Rumeurs de la ville et ses alentours.
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Doubhée Beckris- Citoyen
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Age : X
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Affiches placardées en langue humaine un peu partout dans tout Hurlevent
Pour lire : http://eu.battle.net/wow/fr/forum/topic/16517791990
Pour lire : http://eu.battle.net/wow/fr/forum/topic/16517791990
Dernière édition par Demiora le Dim 1 Nov 2015 - 13:43, édité 1 fois
Demiora Rosseau- Citoyen
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Age : 30
Date d'inscription : 02/09/2015
Feuille de personnage
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Terrence, fatigué de sa journée faite de farces sucrées se sera arrêter devant les deux jeunes femmes foutues dehors, ayant arquer un sourcil tout en étirant un simple sourire il aura fait abstraction de la gravités de la scène pour finir part trouver cela ironique et drôle, reconnaissant sans doutes les quelques femmes trop vite réveillées en dodelinant de la tête.
Pourtant, aucune moquerie aucune plaisanterie ni même un rire, juste un grand sourire et un rebroussement de chemin en direction de la boulangerie de ses parents.
Pourtant, aucune moquerie aucune plaisanterie ni même un rire, juste un grand sourire et un rebroussement de chemin en direction de la boulangerie de ses parents.
Edward Derington- Citoyen
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Lieu de naissance : Une île au large.
Age : 48 ans
Date d'inscription : 22/10/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Un étrange phénomène se produisit aux quartiers des Nains dans la Gazette de Hurlevent. Alors que les presses s'étaient mises en marche, manœuvrées manuellement par les imprimeurs comme pour les pressoirs à vin, des craquements sinistres émanèrent de la salle des presses pour finirent en craquements sourds et violents avec des bruits de métal éparpillés. Plusieurs grognements se firent entendre alors qu'on pouvait entendre crier:
" Stoppez les presses ! Elles ont été sabotées ! Arrêtez ces satanés presses, vous êtes en train de les briser ! "
C'est Rislon qui sera furieux quand il l'apprendra. Les contes de la sanssaint devaient sortir ce soir !!!!
" Stoppez les presses ! Elles ont été sabotées ! Arrêtez ces satanés presses, vous êtes en train de les briser ! "
C'est Rislon qui sera furieux quand il l'apprendra. Les contes de la sanssaint devaient sortir ce soir !!!!
Rislon Milloin- Citoyen
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Lieu de naissance : inconnu à ce jour
Age : 29(ig) (et moins en irl)
Date d'inscription : 23/12/2009
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Au manoir Bayle des gens vont et viennent certaine repartis en pleurant...si vous leur demandez ce qui se passe ils vous répondront que la Maison Bayle remonte une expédition pour Strangleronce et qu'apparemment ils sont toujours à la recherche de personne assez courageuses et fortes ! Un petit gnome pose quelques affiches sur les Tableau d'appel aux aventuriers !
"Mardi 3 novembre de cette année devant le manoir Bayle a neuf heure du soir ! Soyez prêt !"
"Mardi 3 novembre de cette année devant le manoir Bayle a neuf heure du soir ! Soyez prêt !"
Atheness Dacara Baldwin- Citoyen
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Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 20
Date d'inscription : 05/09/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Henri Bauvin aimait ce qu'il faisait. Il n'était pas seulement maçon, et son métier ne se limitait pas à la construction et à la réparation des édifices de la Ville. Non, non, c'est bien plus que cela, pensait-il. Et il aimait le répéter à tout va. Certes, il ne gagnait pas beaucoup d'argent, mais il était prêt à abandonner tout salaire, tant qu'il pouvait conserver la reconnaissance du peuple. Lorsqu'il réparait un pont, les gens venaient le voir et le félicitaient, l'encourageaient. Une fontaine endommagée à la suite d'un éclair ? Pas de problème ! Henri Bauvin, au service de Hurlevent, fait également la pierre. Une tombe piétinée par un ivrogne ? Le marbre n'a aucun secret pour lui.
Henri avait commencé très tôt le métier, avec son père. Une existence vouée aux édilités, pavée de difficultés financières, surtout lorsqu'il s'était marié avec son amour de jeunesse, Betty. Heureusement, alors que Betty attendait leur premier enfant, un homme était venu voir Henri. Intendant, qu'il était. Et il venait le voir, lui ! Le Roi a besoin de vous, monsieur Bauvin. Plus d'argent, pour l'enfant. On vous demande juste la réparation des remparts. Et de la loyauté. Vous serez payé. Pé-yé. Henri avait sauté de joie. Le type n'avait pas besoin de le préciser, il n'avait pas à avoir peur. En effet, Henri était simple et loyal. Jamais il ne se rebellerait ! Car il travaillait pour son Roi, comme l'armée, les gardes, les agents de la Couronne !
C'est ce qu'il avait dit à sa femme. Au moins, on est pas en danger comme eux, avait-elle dit. Et elle n'avait pas tort. Qui pourrait en vouloir à un maçon polyvalent, bourré de talent, et qui avait acquis une expérience phénoménale ? Henri faisait tout. Et même les bandits, les démonistes ou même la Horde avait besoin de tout. Quoi qu'il arrivait, le monde avait besoin de lui.
Le seul défaut de Henri était d'avoir la langue un peu trop pendue sur son importance. Oh, oui, il aimait se vanter. Et ce soir là, ce qu'il dit à la taverne ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd.
Lorsqu'il rentra chez lui, le défenseur des Murs Henri Bauvin retira ses chaussures pour ne pas faire trop de bruit. Il s'aventura dans la petite maison du vieux quartier sur la pointe des pieds. Il ouvrit la porte de la seule chambre... et écarquilla les yeux. La lumière pâle de la lune éclairait comme à son habitude le petit berceau de plumes du bébé, en bois de noyer, offert par l'intendance. Il était vide.
Henri s'affola, et se dirigea vers le lit conjugal pour réveiller sa femme. Alors qu'il s'apprêtait à lui secouer l'épaule, il aperçut l'enfant, dormant à poings fermés, contre la poitrine de Betty.
Quel idiot. Ils sont si mignons.
Il embrassa sa femme sur la tempe, et se coucha. Quelques minutes plus tard, Henri Bauvin dormait.
Henri avait commencé très tôt le métier, avec son père. Une existence vouée aux édilités, pavée de difficultés financières, surtout lorsqu'il s'était marié avec son amour de jeunesse, Betty. Heureusement, alors que Betty attendait leur premier enfant, un homme était venu voir Henri. Intendant, qu'il était. Et il venait le voir, lui ! Le Roi a besoin de vous, monsieur Bauvin. Plus d'argent, pour l'enfant. On vous demande juste la réparation des remparts. Et de la loyauté. Vous serez payé. Pé-yé. Henri avait sauté de joie. Le type n'avait pas besoin de le préciser, il n'avait pas à avoir peur. En effet, Henri était simple et loyal. Jamais il ne se rebellerait ! Car il travaillait pour son Roi, comme l'armée, les gardes, les agents de la Couronne !
C'est ce qu'il avait dit à sa femme. Au moins, on est pas en danger comme eux, avait-elle dit. Et elle n'avait pas tort. Qui pourrait en vouloir à un maçon polyvalent, bourré de talent, et qui avait acquis une expérience phénoménale ? Henri faisait tout. Et même les bandits, les démonistes ou même la Horde avait besoin de tout. Quoi qu'il arrivait, le monde avait besoin de lui.
Le seul défaut de Henri était d'avoir la langue un peu trop pendue sur son importance. Oh, oui, il aimait se vanter. Et ce soir là, ce qu'il dit à la taverne ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd.
Lorsqu'il rentra chez lui, le défenseur des Murs Henri Bauvin retira ses chaussures pour ne pas faire trop de bruit. Il s'aventura dans la petite maison du vieux quartier sur la pointe des pieds. Il ouvrit la porte de la seule chambre... et écarquilla les yeux. La lumière pâle de la lune éclairait comme à son habitude le petit berceau de plumes du bébé, en bois de noyer, offert par l'intendance. Il était vide.
Henri s'affola, et se dirigea vers le lit conjugal pour réveiller sa femme. Alors qu'il s'apprêtait à lui secouer l'épaule, il aperçut l'enfant, dormant à poings fermés, contre la poitrine de Betty.
Quel idiot. Ils sont si mignons.
Il embrassa sa femme sur la tempe, et se coucha. Quelques minutes plus tard, Henri Bauvin dormait.
Eunos Sulla- Citoyen
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Date d'inscription : 02/11/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
La publication du livre « La Lumière, mythes et réalités » des Editions du Nénuphar et la conférence qu’aurait tenue les auteurs au Mont Hyjal avec des représentants de la Horde aurait provoqué de très grand remous au sein de l’église de la Lumière. Les évêques se seraient empoignés comme jamais à son propos lors d’un conseil exceptionnel. Jugeant l’ouvrage blasphématoire et hérétique, l’évêque Hylan aurait demandé au conseil de l’interdire et d’ordonner l’excommunication de ses auteurs. L’évêque Neheri aurait à l’inverse demandé qu’il soit distribué très largement dans Azeroth et que ses auteurs soient honorés du prestigieux titre de « Professeurs de la Sainte Lumière ». Comme souvent, aucun des deux courants de pensée ne l’aurait emporté, et le conseil se serait terminé sur un statu quo. Malheureusement certains craignent que cette affaire ne n'arrête pas là et que des "exaltés" Hylanistes ne s'attaquent à ce livre et ses auteurs.
Brunnus- Citoyen
- Nombre de messages : 102
Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 33
Date d'inscription : 20/01/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Il y a des fois, je suis vraiment demeuré.
C’est le cas en cet instant. Mais comme d’hab’, je m’en rends compte trop tard. Juste au moment où la douleur remonte depuis mes phalanges brisées, le long de mon bras, pour se nicher dans mon cerveau. Toutes les alarmes s’allume. Putain de douleur.
Les os craquent. Je suis un peu plus chanceux que le pauvre type qui encaisse mon crochet, et je sens clairement sa mâchoire se fracturer à l’impact. Le reste de son injure à propos des mœurs de ma mère se perd dans un gargouillis sanguinolent, tandis qu’il crache ses dents.
Mais bordel, qu’est ce que j’ai mal.
Autour de moi, c’est le foutoir généralisé. Les chaises volent, les tables se brisent. La petite rixe amicale s’est transformée en pugilat global, tout le monde se fout sur la gueule sans trop savoir pourquoi. Le débit de boisson frelatés qu’ils nous servent dans cette taverne merdique doit aider. Les esprits déjà pas très fins des dockers et des raclures qui trainent dans le coin sont prompts à s’emporter après quelques verres.
Le type que je viens d’allonger ne cherche pas à se relever. Tant mieux pour lui. Un de ses potes me sautent dans le dos et m’étrangle de ses bras en me soufflant son haleine avinée en pleine face. Il est si proche que je parviens à dénombrer le nombre de chicots manquants, et l’éclat haineux de ses petits yeux porcins.
Lui aussi cherche à me traiter, avec un accent à couper au couteau. Grand mal lui en prend, car je profite de l’occasion pour m’élancer en arrière, vers un mur. Et ce connard me sert d’amortisseur. Malgré tout, il ne lâche pas. Coriace le bougre. Alors je répète l’opération, deux fois, trois fois. Sa poigne se dessert, et il me suffit de lui envoyer mon coude dans le ventre pour le faire définitivement lâcher prise.
Pour la forme, et par ce que je suis pas un mec discourtois, je lui met ma botte contre son visage, avec insistance. Le craquement humide que produit son nez est une petite récompense pour moi, et je le laisse dans une flaque faite d’un mélange de ses fluides.
C’est à ce moment là que je remarque un gus qui me fonce dessus. Contrairement aux autres, il n’a pas l’air ivre mort, et encore moins habitué de ce genre de cloitre puant. Sous une épaisse cape en cuir mat, je devine aisément une armure à bande, et une épée dans sa main. Un putain de trouffion, j’en suis sur. Peut-être un aventurier avide de se défouler, ou un trou du cul qui s’imagine récolter un peu de gloire en se mesurant aux longs couteaux des bas quartier ?
Peu importe. Il vient à la castagne, et je sens déjà l’excitation remonter le long de mes membres engourdis. Ca fait longtemps que je me suis pas mesuré à autre chose qu’un bouseux complètement cuit ou à un bourgeois sans défense.
En un instant, ma dague file vers sa gorge. Il part le coup et riposte. S’en suit un ballet frénétique, où nous échangeons des passes d’arme sans qu’aucun ne prenne l’avantage. Il est plus grand, et plus fort, je me retrouve peu à peu acculé vers un mur. Notre duel est d’autant plus complexe que les poivrots se tapent joyeusement dessus et manquent de nous renverser à chaque instant.
Mais le type fait une grosse erreur. Il croit que je vais l’affronter à la régulière, me battre comme un bretteur avisé et lui tenir tête jusqu’au bout. Sauf que contrairement à lui, je ne suis pas un combattant de métier, ni un soldat expérimenté.
Je suis un meurtrier. Un égorgeur, et je n’ai aucun scrupule à attraper un ivrogne moche comme un poux qui passait à coté de moi pour le balancer sur le type qui veut ma peau. Le mec à la sale trogne se prend un coup à ma place, et il s’effondre sur mon assaillant en pissant le sang. Ce dernier est déstabilisé par ce qui vient de se passer et j’en profite pour lui bondir dessus.
Mon coup de genoux qui percute son aine l’empêchera sans doute à jamais d’avoir des gosses. Il n’a pas le temps de gueuler, et la tranche de ma main écrase sa gorge. Une fois, deux fois, trois fois. Je réduis sa trachée en purée. Le type tente de m’attraper par le col, mais mon index lui perce l’œil gauche et s’enfonce profondément dans son orbite. Il a beau se débattre, je ne lui laisse pas l’occasion de me filer entre les pattes.
Le dernier coup est à l’image de notre duel. Sale. Traitre. Ma lame s’enfonce sous son menton et remonte, le tuant net. Il s’écroule, et c’est à ce moment que je remarque que je suis couvert de son sang. J’entends un battement d’aile tout près de mon oreille. Un croassement lugubre. Une ombre se dessine à la frontière de mon champs de vision et…
« V’là les bleus ! »
Le cri d’alerte est un seau d’eau froide, dissipant dans l’instant toute velléité de la part des pochtrons encore debout. Branle bas de combat, chacun pour sa pomme. Ca court dans tous les sens, au moment ou une escouade de gardes fait son entrée.
Pour ma part, c’est par une fenêtre que je décampe. J’avais presque oublié la douleur dans ma main, mais l’adrénaline retombe et la souffrance refait surface. Je suis un des rares à filer par la ruelle sud, et nous détalons sans trop de problème. Je m’aventure dans un des bordels ou j’ai une putain d’ardoise longue comme le bras, et je trouve sans peine de la bonne compagnie pour passer la nuit.
Ce n’est qu’au matin que je me rends compte que j’ai oublié ma bourse dans la taverne. La maquerelle me chasse à grands coups de pompe dans le cul sans même me rendre mes bottes, me menaçant de me les couper si je remets le pied ici. Pas de bol, moi qui avait sympathisé avec la petite blonde du comptoir.
Me revoilà dans la rue, sans pognon, et une main amochée. Je suis bon pour retourner au turbin, et soulager quelques bourgeoises de leurs jolies parures… Une fois que j’aurais retrouvé des godasses acceptables, bien entendu.
Franchement, il y a des fois où je suis vraiment demeuré.
C’est le cas en cet instant. Mais comme d’hab’, je m’en rends compte trop tard. Juste au moment où la douleur remonte depuis mes phalanges brisées, le long de mon bras, pour se nicher dans mon cerveau. Toutes les alarmes s’allume. Putain de douleur.
Les os craquent. Je suis un peu plus chanceux que le pauvre type qui encaisse mon crochet, et je sens clairement sa mâchoire se fracturer à l’impact. Le reste de son injure à propos des mœurs de ma mère se perd dans un gargouillis sanguinolent, tandis qu’il crache ses dents.
Mais bordel, qu’est ce que j’ai mal.
Autour de moi, c’est le foutoir généralisé. Les chaises volent, les tables se brisent. La petite rixe amicale s’est transformée en pugilat global, tout le monde se fout sur la gueule sans trop savoir pourquoi. Le débit de boisson frelatés qu’ils nous servent dans cette taverne merdique doit aider. Les esprits déjà pas très fins des dockers et des raclures qui trainent dans le coin sont prompts à s’emporter après quelques verres.
Le type que je viens d’allonger ne cherche pas à se relever. Tant mieux pour lui. Un de ses potes me sautent dans le dos et m’étrangle de ses bras en me soufflant son haleine avinée en pleine face. Il est si proche que je parviens à dénombrer le nombre de chicots manquants, et l’éclat haineux de ses petits yeux porcins.
Lui aussi cherche à me traiter, avec un accent à couper au couteau. Grand mal lui en prend, car je profite de l’occasion pour m’élancer en arrière, vers un mur. Et ce connard me sert d’amortisseur. Malgré tout, il ne lâche pas. Coriace le bougre. Alors je répète l’opération, deux fois, trois fois. Sa poigne se dessert, et il me suffit de lui envoyer mon coude dans le ventre pour le faire définitivement lâcher prise.
Pour la forme, et par ce que je suis pas un mec discourtois, je lui met ma botte contre son visage, avec insistance. Le craquement humide que produit son nez est une petite récompense pour moi, et je le laisse dans une flaque faite d’un mélange de ses fluides.
C’est à ce moment là que je remarque un gus qui me fonce dessus. Contrairement aux autres, il n’a pas l’air ivre mort, et encore moins habitué de ce genre de cloitre puant. Sous une épaisse cape en cuir mat, je devine aisément une armure à bande, et une épée dans sa main. Un putain de trouffion, j’en suis sur. Peut-être un aventurier avide de se défouler, ou un trou du cul qui s’imagine récolter un peu de gloire en se mesurant aux longs couteaux des bas quartier ?
Peu importe. Il vient à la castagne, et je sens déjà l’excitation remonter le long de mes membres engourdis. Ca fait longtemps que je me suis pas mesuré à autre chose qu’un bouseux complètement cuit ou à un bourgeois sans défense.
En un instant, ma dague file vers sa gorge. Il part le coup et riposte. S’en suit un ballet frénétique, où nous échangeons des passes d’arme sans qu’aucun ne prenne l’avantage. Il est plus grand, et plus fort, je me retrouve peu à peu acculé vers un mur. Notre duel est d’autant plus complexe que les poivrots se tapent joyeusement dessus et manquent de nous renverser à chaque instant.
Mais le type fait une grosse erreur. Il croit que je vais l’affronter à la régulière, me battre comme un bretteur avisé et lui tenir tête jusqu’au bout. Sauf que contrairement à lui, je ne suis pas un combattant de métier, ni un soldat expérimenté.
Je suis un meurtrier. Un égorgeur, et je n’ai aucun scrupule à attraper un ivrogne moche comme un poux qui passait à coté de moi pour le balancer sur le type qui veut ma peau. Le mec à la sale trogne se prend un coup à ma place, et il s’effondre sur mon assaillant en pissant le sang. Ce dernier est déstabilisé par ce qui vient de se passer et j’en profite pour lui bondir dessus.
Mon coup de genoux qui percute son aine l’empêchera sans doute à jamais d’avoir des gosses. Il n’a pas le temps de gueuler, et la tranche de ma main écrase sa gorge. Une fois, deux fois, trois fois. Je réduis sa trachée en purée. Le type tente de m’attraper par le col, mais mon index lui perce l’œil gauche et s’enfonce profondément dans son orbite. Il a beau se débattre, je ne lui laisse pas l’occasion de me filer entre les pattes.
Le dernier coup est à l’image de notre duel. Sale. Traitre. Ma lame s’enfonce sous son menton et remonte, le tuant net. Il s’écroule, et c’est à ce moment que je remarque que je suis couvert de son sang. J’entends un battement d’aile tout près de mon oreille. Un croassement lugubre. Une ombre se dessine à la frontière de mon champs de vision et…
« V’là les bleus ! »
Le cri d’alerte est un seau d’eau froide, dissipant dans l’instant toute velléité de la part des pochtrons encore debout. Branle bas de combat, chacun pour sa pomme. Ca court dans tous les sens, au moment ou une escouade de gardes fait son entrée.
Pour ma part, c’est par une fenêtre que je décampe. J’avais presque oublié la douleur dans ma main, mais l’adrénaline retombe et la souffrance refait surface. Je suis un des rares à filer par la ruelle sud, et nous détalons sans trop de problème. Je m’aventure dans un des bordels ou j’ai une putain d’ardoise longue comme le bras, et je trouve sans peine de la bonne compagnie pour passer la nuit.
Ce n’est qu’au matin que je me rends compte que j’ai oublié ma bourse dans la taverne. La maquerelle me chasse à grands coups de pompe dans le cul sans même me rendre mes bottes, me menaçant de me les couper si je remets le pied ici. Pas de bol, moi qui avait sympathisé avec la petite blonde du comptoir.
Me revoilà dans la rue, sans pognon, et une main amochée. Je suis bon pour retourner au turbin, et soulager quelques bourgeoises de leurs jolies parures… Une fois que j’aurais retrouvé des godasses acceptables, bien entendu.
Franchement, il y a des fois où je suis vraiment demeuré.
Sevatar- Citoyen
- Nombre de messages : 12
Lieu de naissance : Alterac
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Date d'inscription : 11/11/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Ayant eu connaissance de certaines tristes rumeurs venant du clergé de la Sainte, Ione Densilla, directrice des Editions du Nénuphar, à Darnassus, aura pris soin d'envoyer un courrier aux auteurs afin de les mettre en garde, si jamais ils devaient se rendre à Hurlevent.
Editions du Nénuphar- Citoyen
- Nombre de messages : 66
Lieu de naissance : Darnassus
Age : 375
Date d'inscription : 05/10/2014
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Selon les fidèles de la cathédrale, l'église de la lumière aurait annoncé que les quêtes de la semaine iraient financer l'expédition du Répurgateur Isador Aube-Cendre en Norfendre contre le Baron Von Tarkin.
Brunnus- Citoyen
- Nombre de messages : 102
Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 33
Date d'inscription : 20/01/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Ayant entendu cette rumeur, le gnome Alroy Parle-Bien serait allé à la cathédrale pour se plaindre de cette initiative qui pourrait selon lui couter la vie (ou plutôt l'existence puisqu'il s'agit d'un chevalier de la mort) à son client.
McPhyl- Citoyen
- Nombre de messages : 6
Lieu de naissance : Hurlevent
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Date d'inscription : 17/11/2015
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
*une affiche à titre informatif accroché en dehors et à l'intérieur de la Taverne du Cochon Siffleur dans la Vieille Ville.*
Annonces de la Taverne du Cochon Siffleur.
En ce dix-huitième jour du onzième mois de l'an Trente-cinq.
L' ex-bras droit du Diamant Ebene, Reynar Nightfall reprendra son tablier au sein de la taverne sous une nouvelle bannière commençant donc son service, le vingt-et-unième jour de ce mois pour commencer pour une période d’un mois d’essai. Proposant une nouvelle carte mis à neuf, ses consommations alcoolisé ou non seulement, changeant donc les habitudes de l’ancienne troupe pour se cantonner à une ambiance classique digne d’une taverne et non à un casino ainsi que des présences au rythme de deux soirées par semaine au horaire de la vingtième-et-unième heure, cessant ses activités d'une demie-heure avant les coups de Minuit.
Déclarant donc que le temps du “Diamant” est révolu même si il n’a été de courte durée...
Pour plus d’informations, veuillez-vous en informer auprès de Reynar Nightfall.
Mettant en garde néanmoins, la maison Roncesang que leur présence n'est pas recommandé en ces lieux si elle est dans l'action de vouloir nuire, refusant aussi tout type de contrat venant de leur part.
Reynar Nightfall- Citoyen
- Nombre de messages : 30
Lieu de naissance : Hurlevent
Age : 26
Date d'inscription : 02/05/2015
Feuille de personnage
Nom de famille:
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Ayant eu connaissance de certaines rumeurs entre le répurgateur , sa guerre et le clergé, la prêtresse de la lumière s'empressa de rédiger un petite note.Affichant celle-ci sur le panneaux.
Aucun financement n'a lieu pour la campagne du répugateur dans les terres gelées et son éventuelle *guerre déclarée *Nous essayons de réunir certains fonds, afin de financer et d'organiser des repas chauds pour le début de l'hiver et vous offrant un repas chaud en cette terrible saison.Aussi nous recherchons des chasseurs, cuisiniers et autres personnes pouvant nous aider.Alyssa Seledirë
Alyssa Seledrië- Citoyen
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Doubhée Beckris- Citoyen
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Les sacs des cinq personnes étaient faits. Leurs dernières armes empaquetées. Les mines étaient basses, renfrognées quelques murmures légers entre eux. Mais tout le monde attendait la réaction de l'homme encapuchonné.
Ce dernier était posé sur la rambarde devant le Cochon Siffleur. Il fumait la fin de son cigare, méditatif. Lui aussi était paré de ses habits de voyage, et sa longue cape noire traînait au sol. "Elle" s'approcha.
- C'est fini alors ?
- C'était prévu comme ca.
L'encapuchonné tendit un morceau de papier partiellement déchiré a la femme à coté de lui.
"Elle" releva la tête.
- Dès le début, alors. C'est astucieux.
- Je sais. Mais on pourra parler de la suite sur le chemin. La Baie est encore loin, et transporter plus de soixante-dix pour cent des caisses du Royaume n'est pas une mince affaire.
L'équipe au complet se chargea de son matériel, et franchit les portes de la Ville, l'Encapuchonné en tête, le reste de la troupe encadrant une charette.
Le morceau de lettre se retrouva au petit matin posé devant la porte de la caserne de la Garde de Hurlevent, retenue par une petite pierre.
Ce dernier était posé sur la rambarde devant le Cochon Siffleur. Il fumait la fin de son cigare, méditatif. Lui aussi était paré de ses habits de voyage, et sa longue cape noire traînait au sol. "Elle" s'approcha.
- C'est fini alors ?
- C'était prévu comme ca.
L'encapuchonné tendit un morceau de papier partiellement déchiré a la femme à coté de lui.
... si d'aventure moi ou les miens venions à tomber, vous représenterez notre dernière action. Notre chant du cygne.
La Liste est destinée a venger ceux qui perdent la vie trop tôt alors qu'ils défendaient un combat noble. En espérant que nous n'aurons jamais à en arriver a de telles extrémités. Mais si tel était le cas, vous auriez carte blanche pour nous sauver, ou nous tuer.
Soyez dignes de notre héritage,
Jim Stryder *signature correspondante*
Akanja Gurubashi *signature correspondante*
"Elle" releva la tête.
- Dès le début, alors. C'est astucieux.
- Je sais. Mais on pourra parler de la suite sur le chemin. La Baie est encore loin, et transporter plus de soixante-dix pour cent des caisses du Royaume n'est pas une mince affaire.
L'équipe au complet se chargea de son matériel, et franchit les portes de la Ville, l'Encapuchonné en tête, le reste de la troupe encadrant une charette.
Le morceau de lettre se retrouva au petit matin posé devant la porte de la caserne de la Garde de Hurlevent, retenue par une petite pierre.
La Liste- Citoyen
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
La rumeur prétend que le factionnaire qui trouva la missive se serait étouffé avec son donut en lisant la mention du "combat noble" des deux esclavagistes vendeurs de drogue. Une vigoureuse claque dans le dos administrée par un collègue hilare aura suffi à le sauver de ce triste sort.
Les criminels d'Hurlevent osaient tout, et c'était à cela qu'on les reconnaissait.
Les criminels d'Hurlevent osaient tout, et c'était à cela qu'on les reconnaissait.
Khassim- Citoyen
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Néanmoins, le troisième, sans doute plus méfiant, plus expérimenté, moins aviné, ou tout simplement moins limité dans ses facultés cérébrales, jugea bon d'en référer à qui de droit. Aux personnes qui faisaient la garde de cette ville, celles qui menaient le combat sur le terrain, et qui était rentrées la mine grise en ce triste jour.
Là où quelques gardes peu concernés par leur devoir riaient grassement de leur propre sottise, le dos des mains traînant au sol, l'haleine encore fétide de la veille, et la braguette encore ouverte, d'autres savaient qu'assurer la tâche qui leur était confié nécessitait d'avoir un peu plus de recul sur les événements qui touchaient la Capitale du Royaume, et des facultés de réflexion d'un peu plus d'envergure.
Certes, la noblesse se féliciterait d'avoir bien défendu la cité, bien à l'abri dans leurs salons richement meublés, entre quelques amuse-gueules et deux parties de jambes en l'air. L'homme de la rue redoublerait d'analyses expertes que son statut de citoyen lui octroie naturellement. Même l'idiot du village aurait son mot à dire, un éclairage nouveau et révolutionnaire sur toute cette affaire, à n'en pas douter. Une bonne partie de la belle cité partagerait ses plus beaux bijoux créatifs, ses plus fins et pertinents traits d'esprit. Après tout, la nature humaine se trouvait là, également.
Mais la cité se sentirait bien plus en sécurité sachant qu'il y avait, fort heureusement, des personnes bien plus qualifiées pour la défendre.
Là où quelques gardes peu concernés par leur devoir riaient grassement de leur propre sottise, le dos des mains traînant au sol, l'haleine encore fétide de la veille, et la braguette encore ouverte, d'autres savaient qu'assurer la tâche qui leur était confié nécessitait d'avoir un peu plus de recul sur les événements qui touchaient la Capitale du Royaume, et des facultés de réflexion d'un peu plus d'envergure.
Certes, la noblesse se féliciterait d'avoir bien défendu la cité, bien à l'abri dans leurs salons richement meublés, entre quelques amuse-gueules et deux parties de jambes en l'air. L'homme de la rue redoublerait d'analyses expertes que son statut de citoyen lui octroie naturellement. Même l'idiot du village aurait son mot à dire, un éclairage nouveau et révolutionnaire sur toute cette affaire, à n'en pas douter. Une bonne partie de la belle cité partagerait ses plus beaux bijoux créatifs, ses plus fins et pertinents traits d'esprit. Après tout, la nature humaine se trouvait là, également.
Mais la cité se sentirait bien plus en sécurité sachant qu'il y avait, fort heureusement, des personnes bien plus qualifiées pour la défendre.
Akanja- Citoyen
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Doubhée Beckris- Citoyen
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Doubhée Beckris- Citoyen
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Doubhée Beckris- Citoyen
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Elana Milloin- Citoyen
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
*une affiche à titre informatif est visible à l'intérieur et extérieur de la Taverne du Cochon Siffleur ainsi qu'à proximité du quartier de la Vieille Ville*
Que la troupe du Renard Espiègle organise sa dernière soirée de service avant la nouvelle année pour arrêt temporaire. Toutefois le service de la dite-troupe reprendra ses activités, le cinquième jour du premier mois de l'an Trente-six.
A titre informatif, la troupe du Renard Espiègle recherche des recrues pour compléter les effectifs de la Taverne. Pour amples renseignements, veuillez contacter Reynar Nightfall par courrier ou bien rencontre dans la ville.
- La Taverne du Cochon Siffleur et la troupe du Renard Espiègle vous souhaite de joyeuses festivités et une nouvelle année.
Annonce de la Taverne du Cochon Siffleur
En ce dix-neuvième jour du douzième mois de l'an Trente-Cinq.
Que la troupe du Renard Espiègle organise sa dernière soirée de service avant la nouvelle année pour arrêt temporaire. Toutefois le service de la dite-troupe reprendra ses activités, le cinquième jour du premier mois de l'an Trente-six.
A titre informatif, la troupe du Renard Espiègle recherche des recrues pour compléter les effectifs de la Taverne. Pour amples renseignements, veuillez contacter Reynar Nightfall par courrier ou bien rencontre dans la ville.
- La Taverne du Cochon Siffleur et la troupe du Renard Espiègle vous souhaite de joyeuses festivités et une nouvelle année.
Reynar Nightfall- Citoyen
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Age : 26
Date d'inscription : 02/05/2015
Feuille de personnage
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Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Sur un panneau en bois que le temps a éprouvé,
Manifestement, mauvaise affiche ! La plus intéressante se trouve une brasse plus bas.
Peuple de Hurlevent !En as-tu marre du règne tyrannique du Roi, de sa cour et de sa Garde ?! En as-tu marre d'être au service de personnes dont tu ne connais le nom ? Es-tu épris de liberté et de valeurs ?! Alors dis « NON ! » et entre dans la résistance ! Nous allons reconquérir NOTRE ville aux mains du Roi, de la noblesse et de la Garde ! Range-toi du côté de larêve à lotionRévolution ! Ensemble, nous bâtirons une ville sûre sans gardes, sans soldats et sans armée !...
Manifestement, mauvaise affiche ! La plus intéressante se trouve une brasse plus bas.
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs !
Amateurs, amatrices du quatrième et du cinquième arts ! La Guilde des ménestrels a le plaisir de vous annoncer que CE mercredi soir, aux neuf coups, se tiendra le concert de la talentueuse Lanéva ! Venez nombreux, au pied du Kiosque, assister aux prestations émouvantes de notre plus jeune talent !
Et en exclusivité, nous vous présentons la ballade introductive de cette soirée ; la ballade des guerriers !À travers les âges,
Parmi les guerres, les carnages...
Je vis, je meurs, je porte l'étendard,
J'apporte la victoire.
Gloire, gloire ! Est-ce là mon ascension ?
Est-ce là ma mission ?
Gronde, gronde ! Tonnerre !
Demain je pars en guerre,
Demain je pars en guerre...
Guilde des ménestrels- Citoyen
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Date d'inscription : 21/12/2015
Elana Milloin- Citoyen
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Date d'inscription : 30/07/2013
Re: Rumeurs de la ville et ses alentours.
Les habitués de la cathédrale aurait vu le père Brunnus s'entretenir longuement avec le Vicomte Arthos, archéologue de son état. Le père Brunnus aurait paru préoccupé suite à cet entretien.
Brunnus- Citoyen
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Lieu de naissance : Hurlevent
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Date d'inscription : 20/01/2015
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