Une caisse bien étrange...

(ça n'a pas pu se faire vendredi soir, j'ai attendu un bon moment. Donc, faites moi par de vos disponibilités pour faire la suite "in game")

(Je serai dispo samedi prochain. Pas avant.)

Dimanche, le quinzième de Mars. Vers 00h00.

Je faisais une patrouille avec deux gardes en faction. Nous sommes allés vers la place de la cathédrale. Une fois là-bas, vers l'entrée de la cathédrale, j'ai commencé à entendre un bruit étrange ... un bruit comme font les insectes. Je suis entrée dans la cathédrale. Tout y était très calme. Cependant, ce bruit résonnait encore dans ma tête. Je m'avançais et le bruit cessait. Je m'avançais encore et il recommençait avec une intensité différente. Il semblait en faite venir de derrière les murs. Je suis donc ressortie et j'ai suivi ce bruit. Cela m'a amenée près du mur ouest de la cathédrale. Il venait d'un tonneau. J'ai touché ce tonneau et il s'est complètement effondré, laissant couler une eau totalement moisie et un corps s'étaler à terre. Il s'agissait d'une sorte de cadavre avec une tête de cochon. De plus près, cela ressemblait à une marionnette. Les membres étaient liés par du fil de boucher. J'ai remarqué qu'une des coutures était sur le point de céder. J'ai tirer dessus et une multitude de grillons ont jailli et se sont dispersés vers la place. C'était à eux que je devais ce bruit d'insecte. J'y ai ensuite trouvé un petit sac. Une odeur insoutenable s'y dégageait. Je l'ai ouvert, non sans dégout. Il contenait une sorte de commutateur, similaire aux notre, et quelques parchemins. Suite à ça, j'ai refermé le sac et je l'ai rangée avec moi. Ensuite, j'ai ordonné aux gardes de récupéré ce corps et de le mettre à la morgue.

Signature : Naÿie Arbreizhed.

[HRP : Zachary va poster le contenu des parchemins.]

Naÿie était sur la bonne voie. En longeant le mur ouest de l'enceinte de la cathédrale, les bruits stridents devenaient de plus en plus fort.

*KKKKKSSSSS.....KKKKZZZZZZ*

Elle ne tarda pas à comprendre que ces bruits provenaient d'un tonneau disposé contre le mur à côté d'une grosse caisse en bois.
Naÿie s'approcha prudemment du tonneau, les armes à la main et dès lors les bruits cessèrent.

Sur la pointe des pieds, Naÿie donna des coups d'épée avec le tranchant de sa lame sur les cercles en fer du tonneau.
Quelques fracassements plus tard, les morceaux de bois vermoulu cédèrent sous les coups et un liquide jaunâtre et nauséabond éclaboussa Naÿie, avant de se répandre à ses pieds.
Un cadavre s'écroula sur la place. Il s'agissait d'une marionnette toute en chair dont le visage avait été fasçonné à partir d'une tête de porc. La plupart des membres de cette marionnettes tenaient entre eux grâce à des coutures faites avec du fil de boucher.

Naÿie ne pu se retenir de mettre ses deux mains à la bouche face à l'horreur.
Remise de ses émotions, elle décida de reprendre ses investigations d'autant que les bruits résonnaient à nouveau.

*kkkkssssss......kkkkzzzzz.....kkksss*

Naÿie se mit à genous et s'approcha de la marionnette.
Elle constata que les bruits provenaient de l'entre-jambe du cadavre.

Elle constata qu'une couture était sur le point de céder.
Naÿie tira sur le fil de boucher formant alors une brêche dans la couture et les membres se séparèrent.
Soudain, des dizaines de grillons surgirent de la brêche opportune et se dispersèrent dans la grande place.
Par réflexes, Naÿie ne put s'empêcher d'en écrabouiller un ou deux.

*scroutchhhh....scroutchhh*

Elle décida de jeter un coup d'oeil d'où provenait les grillons et constata que l'intérieur de la marionnette était remplis de viande hachée, avariée et nauséabonde.
Puis un petit morceau de lin lui retint son attention.
Reprenant des forces, Naÿie plongea ses deux mains à l'intérieur du cadavre articulé et en ressortit un sac en toile de lin.
A l'intérieur du sac, il y avait un commutateur ressemblant étrangement à ceux dont la Garde de Hurlevent utilise, ainsi que quelques parchemins.

Naÿie demanda à la patrouille de ramasser le cadavre et de l'emporter à la morgue puis elle s'empara du sac en toile de lin et retourna à la Caserne pour y faire son rapport.

De retour à la caserne, Naÿie ne put s'empêcher de tourner machinalement la molette du commutateur et voici ce qu'elle put entendre:
https://www.youtube.com/watch?v=BKaKcoaYqfo
Quand aux parchemins, voilà leur contenu:

Quel charmant garcon.....

plusieurs choses intéressantes sont a noter :

Eriane (le cavalier ) est pour lui toujours Commandante ...

-soit c'est un dénni de l'actuel Commandant
- soit comme je le pense une habitude d'une personne qui l'a cotoyée elle et /ou la Garde par le passé

cette personne se tiens cependant assez bien informée , meme si ce mariage n'est guère un secret

la tete de cochon , symbolique dans la continuité de la réthorique de l'homme pseudo Lorranniste , défenseur du peuple ,récurente certes mais a mon sens peut etre destinée a nous égarer sur ses motivations

ce qui est certain est que les tergiversations passée ne sont plus de mises

faute de moyens et d'indices permettant une action plus directe il devra etre donné réponse rapide dans le cadre de la "partie "

Ériane rentrait ces jours-ci avec tout son barda de ses stages en diplomatie qui l'avaient mené aux quatres confins de ce monde..

Elle relu le dossier et s'étonna d'être ainsi citée..
Effectivement, cette allusion au grade de commandant était étrange, sinon anachronique.. toutefois, ce type connaissait l'existence de sa bague.
Elle fit une moue mauvaise.
Ce n'était jamais bon pour la santé quand un fou dangereux en venait aux familiarités.

Elle sortit alors un plateau de jeu de son armoire et le disposa sur son bureau.
Le dossier à la main, elle entreprit de replacer la partie en l'état.

"Puisqu'il fallait jouer, jouons!" déclama-t'elle.

Le valse du vice

Je prétends que la vie est qu’un jeu
Mais je lance moi-même les dés
Je distribue masques et costumes
Sans vous dire quel rôle vous jouez
Puis vous laisse improviser
Dans cette infâme cabaret,

Dans cette capitale plus très jolie
Le bruit des bottes de la Garde rythme une vie
Où un seul choix vous est donné
Soumission ou rédemption
Sexe, argent, meurtre
Tout les défauts humains
Y sont offerts aux presque riens
Et chaque navire dans le port est à l’heure
Mais ne va nulle part étendu ou agenouillé
Face à leurs responsabilités
Certains gardes vont s’immobiliser
Plutôt que d’oser s’échapper
Leurs veuves qui refuseront de pleurer
De pan de jartelle seront habillés
Elles danseront la jambe haut levé
Dans cette infâme cabaret,

Mais un garde de Hurlevent emprunte une réelle éthique
Et cherche avec élan une empreinte, un indique
Il peut ainsi pour un instant
Oublier ses chaînes ou faire semblant
Toujours tapis dans l’ombre, jamais très loin
J’inspecte lentement ses mains
Qui n’ont pas encore connu la passion
Et serrer à la gorge de la population
Dans tout ses rêves imagine la voix éteinte d’une machine étatique
D’un monstre de papier, mais elle est pas ce qu’il croit
Et sa réponse ne viendra pas
Et bientôt le décor s’affaisse
Les acteurs sont dévorés par la pièce
Il y a un tueur à la matinée
Et des cadavres dans les travées
Bientôt personne n’est plus certain
Que le spectacle est vraiment prit fin
Tous attendent un signe sans tromper
Plus qu’un sourire sur le masque figé
Hymne que personne ne veut chanter
Le cœur interdit la divine comédie
Les yeux exorbités des pantins
Tous étranglés par leurs filins
On y trouve de tout: des émotions, des frissons, des contes à foisons
Vous ne pourrez qu’être séduit
Réservez tous dès à présent
Un strapontin d’opéra
Dans ce carnaval d’enculés
Dans cette infâme cabaret.




Voilà les dires du Gnomophone retrouvé par le Sergent Arbreizhed.
Un poème, c'est un poème.

I. Esquisse du caractère du "joueur d'échec".

Il n'y a plus à en douter, notre homme est un "artiste", un "comédien", un "pantiniste".
Dans son poème, comme dans les autres indices de l'enquête, il insiste sur le fait qu'il est un artiste, les phrases qui marquent la fin d'un paragraphe le démontre bien: "dans cette infâme cabaret".

Avec cela il parle de la Garde comme des opresseurs, et se considère comme "divin", "supérieur", il est sûr d'avoir la vie des gens en mains. Nous pouvons traduire ce comportement, certainement par une enfance difficile, ou un manque de pouvoirs. Il se prend aussi pour un artiste, le meilleur dans son art, à ne pas doûter c'est un artiste râté, sûrment à cause d'un problème avec la Garde, imaginez le entrain de faire la pièce la plus importante de sa carrière, et que la Garde arrive pour arrêter quelqu'un, gachant à jamais ses chances de réussir. Il nous parle de sexe, d'argent, de meurtre, il est passé par là, il a fait toute ses étapes, c'est casiment certain. Il croit être tout le monde, si la Garde ne l'a pas respecté alors elle n'a pas respecté la population entière d'Hurlevent. La chance est un facteur qu'il aime, mais il n'y croit pas totalement, il préfère être surs en mêlant chance avec réfléxion et logique. Les femmes ne l'aiment sûrment pas, il parle de fille de joie dans son texte, fille de joie qu'il doit cotoyer pour satisfaire ses besoins sexuelles.

C'est un sujet très complexe, à comportement mentale dangereux, mais ça ne reste que des HYPOTHESES.

II.Remarques

Vous pouvez remarquer que dans son poème, il parle d'un Garde qui n'est pas comme les autres. Qui est différent, le seul qu'il apprécie, mais il a fait une erreur, à la fin il parle du Garde en employant la 3ème personne du singulier au FEMININ. J'ai tendance à croire qu'il parle du Major Eriane Finduilas (citée dans sa lettre écrite) mais d'un autre côté, il parle d'elle comme d'une novice, qui n'a jamais tué. Ce qui est certain c'est que le mariage doit être surveillé, nous ne pouvons laisser le moindre problème gêner la cérémonie, pas à cause d'un fou.

III.Ordres d'actions

Il faut à mon sens: - Prendre contacte avec TOUT les CABARETS EN MAUVAISES ETATS de la Ville et demander les noms et prénoms des artistes qui y travaillent,
- Jouer le coup d'échec très rapidement,
- Protéger le Major Finduilas.

AVIS AU MAJOR FINDUILAS:

Mon Major, vous savez mon amitié et le respect que je vous donne, vous savez que je ne VEUX pas vous voir impliquer dans des situations comme celle-ci, et votre nom dans cette lettre n'est qu'un mauvais présage. Je vous recommande de mettre à votre suite, une escouade de 2 à 3 Gardes. Votre vie est peut-être indirectement menacée.


Sergent Yerrick Gormak Piochenfer.

Alors qu'il régnait un silence de deuil à l'intérieur de la caserne, les Gardes de Hurlevent en faction entendirent un fracas provenant d'une fenêtre comme si quelqu'un venait d'y jeter une poignée de graviers.
L'un des Gardes se pencha à la fenêtre et aperçut une boulette de papier et des gravillons.
Une fois dépliée, la boulette contenait le message suivant:






Cette dernière nouvelle ne faisait qu'augmenter la puissance du spectre maccabre qui planait au dessus de la Caserne de la Garde de Hurlevent.

Dimanche, le vingt-deuxième de Mars, Vers 21h30.

Hypothèse d'enquête :

Peut-on penser que notre homme soit le responsable de la mort du Commandant ? A croire que la mort de Tarnhelm faisait partie de son jeu macabre.

Tout d'abord, il semble qu'il avait prévu la mort du Commandant :

"Pourquoi ai-je omis de parler du Commandant Tarnhelm dans mon précédent courrier ? A votre avis, avec sa mort, qui redevient Commandant ?"

Ensuite, il semblait connaître l'homme :

" Je m'appelle le Commandant Tarnhelm... J'aime la solitude et la nuit, la pluie et la mélancolie..."

Puis, il mentionne sa mort :

"Mais la mort me fait peur... Pourquoi est-elle venue me chercher ?"

Enfin, il parle de la mort et de ses différentes facettes pour terminer là-dessus :

"La mort, c'est simple comme UN COUP DE FIL !"

Un coup de fil ... comme celui d'un marionnettiste qui fait basculer sa marionnette pour la rendre inerte comme un mort ? Alors, Tarnhelm pourrait-il être cette marionnette ?

Proposition :

Il faut à tout prix jouer notre coup. Les cadavres commencent à s'entasser ... la bergère, l'homme que j'ai retrouvé, Tarnhelm ...

Je fais donc un résumé de toutes les propositions de coups à jouer :

-Première proposition que j'avais fait : le cavalier -> B8-C6 .

C'est un coup que je faisais pas mal dans le début d'une partie. (Peut-être que vous aussi.) Il permet de protéger le pion en E5 et de menacer la case D4, case où notre adversaire pourrait surement avancé son second pion. On commencerait déjà ainsi à contrôler le centre.
Je sais que jouer le cavalier implique le Commandant Finduiläs, seulement, se priver de jouer les cavalier pourrait s'avérer handicapant pour notre jeu.

-Deuxième proposition du Major Marteau-Hardi : le pion -> E7-E6

Ça éviterai de monopoliser un cavalier, pièce d'attaque utile et mobile, et d'ouvrir la diagonale du fou.

-Le Sergent Priochenfer avait aussi une proposition de coup à jouer.

Quoi qu'il en soit, il va falloir trancher et vite.

*Signature : Sergent Naÿie Arbreizhed.*

"qui REdevient Commandant" il ne peut s'agir que de Findulas


" Je m'appelle le Commandant Tarnhelm... J'aime la solitude et la nuit, la pluie et la mélancolie..."

le caractere de Tarn est facile a cerner pour quelqu'un doté d'un tant soit peu d'empathie


La mort, c'est simple comme UN COUP DE FIL !"

vous avez raison Serrgent cela coroborre la thèse de l'artiste de cabaret et la reférence au fil de la marionette est claire ... du reste il ne semble avoir a son service ni sectes ni séides , comme Sbire et faire tout tout seul ou en grande partie ... ce que les gobelines apellent un wanmancho

mais il n'avait en rien prévu sa mort , il ne fait que "rebondir " dessus

nous allons jouer imédiatement

sauf ordre ou suggestion contraire Lian inscrira demain "cavalier B8-C6 "

Fasse le ciel que ce cavalier, le premier à sortir, soit celui qui enlève la tête du roi adverse, en mémoire d'Hellenlicht.

ce cavalier c'est vous Commandante , et j'espere de tout coeur que votre voeu se réalisera mais du moins pas tout de suite si notre marionnetiste de cabaret respecte les regles

vous n'etes pas directement menacée par ce coup mais ne menacez personne a court terme... vous etes présente dans la partie.... voyons comment il va vous le faire savoir

demain Lian écrira sur notre facade "cavalier B8-C6 "

*Un peu partout sur les murs des enceintes de la Capitale, les citoyens découvrent à la tombée de la nuit les affiches suivantes:*



*De même que les parchemins suivant:*

le nouveau coup du marionetiste est indiqué sur l'affiche G1-F3

la chanson ne fait meme pas référence a mots couverts a la Commandante , mais directement avec les quelques railleries habituelle

le titre ; Hurlevent est une catin ...

"la troisième d'or et d'argent pour montrer qu'elle etait noble "... et va devenir duchesse par ce mariage


nous devons etre extremement vigilants pendant la cérémonie et surtout le bal qui s'en suivra

'je suis venu vous demander un petit tour de danse"

"au premier tour qu'elle fait la belle tombe morte "

reste plusieurs points a éclarcir :

cette histoire de navires... le garcon qui se suicide (une attaque sur le duc? )...

"je ne suis pas la mariée je suis la délaissée "

de qui s'agit t il ? ou est ce une raillerie faisant réference en caractere un peu volage du Duc

j'attends vos idées

le prochain mouvement que je suggère Pion F7-F6

Dimanche, le cinquième d'Avril de l'an 29.

Analyse de l'affiche :

L'affiche et le parchemin sont la promotion d'un spectacle intitulé : "Hurlevent est une catin." Le décompte en haut à gauche : "J-2" confirme cela. Surement un spectacle du marionnettiste. Les railleries qu'on peut lire dans la chanson colle bien avec le titre de l'affiche. Dire qu'Hurlevent est une catin revient à dire qu'Hurlevent n'a pas de moral. La haute-société d'Hurlevent serait donc sans moral.

"Je ne suis pas la mariée je suis la délaissée." Cette phrase peut avoir plusieurs significations : Soit qu'elle parle effectivement du Duc mentionnant "son manque de moral", soit qu'elle parle de la basse société d'Hurlevent en parlant de "la délaisser." On délaisserait les citoyens par rapport aux nobles.

Coup à jouer :

Pour ma part j'aurai jouer le second cavalier G8 à F6. Mais engager l'autre cavalier serait engager en partie la vie de la Commandante. Et cela n'est pas concevable. Donc, l'autre possibilité est la votre Major : Déplacer le pion de F7 à F6.

*Signature : Sergent Naÿie Arbreizhed.*

*Une pile de parchemins usés, ficelés et cachetés est déposée devant la porte de la Caserne de la Garde de Hurlevent. En brisant le sceau de cire rouge, on y trouve les parchemins suivant*

Analyse des parchemins :

Notre adversaire nous a encore une fois finement présenté sa ligne de conduite : la révolte populaire. Il s'en réclame être le porte parole et le justicier.

Ensuite, il nous présente l'identité de ses pièces : un myriapode et un theridiidae. Je suis allée à la Bibliothèque avec Gnomi et nous avons recherché de quoi il s'agissait. Ce sont des insectes peu sympathiques : le myriapode est une sorte de mille-patte et le theridiidae est apparemment une sorte d'araignée. Je commence à me demander si notre marionnettiste ne serait pas autre chose qu'un humain. Le marionnettiste pourrait être comme une araignée ?

Ensuite, il nous parle de la disparition de Saell. Le lieutenant est effectivement revenu et a retrouvé une partie de sa mémoire grâce à un hospitalier. Dès qu'il pourra, il faudrait que le Lieutenant nous fasse un compte-rendu de ce qu'il se rappelle.

*Signature : Lieutenant Naÿie Arbreizhed.*

il fait a plusieurs reprises emploi de termes médicaux , parle de canal comme autant d'arteres de cette ville qu'il compare a un corps , gangréné

pour M et T , un homme et une femme assimilé a ces insectes je ne vois pas de noble en vue si ce n'est Tarpalantir l'epoux de la Commandante , ce qui ne m'etonnerait guere , notre homme semble la poursuivre d'un mélange de hargne et de jalousie peut etre amoureuse

reste a voir le prochain coup

*En pleine nuit, une ombre se dessine peu à peu se mélangeant à celle de la cathédrale de Hurlevent.
Suspendue en équilibre sur une des gargouilles qui ornent la facade, la silhouette masquée range sa longue-vue et avale une potion. Tout corps qui absorbera cette potion subira une poussée verticale de bas en haut égale à son propre poids! En d'autres termes, la silhouette se jette dans le vide et le reste est simple comme un quadrille. Deux pas en arrière...trois en avant, et voici que l'ombre encapuchonée progresse en direction du Vieux quartier en se "promenant" sur les toits des bâtisses, aussi facilement qu'un chat de gouttière. Arrivée à hauteur de la Caserne de la Garde de Hurlevent, l'ombre sort de sa cape un réveil, puis tourne une clé afin de remonter le mécanisme. La silhouette sombre se glisse à hauteur de la Cour puis dépose le réveil, ansi qu'une boîte métallique et un colis de parchemins, puis disparaît en escaladant l'enceinte de la Caserne.*

TICCCCC......TACCCCCC......TICCCCC.......DRIIIIIIIIIIIING.......DRIIIIIIIIIIIING....

*Impossible pour la patrouille en faction de ne pas être attirée par le bruit du réveil. En rapportant à l'intérieur de la Caserne, le colis de parchemins, on peut y lire:*






*Au petit matin, les citoyens découvrent à nouveau des affiches collées sur les murs des enceintes de la Capitale.*

Nous avons le prochain coup ...D2-D4

il se met certes en danger mais peu et pas directement et il ne risque pas a court terme grand chose que la perte d'un pion dont on a bien vu qu'il se souciait fort peu , mais cela peut etre stratégiquement intéressant..

en prenant ce pion avec le cavalier , celui ci est théoriquement "protégé"..voila sur le plan du jeu

mais seulement c'est en se limitant a la pure partie d'echecs....et il a eté établi que ca n'etait pas que une partie d'échecs

la cavalier est Eriane elle meme et si il lui arrive quelque chose , cela lui fera une belle jambe d'etre protegée meme si l'adversaire risque sa reine

j'insiste sur le point suivant:

nous ne savons pas ce qui arrive aux pieces détruites et ne pouvons pas prendre le risque qu'il lui arrive quelque chose car ce n'est pas qu'une partie d'echecs abstraite ..les répercussions sont bien réelles et par la meme les regles faussées car au contraire de notre homme la Garde ne peut pas se permettre ni sacrifices ni risques surtout pour cette piece



il faut d'urgence que Saell s'explique , car il y'a un indice direct sur l'identité de M

de plus il est fait allusion a certains changements en lui

"Saell s'est tourné tres lentement comme un acteur se faufile à travers le rideau rouge vers le monde merveilleux du théatre"

"il y'a a présent une fissure en toute chose et c'est par la que la nuit se faufile"

on y sent comme un changement , peut etre meme un chamgement d'allégeance ... sans aller jusque la Saell a vu ou compris quelque chose dont il n'a pas fait part


Trace le carré de 3x 3 et commence a reflechir et esquisse un sourire apres plusieurs minutes

voici votre réponse


2 7 6
9 5 1
4 3 8

je sais bien que nous sommes des Gardes et donc censés etre des laquais stupides mais tout de meme

poser la colle du carré magique a une ingénieur

fait une petite moue décue placant les engrenages

*Naÿie, entre deux dossiers de l'Instruction, trouva le dossier de l'enquête sur le Marionnetiste. Elle l'ouvrit et pris le parchemin. Elle le lut et relut puis vit la note du Major. Elle décida de réécrire le rapport Saell afin de le joindre à ce dossier. Elle prit ensuite un parchemin, une plume qu'elle enduit d'encre et commença à rédiger.*

Rapport sur Saell :

Saell a écrit:"crouik crrrrrrr" ... ssshe vais esshayer de mettre en orrrdrrre mes sshouvenirs passhés aprrrès ma disshparisshion.
...
Ssshe me sshouviens avoir efffectuer une sshurrrveillansshe trrrès disshcrète lorrrs du marrriage d'Eryane. En cours de sshérémonie, ssh'ai vu une ombrrre courrir le long de la cathédrrrale. Ssh'ai dessshidé de la sshuivre jusshqu'en Elwyn où a priorrri sshe me sshuis fffait assshommer puis enlever.
...
Voix basse : sshe qui laisshe a sshupposer que l'agressheur était assez fffort pour me trrrainer ssshusqu'à sshon rrrepère ou bien qu'il posshèdait des pouvoirs magiques de transshport comme un porrrtail parrrr exemple.
...
Ensshuite, sshe me sshouviens me rrréveiller dans une étable envahi parrr des ffffils d'arrraignée aux rrrrefflets métalliques. Un bourdonnement sshe fffaisshait alorrrs ensshtendrre. Ssshe me sshuis appersshu que sshela prrrovenant de mon mussheau. Ssh'ai rrrecrrrasshé alors sshe qui était dans ma bousshe. Avec ssshtupéfaction ssh'ai consshtaté qu'il sssh'agissait d'un grrrrillon.
Au moment au ssh'ai voulu écrrrasshé la bessshtiole, le grrrillon ssh'est mis à parrrler. Ssshela me sshtoppa net dans mon élan d'écrrrassshement.
...
Ssh'est alors que sshe me sshuis appersshu que ssh'avais les pattes rasées au desshus de sshaque sshevilles sshur une bande d'un sshentimètre fffaisant le tour complet de la patte. Ssshur sshette parrrtie nue sshe desshine des pointillés tatoués sshur la peau tel l'aurrrait ffait un boucher, ou bien un sshirurgien.
...
Lorsssque sshe sshuis sshorti de l'étable ssh'ai crrru rrreconnaitre la ferrrme d'Elwyn "les ssshamps pierreux". A la différrrensshe près que le champ et les alensshtours étaient rrrecouverts de la même sshtoile d'arrraignée aux rrrreflets métalliques de la grrrange.
...
voix basse : sshes fils ont fffait penssher à des persshonnes autour de moi à des fils de "marrionnetissshte"
...
Sshe me sshouviens ensshuite le déssshir de m'éssshapper de sshet endrrroit. Le grrrillon m'expliqua alorrrs que le ssheul moyen de m'ésshapper était de le tuer.
Sshe me sshouviens l'avoir fait dans un énorme contre-coeur.
...
voix basse : Ssshe pensshe que sshela prrrouve que ssh'étais dans un environnement magique.
...
Depuis mon rrréveil dans la grrange sshusqu'à mainsshtenant, je n'ai céssshé de répéter le nom "Mangecoeur". Sssh'ai consshience de prrrononssher sshe nom dont je ne me sshouviens plus de ssha sshigniffficasshion. A sshaque fffois que ssshe le prrrononsshe sshe sshuis prrris d'un effffroi me glasshant le ssshang.
...
voix basse : sshe penssshe que sshe nom à trrrait au "prrroprriétairre" des lieux où ssh'ai été captiffff.
...
Enffin sshe me sshouviens érrrrer dans la ffforêt d'Elwyn sshans sshavoir qui ssh'étais et où ssh'étais. Fandris parrr la sshuite me rrretrrrouva. Sssh'ai indentifffié les perrrssshonnes de connaissance parrr mon odorrrat. Et ssh'ai rrretrrrouvé la mémoirrre en grrrande parrrtie grâce au doc Elfe de l'Hosshpital.
...
[crrrrr crrouik]

Saell a bien frôlé le monde des ombres dont parle ce "M". Il avait presque sombré dans la folie, en répétant sans cesse "Mange-cœur". Il continue d'ailleurs à le répéter parfois. Notre cher félin n'est pas vraiment lui-même des fois.

Notre cher Marionnetiste nous indique qu'il a fait la rencontre de M.

M = Mange-cœur ? Ça reste à vérifier mais néanmoins, c'est une possibilité

Ensuite, cette trace indélébile, c'est bien la partie rasées des pattes de Saell avec les pointillés.

Coup à jouer :

Au vue de son coup, nous pourrions jouer comme ceci :

-On prend notre Fou en F8 pour le déplacer en B4 : son Roi serait en échec. Mais ils pourrait au prochain tours bouger son pion en C2 vers C3 afin de menacer notre Fou ce qui est le coup le plus probable.
Sinon, mais je ne pense pas qu'il ferait cela, il peut aussi bouger son Roi en E1 vers E2. Là, on pourrait enchaîner avec le cavalier en C6 vers D4, en mangeant son pion. On mettrait ainsi son Roi à nouveau en échec. Néanmoins, il s'agit de notre Commandante dont on mettrait la vie en danger par ce coup risqué dans lequel son cavalier se ferait manger par le cavalier du Marionnettiste.

-Un autre coup, beaucoup plus simple : on déplace le pion en D5 vers D6. Je propose un coup pareil car il se met volontairement en danger et on ne sait pas ce que ça cache dans la réalité. Que se passe-t-il si on met son Roi en échec ? Cet adversaire est peut-être intelligent de par ces énigmes, ça n'en reste pas moins un dément.

Énigme du Marionnettiste :

Je n'ai rien à ajouter là-dessus. Le Major a trouvé la réponse exacte.

*Signature : Lieutenant Naÿie Arbreizhed*

*Une fois les engrenages tournés, Hedwe semblait confiante affichant un sourire rassuré. A cet instant, un cliquetis se fait entendre.........claaaaaaaakkkk.......c'est alors que la plupart des roues dentées entrent en action et déclenchent le mécanisme d'ouverture de la boîte métallique. Hedwe ne pu s'empêcher de pousser un petit cri de satisfaction. A l'intérieur de la boîte, on trouve une pile de parchemins et un croquis de plans.*

[HRP : je sais pas pour les autres, mais le message sur le parchemin, je ne peux pas le lire, écriture trop petite sur fond trop sombre. Mais j'ai de mauvais yeux ^^']