La mise à mort d'un équipage

Il y à deux mois, à quelques jours prêt, la dépouille de ce pauvre Arnbjorn Hodovik fût retrouver au milieu de cadavres de bouteille éparpiller dans une sombre et sordide ruelle de Hurlevent. La cause de son trépas aura été identifier par les gardes arriver sur place ce jour là comme étant un meurtre par strangulation ou / et écrasement de la trachée, déguisé en une biture de trop ayant été fatale pour le pauvre homme qui ne se réveillerait jamais après avoir trinquer une ultime fois a la gloire de Neptulon alors qu'il était sur la terre ferme, ayant servis durant presque une année à bord du tristement connu Cheffauche-Brûme;

Ce navire qui aujourd'hui faisait presque parti du décor du port, ayant stagner plusieurs mois durant. Le vaisseaux du "défunt" capitaine n'était plus que l'ombre de ce qu'il avait été ou avait pu être. Habité par une poignée de marins ne sachant que faire du reste de leur vie et de leur journées ou encore squatter par divers vermines, rongeurs occupant le pont et  bigorneaux recouvrant la coque, La petite frégate aux allures de navire fantôme voyait son heure toucher à sa fin alors que la vingtaine de matelots lésinaient sur cette grosse barque, vestige d'une gloire décadente arriver à son therme,  jouant aux cartes aux dès ou encore trop occuper à liquider les quelques dernières bouteille de la précieuse cargaison du capitaine.  

La lune était à son apogée cette nuit là, perchée haute et pleine dans un ciel noir et couvert, ne dévoilant qu'un gros nuage passant dessus dessous pour ne lui laisser qu'un mince champ d'action afin de baigner le port calme et silencieux de ses rayons. Le Chevauche-Brûme, éclairé par quelques loupiotes de bougies fondue dans les lanternes qu'il comportait, ne vit pas ces deux silhouettes s'introduire a son bord et repartir comme elles étaient venu, ne laissant derrière elles qu'un immense feu de joie et une odeur de chair calciné accompagner par le chant macabre des matelots hurlant à la mort inévitable qui les attendaient suivi d'une spectaculaire explosion des réserves de poudre pour clore cette triste symphonie et ne laisser que le doux et apaisant crépitement des flammes sur les restes du navire sombrant paisiblement dans les profondeurs abyssal de l'océ- Du port, oui, du port. Ne laissant qu'un bon 5 mètres du mât principale sortir des eaux verdâtre et peu ragoutante de la ou se trouvant le navire du capitaine Howkins...

A des lieux d'ici, un nain a la barbe noir et un homme aux allures d'individu ne voulant pas être reconnu s'adonne à une interessante (ou pas) discussion dans un recoins d'une taverne peu fréquentable :

Barbe-de-Charbon : Pauvre Billy... Il te ressemblait tellement, je pouvais pas savoir que cet idiot avait l'intention de sortir son pétard et de tirer sur toi. Enfin lui, toi mais lui en pensant que... Enfin, tu me comprend...

L'inconnu parla d'une voix faible, légèrement enrouée pour répondre au nain : Quoi qu'il en soit, sa mort  nous aura été utile, enfin... A moi... C'est regrettable et il ne sera pas oublier, de par son sacrifice je vais enfin pouvoir aller boire du Rhum coco sans qu'on s'occupe de venir me déranger, je compte sur toi pour tenir ta langue.

Barbe-de-charbon : Euh, oui, biensur, j'ai d’ailleurs fais ce qu'il fallait pour que les gens susceptible de savoir des choses n'aient pas l'occasion de parler. Il reste juste ces idiots de frères Hashab, Boris et Fergus en plus du vieux boxeur, Ab'.

L'homme masqué ne s'attarda pas à froncé les sourcils en direction du nain qui reprit quasi instantanément :

- Oui, ils sont parti faire de la pêche extrême en Strangleronce le jour J, je pouvais pas deviné mais ne t'en fais pas j'ai mis Le Fauve sur leur piste, ça devrait plus être long, je sais qu'il avait pour intention de voir tes amis un peu louche pour régler le problème... Le boxeur risque de poser problème mais comme nous, ce n'est qu'un homme donc bon.... Un homme avec des biceps sur lesquelles je me suis casser la mâchoire mais un homme quand même

-Ne gaspille pas le peu d'or que nous avons dans des contrats dont tu pourrais très bien t'occuper toi même, Bradim... Recupérer nos coffres risques d'être long et le financement de nos objectifs couteux. Fais preuve de bon sens une fois dans ta vie, sacre bleu. Que le grand crique me croque, il est bientôt l'heure, je dois prendre ce navire... Nous nous revérrons bien assez tôt, je compte sur toi...

L'individu rabaissa le châle couvrant son visage pour offrir un sourire étincelant d'une canine argenté au nain, qui lui donna une tape amicale sur le flanc de cuisse avant de sortir et rejoindre la ville portuaire de Menethil et de disparaitre vers d'autres horizons plus ou moins lointain.

Pour l'instant...


( Une bonne continuation à vous et à une prochaine j'espère )