Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.

par **Djigzyx Combobublaster** Jeu 18 Avr 2013 - 15:29

Les gardes du port purent constater que cette journée était différente des autres lorsqu'un geyser de cafards volants jaillit sans trop que l'on sache d'où sur un des quais. La marée d'insectes fous et voraces fondit sur un navire appelé La Fontaine enregistré au nom du très connu Capitaine Filz Howkins, provoquant la panique dans l'équipage.

Peu après l'attaque de l'essaim et alors que les matelots et gardes s'attroupaient sur le quai, l'explosion quasi-simultanée des réserves de poudre du navire vint ajouter le feu et les flammes au chaos du navire.

Enfin, comme un ultime coup de boutoir destiné à achever le navire infesté et en flammes, trois coups de canon retentirent depuis les hauteurs du port, avant que des boulets ne viennent se fracasser contre la cabine à la poupe du navire, le mât d'artimon et le poste de navigation.

Lorsque les cafards disparurent dans le quai d'où ils avaient apparemment "jaillis" et alors que les gardes et les débardeurs s'échinaient à contenir l'incendie, le navire se mit lentement à couler sur place, laissant découvrir une fois le calme revenu que sa coque avait en plus été percée en de multiples endroits. Les canonniers interrogés sur l'attaque insensée portée au navire pourront jurer mordicus qu'ils n'ont pas approché ces canons, ayant simplement vu un genre de rongeur sautiller dessus tandis qu'ils étaient en pause

par Calirae Ventis Sam 15 Juin 2013 - 13:13

Depuis quelques jours Calirae Ventis ne s’était pas rendue à la Cathédrale. Depuis quelques jours, ses soins se cantonnaient à la médecine traditionnelle. Elle s’en était rendue compte rapidement, sa Foi fragilisée par ses propres doutes, il lui avait fallut d’un rien pour perdre les dons accordés par la Lumière.

Elle s’était angoissée, elle avait médité et prié, s’était exaspérée puis résignée. Il ne lui restait plus qu’à faire contre mauvaise fortune bon cœur. Du reste l’essentiel de son rôle ces derniers jours n’était pas tant de soigner les blessures physiques que de tenter de cerner la cause du malaise qui se propageait dans le corps de troupe. Était-ce une réalité ou les remous provoqués par les bouderies et les fausses excuses ?

par **Angron Manus** Mer 19 Juin 2013 - 10:45

Les gardes Stessia et Roland, chargés de l'entretien de l'écurie, se retrouvèrent sans doute à un problème épineux durant leur labeur.

Puis ce qu'au moment de brosser les chevaux, un imposant félin de près de deux cents kilos vienne leur tourner autour. Pas agressif, mais venant les taquiner, bousculer ; jalouse en vérité de ne pas être la cible du brossage.

Après le félin, ce fut un ours pataud à venir baver sur les chausses de Roland, l'ursidé a l'air quelque peu demeuré servant de monture (sans doute sans s'en rendre compte) à un nourisson babilant.

Seul problème, à leur retour à la caserne, leurs uniformes couverts de poils ne feront peut être pas plaisir aux instructeurs pointilleux !

par Invité Jeu 27 Juin 2013 - 18:20

18h03. La Boutique de la Vieille Ville, les Cinq Venins Mortels, a été dévalisée par un inconnu vêtu de sombre, et dont la tête était recouverte d'une épaisse capuche qui dissimulait son visage. Il a d'abord jeté une petite grenade dans la boutique, effrayant l'assistant du maître poison, qui s'est mis à dégager une importante fumée blanche.
La tête leur tournant et leurs idées n'étant plus très claires, les deux tenanciers de la boutique se sont vu faire dévaliser en quelques minutes, perdant ainsi toute la recette de la semaine.

par Calirae Ventis Lun 1 Juil 2013 - 12:32

Les factionnaires à l'étage auront pu entendre la porte se fermer sèchement, avant de voir le garde Amell sortir par la petite porte en civil. L'infirmerie demeura quant à elle porte close, hormis pour les quelques habitués.

par Le point d'exclamation Jeu 4 Juil 2013 - 17:06

un homme aurait été aperçu près du bois de la pénombre, à squatter les cimetières.
Celui-ci aurait eu des propos de la venue des cauchemars du rêve d'émeraude, et de son "maître".
Reste à savoir si cet homme ne serait pas un nécromancien fou...

par **Angron Manus** Ven 5 Juil 2013 - 8:24

"Nooooon Beooooorn ne bouge paaaaaaaaaas"

La voix du garçonnet monta au milieu des grognements patauds de l'ursidé qui se trémoussait, machouillant sa laitue. Même s'il avait la vigueur d'une huitre sous-alimenté, il n'aimait pas vraiment quand on chargeait des sacs sur son dos, le faisant savoir en se trémoussant comme une pucelle le jour de son premier bal. Une pucelle de trois cents cinquantes kilos et recouverte d'un pelage épais, certes.

Le jeune Lorgan avait installé sa petite soeur entre deux bagages, l'attachant avec une corde de sécurité pour éviter qu'elle ne crapahute (elle était dans sa phase Koala), puis il s'était à son tour hissé sur la monture improvisée afin de le guider en lui tenant les oreilles.

Melius survolait ce petit monde, guetteur vigilant, profitant de la douceur de la matiné pour virevolter sans craindre qu'un chat ne vienne le taquiner (Tout le monde sait que les chats ne se lèvent jamais avant midi)

D'ailleurs, Heliven dormait à poings fermés en forme humaine, sur le dos d'Angron qui donnait les instructions à son fils. Toute la petite meute prenait le chemin de sombre comté en emportant vêtements et bagages. Même Tactac était sur le pied de guerre, poussant des petits couinements de rongeur affolé et légèrement décerebré comme il savait si bien le faire.

Tout en veillant au bon déroulement des choses, Angron lança un regard vers la caserne. Il faudrait qu'il passe voir Laurelinn prochainement. Un peu comme pour se rassurer que malgré tout, certaines choses ne changeraient jamais.

par Frédéric Husserl Dim 7 Juil 2013 - 20:42

Frédéric se rendait rarement en ville pour faire ses achats, les confiant généralement s'ils avaient lieu au service d'Intendance de la caserne. Néanmoins, cela faisait quelques jours qu'il se présentait à l'hôtel des ventes du quartier commerçant à des horaires diverses pour demander une paire de bottes ; achetant systématiquement ce qu'on lui présentait pour ensuite se faire rembourser le soir venu par le responsable de la bâtisse, son insigne de sous-officier convaincant ce dernier de fermer les yeux sur cet étrange manège.
Après son achat, le Husserl se mettait dans l'ombre d'un des deux pilliers antiques qui encadraient l'entrée, et partait au bout d'une demi-heure, attendant on ne sait quoi.

par Le point d'exclamation Ven 19 Juil 2013 - 3:56

<<J'ai vu ce que je vous dis !!! Il a relevé un mort !>>
Barry le vieux, clodo passant toute ses journée boire un coup dans la taverne de Hurlevent, revenait de Sombrecomté.
"Le nécromancien fou j'vous dis ! " Prononçait-il à chaque gorgée, "Il n'est pas mort il y a 22 ans ! Je l'ai vu ! Et faut dire, il commençait déjà à utiliser ses sorts impies sur nos morts !"

par Brom Runegriffe Ven 26 Juil 2013 - 14:32

" Alors que l'été bat son plein et que les récoltes mûrissent au soleil de la grande forêt d'Elwynn, l'ambiance n'est plus vraiment à la gaieté ; des rumeurs provenant du sud apportent leur lot de balivernes incessantes qui ont le dont d'effrayer les provinciaux et ronger au sang la garnison locale :

Certaines parlent de bandits qui viennent piller les fermes isolées, d'autres de morts vivants l'allant mordre la chair des innocents lorsque la lune est levée, une autre même racontent comment des bandits morts vivants pillèrent une ferme et dévorèrent ses habitants alors que le roy lui même engrossait la fermière... a moins que ce ne soit le roy qui était derrière tout ça. En tout cas, les langues sont bien pendantes et les histoires cocasses remontent même jusque dans les tavernes de la capitale où les ménestrels trouvent un nouveau regain d'inspiration pour leurs ballades d'hiver.

A l'inverse, ces comptines ne sont pas du goût des autorités qui voient là un nouveau moyen d'agiter les foules pour "du beurre", comme le dit si bien Fergus Shester, brave survivant lordaeronnais de la Troisième. La milice n'aurait pas pour autant découvert d'où provenaient les monstres, chaque fouille de cimetière n'a apparemment rien donné. Pourtant ces derniers jours, une note circule parmi les maréchaux du coin :

Il semblerait que des morts vivants soient en vadrouille dans les environs, inspectez chaque ferme, chaque ruine, chaque cachette dans lesquelles ces immondes auraient pu s’abriter. Un avertissement donné par nos alliés de l'Eglise indique que les morts vivants seraient venu du fleuve au sud, renforcez autant que possible le contrôle des berges. Inutile de préciser qu'il faille mettre un terme aux rumeurs actuelles avant la fête des morts, n'hésitez pas à réprimer toute sedition, une émeute dans le Comté est intolérable aux yeux de la Couronne.

Qu'Elle nous protège.

Quelques chasses ont depuis lors été organisées, mais ne sont pas resté longtemps un secret. Les nouvelles concernant des gains éventuelles ont attiré des mercenaires de toutes sortes dans la région et il y a fort à parier que tous n'ont pas de nobles intentions. A la crainte des morts vivants s'ajoute celle des pillages, l'arrivée récente de paladins en Elwynn a quelque peu éveillé les passions, leur départ pour le Bois de la Pénombre a soulevé les doutes. L'agitation devient telle que les Marshalls de Comté de l'or et du sud redoutent d'être dépassés par les troubles."

par Brom Runegriffe Dim 28 Juil 2013 - 2:34

"Des nouvelles en provenance du Bois de la Pénombre indiquent que les Veilleurs et une paladin sont partis pour la Colline aux Corbeaux où un campement aurait depuis lors été monté. Les aventuriers affluent dans les environs, ce qui ne serait pas au goût de tout le monde apparemment."

par Calirae Ventis Dim 18 Aoû 2013 - 17:31

Dans les jours qui suivent, les factionnaires arpentant les rues auront eu pour ordre d'empêcher toute distribution de denrée alimentaire, en particulier les sucreries, argumentant auprès des badauds la possibilité d'un arrivage périmé.
Un échantillon des marchandises sera prélevé à des fins d'analyse. Les marchandises seront rendues à leur propriétaire après libération de chaque lot par les laboratoires en travaillant en partenariat avec les autorités sanitaires.
Les boutiques et restaurants ne seront pas impactés.

par Amon de Edenblow Lun 26 Aoû 2013 - 11:56

Les abords du quartier de la Lumière furent témoin d'une étrange agitation dans la nuit séparant samedi et dimanche. Sous le regard blafard d'une lune pleine, plusieurs calèches se relayèrent dans un balet frénétique, des hommes déchargeant de nombreux meubles qu'ils installaient dans une riche demeure jusqu'ici vide.

Le déménagement dura plusieurs heures, l'imposant manoir changeant de visage à la discretion de la nuit. Surveillant les travaux, le Chancelier de Edenblow était resté de marbre, se tenant sur son riche baton orné d'opales et d'emeraudes, donnant parfois quelques breves instructions aux hommes de main.

Au petit matin, tout avait cessé, le Duc occupant la nouvelle demeure, loin du donjon et de ses intrigues.

Quoi qu'il en soit, le quartier avait gagné un nouvel occupant, détail qui fut aussitôt oublié dans le vacarme de la ville qui s'éveillait.

par **Lendis Cravone** Mer 11 Sep 2013 - 13:28

L'histoire du vieux Dommie, pêcheur de son état a déjà fait le tour des docks et de quelques tavernes.

"- Y a des jours où quand ça veut pas mord' ça mord pas hein ! Ben là c'tait un d'ces foutus jours, pas un gobie dans l'port, rien d'rien ! Et là c'est quoi qui mord à ma ligne ? Une salop'rie pas commune moi j'vous l'dis ! Une espèce de gros poulpe mais moi j'en ai vu des vrais dans la marine d'aut'fois, et c'truc dégueulasse c'était pas un poulpe ! L'avait l'crâne trop solide et pire que ça : Il avait un seul putain d'oeil qui m'fixait alors qu'la bête agonisait !! Y m'a foutu les boules c'bestiau ! Croyez-moi si on pêche des trucs comme ça à Hurl'vent c'est vraiment qu'cette ville devient dingue."

par **Tecna.E /Brilinda** Mar 17 Sep 2013 - 0:45

Voilà deux jours que des ouvriers travaillent d'arrache pied dans une petite maison au quartier des nains ( juste à côté du tram), pour aider une femme à emménager.
Pour les petits curieux, ils pourront lire sur la porte le nom de Eressea Tecna. Cette chère jeune femme vient d'emménager dans cette maison avec ses trois bébés, dans la nuit du 16 au 17 de ce neuvième mois.

par **Milu** Ven 20 Sep 2013 - 9:26

Certains parlent d'une drôle d'activités dans les bois de la pénombre des chevalier de la mort qui viendraient rendre hommage à La matriarche de Helheim. Il fait même vent que quelqu'un aurait pris sa suite à nouveau ....

par Amon de Edenblow Sam 21 Sep 2013 - 12:50

Mr. le duc envoya ce matin la un coursier, à l'attention de sa chère et tendre collaboratrice Farral, afin qu'elle transmette en main propre le contrat de mariage. Signé de sa main et de celle de sa ténébreuse épouse, ainsi que des témoins, une certaine Mademoiselle Danera et surtout, le sieur Castellange en personne, irreprochable parmis les vertueux.

Satisfait de l'état des choses, Mr. le Duc fut dès le lendemain de retours aux affaires de la ville et du royaume.

par **Leyland de Castellange** Sam 28 Sep 2013 - 17:57

Le sieur Castellange en personne, justement, n'apparaissait plus en ville. Habitué à se promener entre la caserne pour rendre visite à des amis -ou à la Capitaine Ventis, avec laquelle les rumeurs allaient bon train-, la cathédrale où il ne priait plus désormais et le palais de Wrynn dans lequel il remplissait des paperasses à longueur de temps.
Non, rien de toute cela, les rues restaient vides de sa présence et personne n'avait pu mettre la main dessus. La silhouette du chevalier accompagnée de celle de la jeune Ana Reeds avait disparu de la cité.

D'aucun diront qu'il est rentré chez lui, au bois de la Pénombre, d'autres diront qu'il s'est exilé de tristesse depuis la mort tragique de Reeds ou d'autres diront simplement qu'il est mort...
Peu importe les causes, il fallait se rendre à l'évidence que le Chevalier de Castellange avait quitté la ville et nul ne savait où.

par **Aliane Trias** Dim 20 Oct 2013 - 8:07

John "La Botte", célébrissime mendiant déguenillé, laissa choir nonchalamment son buste sur le comptoir du Cochon-siffleur avant qu'un son guttural ne sorte de sa bouche :
"Deux Whisky" dit-il en se redressant légèrement pour sortir un amas de pièces de cuivre de sa poche et les déposer devant lui.
"Oh ! Qu'est-ce qu'y t'arrive, mon gros ? C'est pas tous les jours que tu dépenses toutes tes économies chez moi." demanda le tavernier qui faisait les comptes de la veille, "Et c'est fermé à cette heure, on ouvre que dans une heure, tu l'sais pourtant..."
Fixant le bois et attendant avec grande impatience ses deux verres, le clochard argua : "Sers moi plutôt au lieu d'sortir des conneries ! Tu devineras jamais ce qu'y m'est arrivé.."
Il se frotta le visage comme pour rester éveillé tandis que le tavernier lui servait son premier verre.
"C'te nuit, j'étais au Tram tu vois, j'vais pour me soulager dans les voies...j'allais bientôt pioncer...alors bon je me lève, j'm'avance ; et là qu'est-ce que je vois : Une bonne vingtaine de Gardes qui arrive depuis la ville !"
Le tavernier ricana, venant lui déposer un deuxième verre plein alors qu'il reprit l'ancien et le frotta frénétiquement avec un torchon sale.
"T'fous pas de ma gueule, j'te jure que c'est vrai ! J'me suis même fait dessus au début, j'ai cru qu'ils venaient pour moi. Tous armés, en armure et tout ! Même des nains d'l'autre ville qui sont v'nus par le Tram ! J'ai flippé ! Puis...ils ont filé droit vers l'arène de ce...Gnimo ou j'sais pas quoi. Pas con, j'me suis vite fait la malle, ça puait le grabuge..j'aime pô ça moi, l'grabuge" finit-il par baragouiner avant de descendre son second et dernier verre
"Et alors, il s'est passé quoi après ? Y a eu de la castagne ?" demanda le tavernier en se réjouissant à l'idée qu'un concurrent ait de tels soucis
"Chais pas j'te dis que j'suis parti...enfin je les ais revu au retour, et vu la gueule que certains tiraient, y z'avaient pas dû trouver ce qu'y cherchaient, ni tellement combattre. Y voulaient un mec, un criminel, employé de ce...Bizmo, voila !"
"Et beh, toi quand il t'arrive un truc, c'est rare, mais c'est toujours spécial !"

par Amon de Edenblow Sam 26 Oct 2013 - 16:55

La rumeur monta depuis les quartiers de la prison centrale, atteignant rapidement la cour du donjon ou les nobles aimaient passer leur temps en ragotant sur les dernières nouvelles. Il semblerait que cette histoire démarra avec le Surveillant-général Nethaneil. Avec onze ans d'ancienneté à son poste, le brave homme avait peu à peu monter une réputation d'officier stable et de bonne fréquentation. Son travail excellent laissait peu de place aux critiques visant à démonter son comportement que certains jugeaient "laxiste".

Le surveillant-général se voyait déjà propulsé dans les plus hauts niveaux des états majors, avec comme bagage un dossier parfait de directeur de la prison centrale. Mais un beau matin éclata la nouvelle : Monseur Nethaneil venait d'être mis en cause par divers témoignages l'inculpant de débauche, corruption, et même de haute trahison. Bien que l'organisme judiciaire ne s'accorda pas à trop vite condamner le pauvre homme sans preuve, il fut cependant relevé de ses fonctions le temps de l'enquête, qui s'annonçait bien longue.

A sa place fut nommé le surveillant-général Ocloden. Un homme bourru, ancien officier de cavalerie, dont les amitiés et l'âge venaient de lui offrir ce poste pour les quelques mois le séparant de sa retraite. Il prit rapidement ses responsabilités à coeur, ne modifiant au final que quelques équipes de surveillant, et la vie de la prison centrale continua son cours

par **Angron Manus** Dim 10 Nov 2013 - 1:19

Après être rentré de Sombre-Comté avec les siens, Angron eu plaisir à retrouver la petite écurie ou tant de choses s'étaient passés. Le belluaire laissa ses compagnons de meute retrouver leur marque, et proposa son aide aux garde-chasse du royaume, se rendant chaque matin à la première heure en Elwynn pour veiller à la relative quiétude des bois. Un éloignement certain et supplémentaire de la vie de la grande ville, mais nécessaire, consacrant ainsi tout son temps à sa petite meute et ses nouvelles tâches prenantes.

par Dexter Verson Mar 12 Nov 2013 - 22:19

Récemment certains échos provenant d'on ne sait où prétendent que le baron Dexter Verson, d'un naturel assez discret serait plus actif que jamais, on l'aurait vu à plusieurs reprises discuter avec Mercenaires et Capitaines de tout horizons, les hypothèses commencent à naître, certains disent qu'il cherche à faire éliminer un éventuel rival, d'autres disent qu'il se lance dans le commerce et cherche donc à recruter des personnes capables de protéger ses biens, mais certains, sans doute plus cencés évoquent la possibilité que le baron ai découvert l'emplacement d'un Trésor et prépare une expédition pour aller s'en emparer... Au final... Ce ne sont que des rumeurs, mais qui sait ?

par Invité Dim 17 Nov 2013 - 4:29

Les passants ont pu apercevoir quelques processions de nobles de très bonne famille se diriger en trombe vers le donjon royal, poussés par une apparente urgence... La plupart diront que cela était pour régler les problèmes d’infrastructure de la citée... Mais qui, de fait, savait?

par **Lendrith** Dim 17 Nov 2013 - 5:46

Début de soirée.

Un homme vêtu de riches parures gilnéennes, engoncé dans un long manteau noir bien connu de certains, avait refait son apparition sur les pavés blancs de New-Stormwind, quelque temps avant les événements chaotiques et peu reluisants de la Prison Centrale.

Grand et sombre, il se distinguait par une balafre. Celle-ci était semblable à l'image de la Malebrêche sur une carte, et barrait la partie droite de son visage. On ne le vit qu'en bourrasque, complexe silhouette floue et grisâtre. Lancée au triple galop elle ne s'immobilisait dans les lieux bondés de monde que pour retenir son solide cheval caparaçonné;sable et argent, renard héraldique du même; et éviter ainsi le piétinement des badauds ou des gardes en patrouilles.

Pressé d'arriver.

En la capitale, il y eut trois types de personnes :

ceux qui ne le virent pas:
ceux qui ne s'en souciaient guère, ni avant ni maintenant;
Et ceux qui pensèrent que l'espace d'un instant;
tandis que l'overcoat noir claquait le dos de son propriétaire et qu'il fonçait à franc étrier vers la place de la Prison;
ils venaient de voir un fantôme surgir. Passer.

par Lady de Edenblow Dim 17 Nov 2013 - 10:34

Au petit matin, après une nuit courte et agitée, la Duchesse s'employa à prendre certaines mesures pour aider de son mieux les victimes des drames de la veille. Envoyant ses gardes là où il fallait déblayer, ses servantes distribuer nourritures et soins aux familles touchées par la violence des malfrats, elle n’hésita pas à mettre la main à sa bourse, distribuant elle-même pièces d'or et petits pains, allant même jusqu’à faire jouer ses relations pour dénicher des logements vides pour accueillir les nouveaux sans abris payant même leur premier mois de loyer.

Les événements de la veille avait jeté le deuil sur la cité et pourtant tout était rentré dans l'ordre. Les malfrats avaient été capturés et les portes de la prison étaient de nouveau fermés. La duchesse ne pouvait s'empêcher de trouver la réaction de la foule étrange. Certes, la répression avait été violente, à l'image du comportement des fauteurs de trouble. Mais, les habitants d'hurlevent auraient 'ils préférés qu'on sermonne simplement ceux qui venaient de tuer, piller et violer ?

Un avertissement sans clémence pour tous ceux qui s'imaginaient avoir l'impunité dans la citée : l'odeur du bucher. Et si celle-ci avait été l'objet de nombreuses plaintes de la part des civils bien pensant, elle ne doutait pas que leur famille elle n'avait pas été touchée par l'odeur du sang de cette nuit effroyable sinon ils auraient loués l'efficacité avec laquelle le Duc de Edenblow avait enfermés de nouveau les prisonniers et se seraient plutôt posé la question de quelle défaillance du système avait permis cette mutinerie.

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