La Gazette de Hurlevent
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La Gazette de Hurlevent
*Une affiche placardée un peu partout en ville et aux alentours*
/HRP : Après avoir bourlingué sur diverses régions (ou plutôt en fait avoir joué sur divers persos, et bien évidemment aussi à la Garde :p) Heythe revient, plus motivée que jamais pour relancer la Gazette de Hurlevent (voir sur KTRP les modalités de participation si cela vous intéresse ou sur http://gazette-hurlevent.wow-gratuit.com/)
Comme tout bon journal, l'Hurleventoise doit rendre compte de ce qui se passe dans le monde et en ville. Or beaucoup d'événements urbains (pour ne pas dire tous) passent à un moment par la Garde, j'aimerais donc pouvoir avoir un contact régulier avec la Garde pour suivre les enquêtes, les attaques (même aux Carmines ou dans la forêt à la Garnison de Ruisseau de l'Ouest !), faire des comptes rendus de la vie en prison, plus, bien sûr, le suivi des procès, etc.
Je suis déjà passée une première fois, je vais repasser, j'aimerais savoir si cela intéresserait quelqu'un parmi les gardes pour être une sorte de contact-informateur régulier, bien évidemment sans enfreindre le secret professionnel et en accord avec l'Etat Major ! (comme cela se fait dans la vraie vie, en fait).
En clair j'aimerais pouvoir venir vous interviewer à la caserne et rendre compte du beau et difficile travail de la Garde.
Quoiqu'il en soit, au plaisir de rp avec vous de l'extérieur
Heythe Nografe
(www.nografe.com)
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
Un nouvel article sur la Garde de Hurlevent et la vie passionnante de ceux qui s'engagent, article que vous trouverez ici !
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
Le premier numéro de la nouvelle édition enfin dans les kiosques !
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Page 6 :
Une édition plus courte vous est proposée en ville (objet Trp, non piégé, disponible en jeu)
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Une édition plus courte vous est proposée en ville (objet Trp, non piégé, disponible en jeu)
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
De notre envoyée spéciale en Kalimdor, un reportage-gnomos sur la guerre en Theramore.
En direct de Theramore, notre envoyée spéciale vous livre les premières gnomographies de la bataille qui fait rage dans les Tarides. Des gnomos chocs qui montrent l'implication des troupes de l'Alliance dans cette bataille qui a démarré en force dans la soirée du 6 courant.
Malheureusement, la bataille s'est soldée par un échec, les troupes commandées par le Seigneur Cathules ayant dû se replier avant d'être entièrement décimées. Mais le moral des troupes est toujours bon, malgré la perte de soldats pendant le repli, et une bataille perdue ne présage pas d'une défaite définitive de nos troupes.
La Garde au complet dans les locaux de la casernée de Hurlevent juste avant le départ,
décidée, motivée, paquetages prêts à être embarqués.
Le Lieutenant Arenberg s'emploie à motiver ses troupes avant l'embarquement pour Theramore,
rappel historique de la situation, règles de sécurité, incitation à défendre sa patrie
et détermination à représenter fièrement le Roy sont à l'ordre du jour.
Formation des colonnes en Ménéthil avant l'embarquement.
Avant l'embarquement sur le bateau,
le Lieutenant Arenberg fait le rappel des troupes et donne les dernières consignes.
Arrivée sur les quais de Theramore,
le Lieutenant Arenberg dépêche un soldat prévenir de l'arrivée des Armées du Roy.
Rencontre entre les deux corps d'Armées, celle de la Garde du Roy Varian, et celle du Serment de Theramore,
en charge de la sécurité de la région. Dame Cathules, accompagnée de ses officiers, accueille les Armées du Roy,
commandées par le Lieutenant Arenberg en attente de l'arrivée imminente du Commandant Marteau-Hardi.
Les gardes de Hurlevent sont cantonnés dans une caserne aménagée pour eux dans l'immense donjon
de la cité de Théramore. Dame Fanélia Cathules leur fait les honneurs de sa cité, indiquant aux uns
et aux autres leurs droits et devoirs en tant que corps d'armée invité.
Avant la bataille, toutes les troupes sont réunies par leurs chefs.
Le Serment de Theramore, La Brigade Courtetaille, Le Croissant d'Elune et la Garde de Hurlevent
écoutent les différents discours prononcés par leurs chefs, le Seigneur Cathules étant bien
évidemment le Chef Suprême de ce corps d'Armée constitué pour l'occasion.
Vos serviteurs, Heythe Nografe et Derek Dempsey, pendant les discours devant le Donjon de Theramore.
L'heure est enfin aux combats,
les troupes de l'Alliance quittent la cité de Théramore, l'excitation est palpable.
Arrivée à la Tour qui doit être protégée.
Ordre est donné de mettre les chevaux à couvert.
En ordre de bataille, les attaquants devant et les soigneurs en arrière,
tous prêts à en découdre.
Les combats font rage, l'ennemi est venu en nombre
et beaucoup des nôtres doivent se replier dans la Tour pour recevoir des soins.
Le Commandait Marteau-Hardi, au milieu de ses troupes,
n'aura pas manqué de les inciter à la vaillance et à l'obéissance au Seigneur Cathules.
Ordre est donné de se replier, certains soldats peinent à obéir à cet ordre pourtant hurlé par le Sénéchal.
Cela coûtera la vie des soldats qui auront dû aider les plus téméraires.
Partout des blessés, des morts, des bêtes aux abois,
mais jusqu'au bout les Armées de L'alliance n'auront pas faibli !
En direct de Theramore, notre envoyée spéciale vous livre les premières gnomographies de la bataille qui fait rage dans les Tarides. Des gnomos chocs qui montrent l'implication des troupes de l'Alliance dans cette bataille qui a démarré en force dans la soirée du 6 courant.
Malheureusement, la bataille s'est soldée par un échec, les troupes commandées par le Seigneur Cathules ayant dû se replier avant d'être entièrement décimées. Mais le moral des troupes est toujours bon, malgré la perte de soldats pendant le repli, et une bataille perdue ne présage pas d'une défaite définitive de nos troupes.
La Garde au complet dans les locaux de la casernée de Hurlevent juste avant le départ,
décidée, motivée, paquetages prêts à être embarqués.
Le Lieutenant Arenberg s'emploie à motiver ses troupes avant l'embarquement pour Theramore,
rappel historique de la situation, règles de sécurité, incitation à défendre sa patrie
et détermination à représenter fièrement le Roy sont à l'ordre du jour.
Formation des colonnes en Ménéthil avant l'embarquement.
Avant l'embarquement sur le bateau,
le Lieutenant Arenberg fait le rappel des troupes et donne les dernières consignes.
Arrivée sur les quais de Theramore,
le Lieutenant Arenberg dépêche un soldat prévenir de l'arrivée des Armées du Roy.
Rencontre entre les deux corps d'Armées, celle de la Garde du Roy Varian, et celle du Serment de Theramore,
en charge de la sécurité de la région. Dame Cathules, accompagnée de ses officiers, accueille les Armées du Roy,
commandées par le Lieutenant Arenberg en attente de l'arrivée imminente du Commandant Marteau-Hardi.
Les gardes de Hurlevent sont cantonnés dans une caserne aménagée pour eux dans l'immense donjon
de la cité de Théramore. Dame Fanélia Cathules leur fait les honneurs de sa cité, indiquant aux uns
et aux autres leurs droits et devoirs en tant que corps d'armée invité.
Avant la bataille, toutes les troupes sont réunies par leurs chefs.
Le Serment de Theramore, La Brigade Courtetaille, Le Croissant d'Elune et la Garde de Hurlevent
écoutent les différents discours prononcés par leurs chefs, le Seigneur Cathules étant bien
évidemment le Chef Suprême de ce corps d'Armée constitué pour l'occasion.
Vos serviteurs, Heythe Nografe et Derek Dempsey, pendant les discours devant le Donjon de Theramore.
L'heure est enfin aux combats,
les troupes de l'Alliance quittent la cité de Théramore, l'excitation est palpable.
Arrivée à la Tour qui doit être protégée.
Ordre est donné de mettre les chevaux à couvert.
En ordre de bataille, les attaquants devant et les soigneurs en arrière,
tous prêts à en découdre.
Les combats font rage, l'ennemi est venu en nombre
et beaucoup des nôtres doivent se replier dans la Tour pour recevoir des soins.
Le Commandait Marteau-Hardi, au milieu de ses troupes,
n'aura pas manqué de les inciter à la vaillance et à l'obéissance au Seigneur Cathules.
Ordre est donné de se replier, certains soldats peinent à obéir à cet ordre pourtant hurlé par le Sénéchal.
Cela coûtera la vie des soldats qui auront dû aider les plus téméraires.
Partout des blessés, des morts, des bêtes aux abois,
mais jusqu'au bout les Armées de L'alliance n'auront pas faibli !
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
De notre envoyée spéciale en Kalimdor, un reportage-gnomos sur la guerre en Theramore.
En direct de Theramore, notre envoyée spéciale continue de vous livrer les gnomographies de la guerre qui fait rage dans les Tarides. Le poids des mots, le choc des photos, pour ce reportage au coeur des événements qui traversent les terres de Kalimdor.
Au cours de la journée du 7, les troupes de l'Alliance, toujours aussi soudées et vaillantes, ont dû se replier dans la cité en état de siège. Tandis que les civils les plus faibles et les blessés étaient cantonnés dans des retraites aménagées pour eux dans les sous sols du donjon, les soldats ont patrouillé toute la journée autour de la cité autour de laquelle la Horde avait peu à peu installé campements et feux qui montraient qu'un siège important se préparait.
Après de longues heures d'attente, épuisante pour les nerfs, l'ennemi est finalement apparu devant les remparts de l'ouest. Tous les soldats qui patrouillaient au port ont été renvoyés sur les remparts pour tenter de contenir l'ennemi. De lourds chaudrons d'huile bouillante ont été déversés sur les ennemis qui tentaient de prendre d'assaut les remparts à l'aide d'échelles posées contre les mâchicoulis. Plusieurs attaques aériennes menées par la Horde ont permis à des peaux vertes de tomber sur nos soldats postés sur les tours et remparts, les obligeant à se battre au sommet des tours, au risque de tomber de plusieurs centaines de mètres de haut. Toute la soirée, nos vaillants soldats auront donc contenu les lourdes attaques de l'ennemi, tuant sans pitié ceux qui, malheureusement, avaient réussi à s'infiltrer et réussissant, au prix de la vie de plusieurs des nôtres, à finalement les repousser dans le marais, le Sénéchal lançant lui même l'assaut final à la porte de l'Ouest.
C'est tard dans la nuit que les blessés, dont certains lourdement brûlés et d'autres empoisonnés, ont pu être soignés au pied des remparts puis déplacés vers l'infirmerie où ils auront, nous l'espérons pour la suite, pu reprendre quelques forces.
Dans la journée, malgré la tension palpable, les chefs d'armée se sont retrouvés pour évoquer divers plans.
Ici le lieutenant Arenberg évalue l'éventualité d'une inondation partielle du marais proposé par les chefs de la Brigade Courtetaille.
La Sénéchale Cathules, accompagnée de quelques officiers, a pris le temps de faire le tour des unités présentes.
Au détour d'un chemin, une Dame Sombrecoeur, arrivée par griffon et arborant son tabard, a été reçue comme il se devait,
la Sénéchale rappelant que si le Clan Sombrecoeur était banni de Hurlevent alors il n'était pas le bienvenu en ses terres.
La dame n'ayant pas voulu ôter son tabard a été reconduite manu militari au port
où elle a dû prendre le premier bateau en partance pour les terres de l'Est.
Début de soirée, l'heure est aux discours de motivation des troupes.
Tous les chefs en présence, devant troupes et bannières flottant au vent, ont su trouver les mots
qui toute la nuit accompagneront les soldats face à l'ennemi.
La ville semble calme, comme une eau plate avant la tempête.
Dans le lointain, des bruits de charrettes, la Horde approche.
Sur les quais, les Gardes de Hurlevent ont été postés pour surveiller une arrivée possible de navires.
Près de la Tour Est, d'autres soldats du Roy surveillent le marais.
Au loin, sur la route du Sud on peut apercevoir des charrettes, signale le Lieutenant Arenberg à ses hommes.
L'attaque a été signalée sur les remparts à l'ouest de la cité, tous les soldats sont convoqués pour contenir l'ennemi.
Sur les remparts, les soldats déplacent des chaudrons d'huile bouillante qu'ils déversent sur les ennemis
qui tentent de forcer le passage en grimpant sur des échelles posées brinquebalantes sur les mâchicoulis.
De l'auberge, les rares civils encore présents dans l'enceinte de la cité
peuvent apercevoir sur les remparts les soldats qui reçoivent des salves de tirs.
L'ennemi réussit à grimper sur les remparts et des combats s'engagent d'homme à homme, fer contre fer, jusqu'à la mort.
Une unité ennemie a pris possession d'une tour et tente de retourner le canon contre la cité.
Les forces se déchaînent...
Après un court répit dans les combats, les troupes ont été rappelées devant la porte Ouest
car l'ennemi s'est reformé au bout du pont. L'attente des hommes est palpable, les nerfs sont mis à rude épreuve.
Enfin le Sénéchal lui même lance l'assaut, courant au devant de ses hommes, sur le pont vers le marais, pour montrer l'exemple.
Au bout du pont, sur la route du marais, le choc est violent, l'ennemi ne laissera rien passer.
Une fois encore, les soldats de l'Alliance doivent faire preuve de beaucoup de courage
pour affronter une Horde encore déchaînée malgré les pertes qui doivent être importantes.
Le repli est ordonné, les derniers soldats encore vaillants s'en retournent, en marche arrière, vers l'intérieur de la cité.
Partout, des blessés, des soldats brûlés, piqués, coupés, hachés, empoisonnés,
l'odeur des chairs meurtries et le bruit des râles de douleur emplissent l'air de la cité encore sous le choc.
L'heure est au bilan, les Sénéchaux, après un tour de la cité, décident de rentrer au donjon.
Demain, il fera de nouveau certainement jour sur la cité de Theramore...
En direct de Theramore, notre envoyée spéciale continue de vous livrer les gnomographies de la guerre qui fait rage dans les Tarides. Le poids des mots, le choc des photos, pour ce reportage au coeur des événements qui traversent les terres de Kalimdor.
Au cours de la journée du 7, les troupes de l'Alliance, toujours aussi soudées et vaillantes, ont dû se replier dans la cité en état de siège. Tandis que les civils les plus faibles et les blessés étaient cantonnés dans des retraites aménagées pour eux dans les sous sols du donjon, les soldats ont patrouillé toute la journée autour de la cité autour de laquelle la Horde avait peu à peu installé campements et feux qui montraient qu'un siège important se préparait.
Après de longues heures d'attente, épuisante pour les nerfs, l'ennemi est finalement apparu devant les remparts de l'ouest. Tous les soldats qui patrouillaient au port ont été renvoyés sur les remparts pour tenter de contenir l'ennemi. De lourds chaudrons d'huile bouillante ont été déversés sur les ennemis qui tentaient de prendre d'assaut les remparts à l'aide d'échelles posées contre les mâchicoulis. Plusieurs attaques aériennes menées par la Horde ont permis à des peaux vertes de tomber sur nos soldats postés sur les tours et remparts, les obligeant à se battre au sommet des tours, au risque de tomber de plusieurs centaines de mètres de haut. Toute la soirée, nos vaillants soldats auront donc contenu les lourdes attaques de l'ennemi, tuant sans pitié ceux qui, malheureusement, avaient réussi à s'infiltrer et réussissant, au prix de la vie de plusieurs des nôtres, à finalement les repousser dans le marais, le Sénéchal lançant lui même l'assaut final à la porte de l'Ouest.
C'est tard dans la nuit que les blessés, dont certains lourdement brûlés et d'autres empoisonnés, ont pu être soignés au pied des remparts puis déplacés vers l'infirmerie où ils auront, nous l'espérons pour la suite, pu reprendre quelques forces.
Dans la journée, malgré la tension palpable, les chefs d'armée se sont retrouvés pour évoquer divers plans.
Ici le lieutenant Arenberg évalue l'éventualité d'une inondation partielle du marais proposé par les chefs de la Brigade Courtetaille.
La Sénéchale Cathules, accompagnée de quelques officiers, a pris le temps de faire le tour des unités présentes.
Au détour d'un chemin, une Dame Sombrecoeur, arrivée par griffon et arborant son tabard, a été reçue comme il se devait,
la Sénéchale rappelant que si le Clan Sombrecoeur était banni de Hurlevent alors il n'était pas le bienvenu en ses terres.
La dame n'ayant pas voulu ôter son tabard a été reconduite manu militari au port
où elle a dû prendre le premier bateau en partance pour les terres de l'Est.
Début de soirée, l'heure est aux discours de motivation des troupes.
Tous les chefs en présence, devant troupes et bannières flottant au vent, ont su trouver les mots
qui toute la nuit accompagneront les soldats face à l'ennemi.
La ville semble calme, comme une eau plate avant la tempête.
Dans le lointain, des bruits de charrettes, la Horde approche.
Sur les quais, les Gardes de Hurlevent ont été postés pour surveiller une arrivée possible de navires.
Près de la Tour Est, d'autres soldats du Roy surveillent le marais.
Au loin, sur la route du Sud on peut apercevoir des charrettes, signale le Lieutenant Arenberg à ses hommes.
L'attaque a été signalée sur les remparts à l'ouest de la cité, tous les soldats sont convoqués pour contenir l'ennemi.
Sur les remparts, les soldats déplacent des chaudrons d'huile bouillante qu'ils déversent sur les ennemis
qui tentent de forcer le passage en grimpant sur des échelles posées brinquebalantes sur les mâchicoulis.
De l'auberge, les rares civils encore présents dans l'enceinte de la cité
peuvent apercevoir sur les remparts les soldats qui reçoivent des salves de tirs.
L'ennemi réussit à grimper sur les remparts et des combats s'engagent d'homme à homme, fer contre fer, jusqu'à la mort.
Une unité ennemie a pris possession d'une tour et tente de retourner le canon contre la cité.
Les forces se déchaînent...
Après un court répit dans les combats, les troupes ont été rappelées devant la porte Ouest
car l'ennemi s'est reformé au bout du pont. L'attente des hommes est palpable, les nerfs sont mis à rude épreuve.
Enfin le Sénéchal lui même lance l'assaut, courant au devant de ses hommes, sur le pont vers le marais, pour montrer l'exemple.
Au bout du pont, sur la route du marais, le choc est violent, l'ennemi ne laissera rien passer.
Une fois encore, les soldats de l'Alliance doivent faire preuve de beaucoup de courage
pour affronter une Horde encore déchaînée malgré les pertes qui doivent être importantes.
Le repli est ordonné, les derniers soldats encore vaillants s'en retournent, en marche arrière, vers l'intérieur de la cité.
Partout, des blessés, des soldats brûlés, piqués, coupés, hachés, empoisonnés,
l'odeur des chairs meurtries et le bruit des râles de douleur emplissent l'air de la cité encore sous le choc.
L'heure est au bilan, les Sénéchaux, après un tour de la cité, décident de rentrer au donjon.
Demain, il fera de nouveau certainement jour sur la cité de Theramore...
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
De notre envoyée spéciale en Kalimdor, un reportage-gnomos sur la guerre en Theramore : VICTOIRE !!!!
En direct de Theramore, notre envoyée spéciale vient de nous annoncer que les troupes de l'Alliance ont mené à bien cette grande bataille et nous pouvons d'ores et déjà annoncer une belle victoire de l'Alliance !!!
Alors que, pendant toute la journée, de nombreuses escarmouches ont donné lieu à des tirs de catapultes et de canons sur le marais et au coeur de la cité, les civils ont dû se replier une nouvelle fois dans les sous sols du donjon en fin d'après midi afin de ne pas entraver le travail des troupes.
En début de soirée, le Sénéchal et les chefs de toutes les unités présentes, préparent un plan audacieux pour tenter une percée dans le blocus qui empêche toute communication avec l'extérieur. Le Faol, bateau du Serment de Theramore, servira de navire de tête tandis que les troupes de Jaina Portvaillant protégeront la porte Ouest au cas où l'ennemi, voyant l'Alliance prendre la mer, décide d'attaquer par le marais.
Les troupes embarquent donc rapidement dans le navire de guerre du Serment, et tous se préparent à ce que beaucoup ne connaissent pas : un combat maritime. Les hommes ôtent leurs pièces les plus lourdes, au risque de s'en trouver moins protégés, craignant de tomber à l'eau pendant les combats et de couler sous le poids de leurs armures.
Enfin, le Faol atteint le Ronae et les deux navires se mettent bord à bord, tandis que l'ensemble des deux flottes se mêlent dans une volée d'explosions, de coups de canon et de corps à corps sanglants. "Sus à l'ennemi, à l'abordage !" est le mot d'ordre donné par les chefs à leurs hommes.
Mais le chef de la Horde semble vouloir agir de nouveau dans la cité et des wyverne sillonnent le ciel. Tout à coup le Ronae semble prendre la fuite et le Sénéchal ordonne de le courser jusqu'au port, craignant, à juste titre, que l'ennemi ne songe à saboter la flotte encore à quai.
Après un amarrage des plus dangereux, le Capitaine du Faol n'ayant pas réussi à approcher à vitesse normale, sur les quais de Theramore c'est un massacre. Les hommes de La Horde les attendent de pied ferme et nul ne peut débarquer sans se battre. Même les blessés doivent défendre chèrement leur peau, se jetant à bras raccourcis sur les peaux vertes qui hurlent leur rage sur les quais. Après de lourds et difficiles combats qui coûteront la vie à nombre de nos soldats, l'ennemi est mis en déroute et c'est avec satisfaction que nos troupes voient leurs ennemis embarquer sur leur navire qui prend la fuite.
L'ennemi se croyait sauf, mais c'était sans compter sur l'audace et la maîtrise des troupes du Serment qui, contre toute attente, poursuivent par voie aérienne le Ronae en fuite, et les inondent, tout comme l'ensemble de la flotte ennemie, d'innombrables tonneaux d'huile inflammable qui, en un éclair fait exploser la totalité de la flotte ennemie qui se croyait à l'abri.
En quelles minutes un immense brasier éclaire l'horizon, la flotte ennemie est en cendres, seul le Ronae semble avoir réussi à fuir. Victoire est annoncée, le siège de Theramore est levé, les troupes de l'Alliance hurlent leur joie sur les quais de la cité. La fin de blocus est annoncée, les civils fêteront les soldats tout au long de la nuit...
Pendant toute la journée de nombreux tirs de catapultes ont été lancés des marais.Les soldats ont dû faire le guet tout en se protégeant.
Au pied des remparts les premiers blessés étaient soignés tandis que les Officiers des diverses unités tentaient de rassurer les civils.
En début de soirée, les chefs de l'état Major de campagne se sont réunis au Donjon pour entendre le plan audacieux du Sénéchal.
Sur les quais de Theramore, l'ensemble des troupes se prépare à embarquer.
La peur de mourir noyé sans avoir pu se battre se lit sur certains visages.
Sur le Faol, les hommes les plus lourdement chargés se défont de certaines pièces d'armure, au risque d'être blessés.
Mais comme le dira un vétéran : "Mieux vaut mourir de la main de l'ennemi que de celle de Neptulon !"
Au loin, la flotte ennemie commence à être visible, la rage des hommes les rend nerveux.
Enfin les navires ennemis sont à portée de tirs.
Le mot d'ordre est lancé : "à l'abordage ! pas de quartiers !" Des corps à corps ont lieu sur tous les navires.
Une fois revenus au port, à la suite du Ronae, la stupeur est totale.
La Horde est déjà sur place et attend nos soldats pour les étriller.
Tous se battent sur les quais, du Faol les soigneurs tentent de faire leur travail sans pour autant s'en trouver mal.
Sur les quais, les corps à corps sont sanglants.
Mais peu à peu nos troupes repoussent ceux de la Horde...
... enfin l'ennemi est acculé et doit remonter à bord du Ronae.
Au loin, un immense brasier éclaire l'horizon. La flotte ennemie brûle.
Le sénéchal, le Commandant Marteau hardi et quelques officiers se congratulent.
La victoire est totale, le siège est levé, les civils vont pour voir sortir des sous sols.
En direct de Theramore, notre envoyée spéciale vient de nous annoncer que les troupes de l'Alliance ont mené à bien cette grande bataille et nous pouvons d'ores et déjà annoncer une belle victoire de l'Alliance !!!
Alors que, pendant toute la journée, de nombreuses escarmouches ont donné lieu à des tirs de catapultes et de canons sur le marais et au coeur de la cité, les civils ont dû se replier une nouvelle fois dans les sous sols du donjon en fin d'après midi afin de ne pas entraver le travail des troupes.
En début de soirée, le Sénéchal et les chefs de toutes les unités présentes, préparent un plan audacieux pour tenter une percée dans le blocus qui empêche toute communication avec l'extérieur. Le Faol, bateau du Serment de Theramore, servira de navire de tête tandis que les troupes de Jaina Portvaillant protégeront la porte Ouest au cas où l'ennemi, voyant l'Alliance prendre la mer, décide d'attaquer par le marais.
Les troupes embarquent donc rapidement dans le navire de guerre du Serment, et tous se préparent à ce que beaucoup ne connaissent pas : un combat maritime. Les hommes ôtent leurs pièces les plus lourdes, au risque de s'en trouver moins protégés, craignant de tomber à l'eau pendant les combats et de couler sous le poids de leurs armures.
Enfin, le Faol atteint le Ronae et les deux navires se mettent bord à bord, tandis que l'ensemble des deux flottes se mêlent dans une volée d'explosions, de coups de canon et de corps à corps sanglants. "Sus à l'ennemi, à l'abordage !" est le mot d'ordre donné par les chefs à leurs hommes.
Mais le chef de la Horde semble vouloir agir de nouveau dans la cité et des wyverne sillonnent le ciel. Tout à coup le Ronae semble prendre la fuite et le Sénéchal ordonne de le courser jusqu'au port, craignant, à juste titre, que l'ennemi ne songe à saboter la flotte encore à quai.
Après un amarrage des plus dangereux, le Capitaine du Faol n'ayant pas réussi à approcher à vitesse normale, sur les quais de Theramore c'est un massacre. Les hommes de La Horde les attendent de pied ferme et nul ne peut débarquer sans se battre. Même les blessés doivent défendre chèrement leur peau, se jetant à bras raccourcis sur les peaux vertes qui hurlent leur rage sur les quais. Après de lourds et difficiles combats qui coûteront la vie à nombre de nos soldats, l'ennemi est mis en déroute et c'est avec satisfaction que nos troupes voient leurs ennemis embarquer sur leur navire qui prend la fuite.
L'ennemi se croyait sauf, mais c'était sans compter sur l'audace et la maîtrise des troupes du Serment qui, contre toute attente, poursuivent par voie aérienne le Ronae en fuite, et les inondent, tout comme l'ensemble de la flotte ennemie, d'innombrables tonneaux d'huile inflammable qui, en un éclair fait exploser la totalité de la flotte ennemie qui se croyait à l'abri.
En quelles minutes un immense brasier éclaire l'horizon, la flotte ennemie est en cendres, seul le Ronae semble avoir réussi à fuir. Victoire est annoncée, le siège de Theramore est levé, les troupes de l'Alliance hurlent leur joie sur les quais de la cité. La fin de blocus est annoncée, les civils fêteront les soldats tout au long de la nuit...
Pendant toute la journée de nombreux tirs de catapultes ont été lancés des marais.Les soldats ont dû faire le guet tout en se protégeant.
Au pied des remparts les premiers blessés étaient soignés tandis que les Officiers des diverses unités tentaient de rassurer les civils.
En début de soirée, les chefs de l'état Major de campagne se sont réunis au Donjon pour entendre le plan audacieux du Sénéchal.
Sur les quais de Theramore, l'ensemble des troupes se prépare à embarquer.
La peur de mourir noyé sans avoir pu se battre se lit sur certains visages.
Sur le Faol, les hommes les plus lourdement chargés se défont de certaines pièces d'armure, au risque d'être blessés.
Mais comme le dira un vétéran : "Mieux vaut mourir de la main de l'ennemi que de celle de Neptulon !"
Au loin, la flotte ennemie commence à être visible, la rage des hommes les rend nerveux.
Enfin les navires ennemis sont à portée de tirs.
Le mot d'ordre est lancé : "à l'abordage ! pas de quartiers !" Des corps à corps ont lieu sur tous les navires.
Une fois revenus au port, à la suite du Ronae, la stupeur est totale.
La Horde est déjà sur place et attend nos soldats pour les étriller.
Tous se battent sur les quais, du Faol les soigneurs tentent de faire leur travail sans pour autant s'en trouver mal.
Sur les quais, les corps à corps sont sanglants.
Mais peu à peu nos troupes repoussent ceux de la Horde...
... enfin l'ennemi est acculé et doit remonter à bord du Ronae.
Au loin, un immense brasier éclaire l'horizon. La flotte ennemie brûle.
Le sénéchal, le Commandant Marteau hardi et quelques officiers se congratulent.
La victoire est totale, le siège est levé, les civils vont pour voir sortir des sous sols.
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
Dans les rues ce matin, un crieur proposait aux badauds de lire cet extrait..
"En attendant l'édition du mois, petite édition spéciale !!! A la une, un article sur l'Enfumeur !!! La Gazette au plus près de l'information, pour vous servir !!!"
"En attendant l'édition du mois, petite édition spéciale !!! A la une, un article sur l'Enfumeur !!! La Gazette au plus près de l'information, pour vous servir !!!"
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
Le numéro 2 de la Gazette enfin dans les kiosques !
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Re: La Gazette de Hurlevent
Un nouvel article dans nos colonnes, des attentats suicide commandités par une certaine "Voix du Peuple".
Heythe Nografe- Citoyen
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Re: La Gazette de Hurlevent
Dans nos colonnes, une fois n'est pas coutume, nous donnons la parole à un homme, dit Le Jugement, emprisonné dans les géôles de la Garde à un autre homme, dit l'Enfumeur, recherché par la même Garde. Il s'agit ici plus d'un témoignage que d'un article, et nous tenons à préciser que ce qui est dit n'engage que son auteur.
Heythe Nografe- Citoyen
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