Attentat au coeur de la Garde !
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Attentat au coeur de la Garde !
C'est avec stupeur et héroïsme, que les Gardes de la ville ont dû faire face à une série d'attentats qui semblait ne jamais finir. Avec plusieurs dizaines de blessés graves, d'arrestations et de morts, cet événement marquant a choqué la population entière, déjà bien terrorisée par les actes néfastes du Crime...
Mais revenons au déroulement de ces actes odieux...
Il est 23 heures. La ville plonge petit à petit dans un silence nocturne certain. Un homme se présente à la caserne, chauve, insipide. Il prétend se rendre, pour des faits particulièrement graves dont la liste pourrait ne jamais s'arrêter. Il se déclare prêt à donner des informations sur le dénommé "Vanzetti", cerveau présumé d'une organisation criminelle de grande envergure.
Le sergent Alïane, dubitative envers un pareil guignol, le questionne. Il dépose les armes devant la caserne. Il veut être protégé des représailles en étant dans les geôles. La porte s'ouvre, doucement... les factionnaires le fixe. "Quel bide il a celui-là..."
Il obéit aux ordre du sergent... mains contre le mur. Pour la fouille. Il est immobile, contre le mur... on lui passe les menottes.
- Vous avez quelque chose sur vous dont je devrais avoir connaissance ?
- Oui, c'est à dire que j'ai une ceinture d'explosifs reliée à mon gros orteil, qui s'active quand je tire celui-ci.
Le sergent Alïane lève son sourcil gauche. La Comtesse Isys tourne la tête. Les factionnaires se regardent.
En l'espace d'un instant, la jambe droite du mystérieux se soulève en arrière. La déflagration est sans appel, la ceinture explose dans une onde de choc qui souffle les pierres intérieures de la caserne, dans un nuage de poussière masquant la poutre du porche qui, fissurée, craque comme un glacier mourant.
Projetée avec une violence inouïe contre le mur opposé, le Sergent Alïane se relève difficilement, et tourne sa tête vers Isys qui, soufflée aussi, se dresse sur ses jambes pour porter secours au Sergent. Cependant, la déflagration n'était pas aussi violente que prévue, car elle n'était que la première. Alïane active sa ceinture de protection gnome en entendant le deuxième 'clic'.
L'explosion pulvérise la moitié du porche qui s'effondre dans une avalanche de pierre et de briques, les factionnaires sont déchirés et défigurés dans la déflagration qui, comme un pétard géant, claqua en un bruit sec.
Totalement désorientés, des Gardes se relèvent au milieu de la salle et jugent les dégâts, moins pires que prévus. Présent depuis le début, Clyde descend en urgence de l’infirmerie pour aider les blessés. Mais ce n'était pas fini.
Alors qu'une gnome se présente entre temps, la bien connue Musuy, un des Gardes crie :
- Un autre ! il y en a un autre !
Se ruant au milieu de la caserne, une femme, une furie, court à perdre haleine et saute au dessus des tas de pierres cassées, et se fait exploser à son tour, après avoir crié : " A MORT ! POUR LES DEFIAS ! POUR VANZETTI ! "
Puis c'est l’hécatombe. Les murs tapissés de sang et de viscères, c'est un autre défias suicidaire qui entre en hurlant, une autre explosion... des Gardes sont pulvérisés, les autres sont tirés dans la hâte et la catastrophe en lieux sûrs.
Et encore un autre.... une quatrième explosion, qui finit de démolir une partie de la caserne. Les poutres s'effondrent, dans un épais nuage de fumée, de débris, de barres de fer, de tuiles, de verres, et de poussières magiques des protections De Bayle qui semblent avoir prit un sacré coup.
Alors qu'Isys est encore à terre, elle ordonne qu'on poste des factionnaires devant la caserne pour arrêter les intrus, une dizaine de Défias pénètrent à ce moment dans la Caserne fumante, pour renverser ce qui reste debout, voler des documents et mettre le feu en hurlant ce nom... Vanzetti... Vanzetti...
Les Gardes prennent les armes et s'organisent rapidement pour ne pas se laisser déborder, des défias sont tués, d'autres arrêtés sur le champ. Des factionnaires sont disposés en urgence devant la caserne, bloquant tout accès.
Un autre défias viendra se faire exploser devant la rangée de Garde, après avoir prit plusieurs flèches dans le buste. Les dégâts de l'explosion seront maigres.
On s'active. La peu grisée, le cœur emballé, les armures cassées, dans la poussière et la fumée, parmi les décombres et sur les débris, on s'agite. On éteint le feu, on arrête des derniers défias, et on vérifie les geôles. Rien n'est touché.
Bilan ? l'entrée de la caserne est en ruine, ainsi que la moitié du bureau des plaintes. Un partie de l'étage supérieur s'est effondré. Le sol au centre n'est qu'un trou béant. Des blessés, graves.. des morts. Des disparus.
Les Gardes n'auraient rien pu faire de plus, rien de mieux. Tout le peuple le sait.
Il semblerait que Vanzetti avait ordonné à sa Divison Fantôme de la Horde d'attaquer à ce moment là la caserne. Prendre d'assaut cet édifice et faire face à l'armée au cœur même des murailles du royaume. Du suicide ? C'est perçu de la sorte par l'armée régulière... on ignore le nombre d'Homme de sa Division Fantôme pourtant. Une telle opération aurait montré la faiblesse du Royaume... Pourquoi a-t-il annulé cet assaut ?
On raconte qu'il aime les échecs. Mettre soi-même fin à la partie devant son adversaire malgré son jeu, prouve qu'on est maître de l'échiquier. Sacrifier ses pions, et avoir des coups d'avance...
Oh oui... Monsieur Vanzetti, comme toujours, avait tout prévu.
(-Saluons l'héroïsme de nos Gardes bien-aimés, et de l'assitance de personnels non militaires. Alïane, Isys, Musuy, Clyde, et d'autres qui se reconnaîtront, ayant été témoins.)
Mais revenons au déroulement de ces actes odieux...
Il est 23 heures. La ville plonge petit à petit dans un silence nocturne certain. Un homme se présente à la caserne, chauve, insipide. Il prétend se rendre, pour des faits particulièrement graves dont la liste pourrait ne jamais s'arrêter. Il se déclare prêt à donner des informations sur le dénommé "Vanzetti", cerveau présumé d'une organisation criminelle de grande envergure.
Le sergent Alïane, dubitative envers un pareil guignol, le questionne. Il dépose les armes devant la caserne. Il veut être protégé des représailles en étant dans les geôles. La porte s'ouvre, doucement... les factionnaires le fixe. "Quel bide il a celui-là..."
Il obéit aux ordre du sergent... mains contre le mur. Pour la fouille. Il est immobile, contre le mur... on lui passe les menottes.
- Vous avez quelque chose sur vous dont je devrais avoir connaissance ?
- Oui, c'est à dire que j'ai une ceinture d'explosifs reliée à mon gros orteil, qui s'active quand je tire celui-ci.
Le sergent Alïane lève son sourcil gauche. La Comtesse Isys tourne la tête. Les factionnaires se regardent.
En l'espace d'un instant, la jambe droite du mystérieux se soulève en arrière. La déflagration est sans appel, la ceinture explose dans une onde de choc qui souffle les pierres intérieures de la caserne, dans un nuage de poussière masquant la poutre du porche qui, fissurée, craque comme un glacier mourant.
Projetée avec une violence inouïe contre le mur opposé, le Sergent Alïane se relève difficilement, et tourne sa tête vers Isys qui, soufflée aussi, se dresse sur ses jambes pour porter secours au Sergent. Cependant, la déflagration n'était pas aussi violente que prévue, car elle n'était que la première. Alïane active sa ceinture de protection gnome en entendant le deuxième 'clic'.
L'explosion pulvérise la moitié du porche qui s'effondre dans une avalanche de pierre et de briques, les factionnaires sont déchirés et défigurés dans la déflagration qui, comme un pétard géant, claqua en un bruit sec.
Totalement désorientés, des Gardes se relèvent au milieu de la salle et jugent les dégâts, moins pires que prévus. Présent depuis le début, Clyde descend en urgence de l’infirmerie pour aider les blessés. Mais ce n'était pas fini.
Alors qu'une gnome se présente entre temps, la bien connue Musuy, un des Gardes crie :
- Un autre ! il y en a un autre !
Se ruant au milieu de la caserne, une femme, une furie, court à perdre haleine et saute au dessus des tas de pierres cassées, et se fait exploser à son tour, après avoir crié : " A MORT ! POUR LES DEFIAS ! POUR VANZETTI ! "
Puis c'est l’hécatombe. Les murs tapissés de sang et de viscères, c'est un autre défias suicidaire qui entre en hurlant, une autre explosion... des Gardes sont pulvérisés, les autres sont tirés dans la hâte et la catastrophe en lieux sûrs.
Et encore un autre.... une quatrième explosion, qui finit de démolir une partie de la caserne. Les poutres s'effondrent, dans un épais nuage de fumée, de débris, de barres de fer, de tuiles, de verres, et de poussières magiques des protections De Bayle qui semblent avoir prit un sacré coup.
Alors qu'Isys est encore à terre, elle ordonne qu'on poste des factionnaires devant la caserne pour arrêter les intrus, une dizaine de Défias pénètrent à ce moment dans la Caserne fumante, pour renverser ce qui reste debout, voler des documents et mettre le feu en hurlant ce nom... Vanzetti... Vanzetti...
Les Gardes prennent les armes et s'organisent rapidement pour ne pas se laisser déborder, des défias sont tués, d'autres arrêtés sur le champ. Des factionnaires sont disposés en urgence devant la caserne, bloquant tout accès.
Un autre défias viendra se faire exploser devant la rangée de Garde, après avoir prit plusieurs flèches dans le buste. Les dégâts de l'explosion seront maigres.
On s'active. La peu grisée, le cœur emballé, les armures cassées, dans la poussière et la fumée, parmi les décombres et sur les débris, on s'agite. On éteint le feu, on arrête des derniers défias, et on vérifie les geôles. Rien n'est touché.
Bilan ? l'entrée de la caserne est en ruine, ainsi que la moitié du bureau des plaintes. Un partie de l'étage supérieur s'est effondré. Le sol au centre n'est qu'un trou béant. Des blessés, graves.. des morts. Des disparus.
Les Gardes n'auraient rien pu faire de plus, rien de mieux. Tout le peuple le sait.
Il semblerait que Vanzetti avait ordonné à sa Divison Fantôme de la Horde d'attaquer à ce moment là la caserne. Prendre d'assaut cet édifice et faire face à l'armée au cœur même des murailles du royaume. Du suicide ? C'est perçu de la sorte par l'armée régulière... on ignore le nombre d'Homme de sa Division Fantôme pourtant. Une telle opération aurait montré la faiblesse du Royaume... Pourquoi a-t-il annulé cet assaut ?
On raconte qu'il aime les échecs. Mettre soi-même fin à la partie devant son adversaire malgré son jeu, prouve qu'on est maître de l'échiquier. Sacrifier ses pions, et avoir des coups d'avance...
Oh oui... Monsieur Vanzetti, comme toujours, avait tout prévu.
(-Saluons l'héroïsme de nos Gardes bien-aimés, et de l'assitance de personnels non militaires. Alïane, Isys, Musuy, Clyde, et d'autres qui se reconnaîtront, ayant été témoins.)
Hopkins / Vanzetti- Citoyen
- Nombre de messages : 41
Date d'inscription : 12/07/2012
Re: Attentat au coeur de la Garde !
( Tu m'as même pas libéré, fripouille )
Johann Sangrfied- Citoyen
- Nombre de messages : 127
Lieu de naissance : Dans les abimes de la Marne
Age : 14
Date d'inscription : 09/05/2012
Re: Attentat au coeur de la Garde !
(c'était donc ca tout leshordeux dans la capitale .... hm interessant)
Echos de la cité- Citoyen
- Nombre de messages : 305
Lieu de naissance : Stormwind
Age : 35
Date d'inscription : 13/07/2012
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