Missive scellée à la garde Officiers

vingt-septième jours du premier moi de l'an trente-trois.

Jiloa apprentie paladin du clergé de Hurlevent.

Salutations à vous officiers de la garde urbaine de Hurlevent,

Je vous écrit cette missive pour vous prévenir que Aceler Pallin est venu dans la nuit en uniforme pour avoir des précisions sur la plainte contre lui que j'avais posé. Ne voulant rien lui dire, monsieur à commencé à hausser la voix devant dame Alteah et de plus me faire une crise de jalousie car je défendais mon ordre qui est les Chevaliers Dragons. Votre soldat a profité de son statue de garde pour venir m'harceler et me dire qu'il fera un rapport pour préciser que ma plainte était une fausse déclaration. En bref pour lui j'ai mentis car je suis une gamine paumé.

Pour ce qui est de ma plainte qui avait été dit au garde Azurus et Lauriana Frantz.
Pallin a plusieurs fois manqué de respect en civil et même en uniforme à mon ordre, menacé aussi car pour lui mon ordre était pas capable de me protéger.
Pallin a aussi décider de boire quelque bière pour faire croire qu'il été bourré pour m'embrasser toute ça après que mon maître soit assassiné sous mes yeux, que mon ami Adoran soit assassiné dans la même journée et après  l'enterrement du Chancelier Ozrik.

En bref votre homme n'a aucun respect pour les deuils et profiter de la faiblesse des gens pour après les rejeté comme-ci c'était des objets.

Donc avec le plus grand respect que j'ai pour la garde Urbaine de Hurlevent, je vous demande de faire le nécessaire pour qu'il arrête de m'harceler.

Mes respects,
Qu'elle vous garde.
Jiloa

En tant que garante de l'apprentie Jiloa Nightfall selon la volonté de feu le Chancelier Ozrik, je suis bien forcée de m'impliquer dans cette affaire. Je ne puis que confirmer les griefs portés à votre regard par ma jeune protégée, et j'en profite pour témoigner de sa bonne foi et de sa ferveur. Quoiqu'elle fut tantôt vindicative, tantôt insolente, il n'appartient pas à un membre du guet urbain de juger de son éducation et de son apprentissage.
Par ailleurs, je vous expose mes craintes quant à la sécurité de l'enfant. Il n'est pas bienséant qu'un homme aborde une jeune fille à une heure si tardive et avec tant de fougue qu'il le fit ce soir.

Puis-je vous demander à l'avenir de m'avertir si un cas similaire se présente ?

Puisse la Providence nous garder à l'avenir de cette erreur,

Sœur Altéanne Tolhen,
Cathédrale de la Lumière, Hurlevent