elle rumine en patientant dans une des petites ruelles de la ville, elle lutte contre ses pensées.
- ''Comment cette petite traînée avait-elle osé ? Pourquoi ? Et puis merde, Olivia finit par récolter ce qu’elle vient de semer depuis bien trop longtemps !''
Son départ précipité, le regard glacial suivit des réponses cinglantes d'un de ses hommes acquiesçant les faits ne font qu’attiser cette flamme déjà trop alimentée. Elle était pourtant partie d’une bonne intention, fermant les yeux sur les déboires de ce mage de pacotille, ravalant son orgueil, son ego, sa réputation.
- ''Si je pars en geôle...''
Mais comment cette garce pouvait oser la foutre dans la merde ?!
- ''Lui faire avaler sa langue, lui arracher les yeux, la brûler vive, congeler sa sale gueule !''
Bordel, elle essayait vraiment de garder son calme dans cette ville, elle qui avait tout sacrifié. Mais là, cette femme remplit habituellement d’une prestance des plus naturelles perdait pieds. Elle avait l'impression d'avoir affaire à une gosse. Saloperie de parasite…
- ''Ah, oui, elle s’est bien foutue de sa gueule ! Pardon, Dame .... et ça part cracher à la garde pour un nez cassé ? Elle a toujours sa paire de nichons en place, elle a toujours ses jambes et ses bras ....''
-''Pourquoi faire chier autant alors qu’elle s’est mangée plus de mandales en une semaine qu’un gladiateur dans l’arène ! Saleté de gamine capricieuse, pourrie jusqu'à la moelle. Saloperie d’apprentie mage de pacotilles … Ah, oui, elle s’est bien foutue de sa gueule !''
- ''Au diable, les bonnes manières! Trop c’est trop !''
Enfin, les deux autres hommes arrivent, chacun son rôle, afin d’être rapides et efficaces. L’adresse est sur sa carte. Facile à trouver. Aller devant l’établissement longeant les quais à une heure des plus tardives afin de ne pas se faire remarquer. Habillés sobrement, encapuchonnés, discrets, chacun son poste, l’un attend que la patrouille passe, l’autre donne le signal, la dame claque des doigts pour foutre le feu sur sa maudite baraque en bois. Premier avertissement.
La première flamme lèche le poteau. Que cette femme soit dedans ou pas, cela importe peu. La mage, loin d’être débutante, tourne les talons avant de se faire remarquer.
Elle en voulait à son ami d'avoir raconté cette histoire, le seul soir où elle pouvait s’accorder un moment de paix, c’était raté visiblement. Elle rumine en patientant dans une des petites ruelles de la ville, elle lutte contre ses pensées.
- ''Comment cette petite traînée avait-elle osé ? Pourquoi ? Et puis merde, Olivia finit par récolter ce qu’elle vient de semer depuis bien trop longtemps !''
Son départ précipité, le regard glacial suivit des réponses cinglantes d'un de ses hommes acquiesçant les faits ne font qu’attiser cette flamme déjà trop alimentée. Elle était pourtant partie d’une bonne intention, fermant les yeux sur les déboires de ce mage de pacotille, ravalant son orgueil, son ego, sa réputation.
- ''Si je pars en geôle...''
Mais comment cette garce pouvait oser la foutre dans la merde ?!
- ''Lui faire avaler sa langue, lui arracher les yeux, la brûler vive, congeler sa sale gueule !''
Bordel, elle essayait vraiment de garder son calme dans cette ville, elle qui avait tout sacrifié. Mais là, cette femme remplit habituellement d’une prestance des plus naturelles perdait pieds. Elle avait l'impression d'avoir affaire à une gosse. Saloperie de parasite…
- ''Ah, oui, elle s’est bien foutue de sa gueule ! Pardon, Dame .... et ça part cracher à la garde pour un nez cassé ? Elle a toujours sa paire de nichons en place, elle a toujours ses jambes et ses bras ....''
-''Pourquoi faire chier autant alors qu’elle s’est mangée plus de mandales en une semaine qu’un gladiateur dans l’arène ! Saleté de gamine capricieuse, pourrie jusqu'à la moelle. Saloperie d’apprentie mage de pacotilles … Ah, oui, elle s’est bien foutue de sa gueule !''
- ''Au diable, les bonnes manières! Trop c’est trop !''
Enfin, les deux autres hommes arrivent, chacun son rôle, afin d’être rapides et efficaces. L’adresse est sur sa carte. Facile à trouver. Aller devant l’établissement longeant les quais à une heure des plus tardives afin de ne pas se faire remarquer. Habillés sobrement, encapuchonnés, discrets, chacun son poste, l’un attend que la patrouille passe, l’autre donne le signal, la dame claque des doigts pour foutre le feu sur sa maudite baraque en bois. Premier avertissement.
La première flamme lèche le poteau. Que cette femme soit dedans ou pas, cela importe peu. La mage, loin d’être débutante, tourne les talons avant de se faire remarquer.
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Un incendie dévastateur a fait rage la nuit passée vers 2 heures du matin dans les bureaux d'une certaine Olivia Williams. Les habitants du quartier de la cathédrale, aidés de quelques prêtres et paladins ont tenté de maîtriser ce feu qui semble être d'origine criminelle et magique. Le rez-de-chaussée est totalement dévasté. Nous ne savons pas encore s'il y a eu des blessés.
Le rat porteur- Citoyen
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Date d'inscription : 20/03/2021
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